Les preuves de ce que j'avance ne manquent point. Elles touchent l'être humain dans ses trois grandes dimensions : la raison, le coeur et la motricité autrement dit ses trois cerveaux : le rationnel, l'affectif et l'entérique.
Alors que nous sommes à un tournant de l'été avec le retour des vacances et la rentrée scolaire, il est plus que temps de faire un bilan des 18 mois passés à gesticuler autour du virus couronné avec des mesures à répétition plus ou moins nuancées, autour de chiffres récoltés selon les aléas des possibilités et des interprétations, des tests dont les scientifiques expérimentés répètent régulièrement qu'ils ne sont pas vraiment fiables et en brandissant le vaccin comme une solution magistrale.
Il est temps de faire le bilan de la population elle-même, des différents groupes d'âge, dans leur vie globale en temps qu'entités humaines et non pas limitées comme "cas" définis selon le covid et tout ce qui a été construit autour.
Avec leurs grandes sensibilités, les enfants démontrent à quel point les mesures dites sanitaires ont impacté leur quotidien, leur santé tant physique, affective et mentale et leur développement tant moteur que cognitif. Ainsi : "Depuis fin 2020, les urgences pédopsychiatriques ne désemplissent pas
Car l'année et demie écoulée n'a pas épargné les plus jeunes. Les semi-confinements, l'anxiété ambiante et les restrictions sanitaires ont creusé un terreau idéal pour les troubles psychiques.Une journaliste nous présente une enquête très approfondie en recueillant les témoignages de professionnels afin de mieux comprendre ce qui se passe dans la tête de ces générations Covid, dont l'abandon s'apparente, pour certains, à de la maltraitance. Elle pose clairement la question : A-t-on réellement mesuré l'ampleur des dégâts causés aux enfants et aux adolescents? Depuis des mois, de nombreux pédopsychiatres tentent, en vain, d'attirer l'attention sur cette catastrophe à venir.
Et pourtant, malgré ces sirènes d'alerte, l'essentiel organisé pour la rentrée par les gouvernements retombe dans le cercle des mesures dites sanitaires qui se veulent sans doute un peu plus mesurées mais n'apportent aucune valeur ajoutée au développement des jeunes et détournent leurs attentions de dimensions plus fondamentales. Ainsi, les médias relatent les mesures prévues.
Les cercles stratégiques se resserrent maintenant sur la vaccination des enfants de 12 ans en avançant que
Protéger les enfants est par conséquent non seulement un impératif moral, mais aussi une condition sine qua non pour espérer contrôler la situation épidémique à l'automne et l'hiver prochains.Ainsi donc, on réduit le contrôle épidémique à un "espoir" donc une estimation, en utilisant les corps des enfants sans tenir compte de leurs réels besoins. Cette réduction est bien éloignée de la réalité comme le dit si bien un commentateur :
Quelle dangereuse vision du monde... cela me met très mal a l'aise. les enfants ne sont pas des chiffres que l'on manipule selon nos désirs, ce virus n'est pas maîtrisable selon nos désirs. ce sont des enfants qui ont le droit de vivre leur expérience de vie pleinement et non pas dans la peur. c'est un virus et un virus circule, il fait partie de l'expérience de la vie. soyons un peu plus humbles et à l'écoute!Un autre lecteur exprime clairement comment les médias cherchent à imposer une perception unique à la population :
Ce qui est inédit dans cette pandémie c'est le rouleau compresseur médiatique! Il nous assène jour après jour vérités et contrevérités, éditoriaux qui se contredisent, spécialistes qui ne le sont pas! Un bruit incessant de palabres inutiles et contre productives qui alimentent les doutes et la méfiance. Le vaccin est un bouclier, mais il n'est pas parfait. Il est plus que nécessaire pour les personnes fragiles et âgées (+70). Ces catégories de personnes ont le devoir de se vacciner, car on ne va pas sacrifier l'équilibre mental de nos enfants pour eux, nous devons refuser ce scénario unique dans notre histoire, ou une jeune génération se "sacrifie" pour une ancienne. Ce n'est moralement pas acceptable non plus....Pour donner l'impression de gérer la situation, on focalise sur un élément mis en évidence par une tendance scientifique du moment. Ainsi, le variant Delta a le vent en poupe et permet aux dirigeants de s'appuyer sur des données chiffrées. De ce fait, la nouvelle présidente de la Task Force peut décréter : « La grande majorité de la population sera bientôt exposée au variant Delta ». A qui s'adresse-t-elle?
Sommes-nous encore fait de chair et d'os, avec des organismes complexes ou sommes-nous concentrés, réduits en des cas probables?
On s'attendrait que, pour gérer la santé, les médecins-praticiens qui soignent les malades à leur chevet aient les premiers la parole. Il est intéressant de constater que maintenant, cette parole leur est confisquée à l'avantage d'une mathématicienne, professeure de science et d'ingénierie des biosystèmes à l'antenne bâloise de l'Ecole polytechnique fédérale de Zurich.
Sa relation avec la médecine? Cette scientifique allemande est une spécialiste de l'évolution des virus qui suit de près l'émergence et les pérégrinations des variants. Voilà une belle confirmation qu'on vise le virus qui, en fait, est bien plus délimité qu'un être humain véritable micro-univers très complexe non seulement par ses différentes cellules et molécules mais aussi par toutes les interrelations et interactions entre elles. Ainsi, on mène les mentalités à imaginer des solutions qui, depuis 18 mois, nous ont conduits sanitairement et économiquement dans une dégradation de l'état général de la population.
L'image des cercles se perçoit aussi dans l'intention de continuer à se concentrer sur les vaccins. L'idéologie financière se fixe sur de nouvelles options comme Moderna étudie deux options pour une 3e dose avant l'hiver, alors même que Puisque les Suisses boudent la vaccination: L'OFSP reporte de plusieurs mois une livraison de vaccins Moderna
Une autre forme de cerclage est de chercher à contrôler la masse par le « virus » et par cette informatique qui nous a réduits à l'état de bêtes ou pour mieux dire d'insectes .... On ignore les corps, on attaque l'esprit... Le suivi des individus a commencé par un passe sanitaire, puis un bracelet puis comme pour les animaux, de nombreux projets sont élaborés visant le marquage des individus par différentes méthodes, notamment par l'injection d'une puce électronique sous-cutanée à chaque être vivant.
Il est plus que temps de nous éveiller à la dynamique expansive de l'univers et de développer notre vision panoramique.
Après avoir dénoncé deux scandales dès le début de la covidémie - silence sur la protection de notre système immunitaire et le refus de thérapies prometteuses - ce journaliste scientifique et écrivain met en évidence que l'absurdité de la réponse sanitaire ne concerne pas que les traitements : elle est PARTOUT, ET CONCERNE PRESQUE TOUS LES SUJETS LIÉS À CETTE CRISE ! De ce fait, il relève différentes dimensions ou il s'agit de "corriger le tir" pour repartir sur des bases ontologiques universelles afin de sortir du cercle vicieux où l'on respire un air vicié, dans lequel la gouvernance mondiale nous a plongés et cherche à nous maintenir.
Tout à fait d'accord que ce n'est pas acceptable et que c'est immoral, par contre il est intéressant que tout le monde tende à répéter que c'est du jamais vu. C'est pourtant ce qu'on a vu dans toutes les guerres : on envoie les plus jeunes se sacrifier pour tous les autres. Ce qui ne veut pas dire que c'est une bonne chose, au contraire. Sauf qu'ici, il n'y a rien à combattre. On ne combat pas un virus, ni en lui faisant la guerre, ni en se planquant sous la table ou dans la cave. On apprend à comprendre comment il fonctionne et à cohabiter... car tout ça est affaire d'écosystème, et à l'heure où on nous parle tellement d'écologie, il est intéressant que les partis écolos fassent partie des plus extrêmes en ce qui concerne la "guerre contre le virus", partisans des stratégies "zéro covid" qui sont une négation de l'histoire de la lutte contre les virus (rien de tel n'a jamais fonctionné, et aucune infection n'a jamais été éradiquée par la vaccination sauf peut-être la variole et encore ça peut se débattre) et qui sont un refus de vivre en harmonie avec les écosystèmes qui nous hébergent, et qui comportent certes aussi leurs dangers, car vivre est dangereux... C'est à dire que les écolos sont quelquepart du côté de l'urbanisation et son projet de vie humaine hors-sol, hors nature, avec cette prétention de vivre coupé des dangers naturels tout en affirmant que l'on veut respecter la nature. Le projet politique écologiste est un déni de la nature en même temps qu'un déni de l'humain, puisque cela va de paire : pour eux, l'humain ne fait pas partie de la nature et il ferait mieux de disparaître. Erreur, l'humain est une créature consciente qui s'est seulement émancipée des conditions de base de la vie naturelle, et a su inventer des cultures et un certain confort. Et maintenant, ce confort est devenu une fin en soi, avec le déni de la vie et le refus de la mort qui l'accompagne. C'est un naufrage spirituel, rien d'autre, et les enfants le payent particulièrement cher, il est vrai. Heureux de voir dans les manifs tous ceux qui refusent de sacrifier leurs propres enfants à ces rituels de terreur et de soumission.
"Il est plus que temps de nous éveiller à la dynamique expansive de l'univers et de développer notre vision panoramique."
Entièrement d'accord. Dans cette crise, tout est du à la vision étriquée, morcelée et hyper-spécialisée que promeut le paradigme en place.