Que vaut une vie ? Poser cette question est déjà violence. La violence est partout dans notre monde, mais la pire n'est-elle pas celle qui avance sans montrer son vrai visage ? L'objectif cynique et pervers servi par une bonne intention de façade.
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Dr. Pascal Sacré
Récemment, j'ai pu lire dans une « info » de l'un de nos principaux médias propagandistes et gouvernementaux en Belgique, la RTBF, un appel au sursaut et à l'action ! Menaces de décapitation, appels au meurtre : le cri d'alarme de scientifiques français face à l'impunité (rtbf.be) Un sursaut et une action contre les mensonges répétés de nos autorités qui n'ont plus rien de sanitaires ?

Un sursaut et une action contre un traitement expérimental peu efficace qui met en danger aujourd'hui nos adolescents et nos enfants ? Un sursaut et une action contre la calomnie et la violence envers tous les lanceurs d'alerte, depuis plus d'un an déjà ?

Non.

Rien de tout cela.

Un sursaut et une action contre certains appels à la haine, contre des menaces de mort adressées à des politiques, des « scientifiques », conseillers des gouvernements, que beaucoup de citoyens ne savent plus voir ni entendre, fatigués, nauséeux de leurs contradictions, de leur propre violence et de leur méchanceté.

Cela vaut-il des menaces de mort ? Non, bien sûr.

Mais alors, pourquoi pas cette juste réaction, ce sursaut salutaire lorsque le professeur Didier Raoult a reçu lui aussi, il y a bien plus longtemps, des menaces de mort ? (« Il y a un contrat sur la tête de Didier Raoult » - François Kalfon sur LCI - Sott.net)

Pourquoi la RTBF et tous les autres médias propagandistes gouvernementaux n'ont-ils pas réagi en novembre 2020 à mon licenciement brutal, abusif et violent ?

Un réanimateur sacrifié: témoignage du Dr Pascal Sacré | Mondialisation - Centre de Recherche sur la Mondialisation

Au moins en s'en étonnant, sans parti pris.

Juste s'étonner qu'un hôpital (le Grand Hôpital de Charleroi ou GHdC, en Belgique), en pleine crise COVID, se passe des services d'un médecin anesthésiste réanimateur chevronné (25 ans de médecine et 17 ans de soins intensifs dont 9 dans cet hôpital, sans aucun problème).

Et qu'ai-je fait, travailler sous l'emprise de l'alcool ou de drogues ? Me battre sur mon lieu de travail ? Non, rien de cela.

J'ai seulement critiqué publiquement la fiabilité des tests PCR dans le COVID-19 et alerté sur les conditions de travail en soins intensifs, entravées depuis des années par des politiques de gestion déplorables basées uniquement sur la rentabilité et la performance administrative, avec fermeture annuelle de lits et dévalorisation permanente de la profession de soignant.

Je suis très loin d'être le seul à avoir payé cher le prix de dire la vérité.

Le docteur Louis Fouché calomnié, menacé, diffamé, insulté, juste pour avoir dit autre chose que le discours unique, dogmatique et intolérant du gouvernement et des conseillers à sa solde.

Le Dr Louis Fouché fait l'objet d'attaques hideuses — Enfant de la Société — Sott.net

Aucune émotion, pourtant, dans les médias gouvernementaux, jusqu'ici.

Le professeur Christian Perronne malmené, diffamé, insulté, privé de ses titres et postes de chef de service et de professeur de médecine, pour avoir dit autre chose que le discours unique, dogmatique et intolérant du gouvernement et des conseiller à sa solde.

Covid-19 : l'AP-HP met fin aux fonctions du Pr Perronne pour des propos jugés « indignes » - Le Parisien

Aucune réaction d'indignation, pourtant, dans les médias gouvernementaux, jusqu'ici.

Le professeur Didier Raoult constamment hué, critiqué, lui, l'un des plus grands spécialistes des infections à coronavirus et de l'hydroxychloroquine, et même menacé de mort par un collègue de Nantes, sans que les médias gouvernementaux ne s'en offusquent, dans ce cas, tolérant vis-à-vis de la violence quand cela les arrange.

Chloroquine et coronavirus : Pr Raoult menacé de mort, un médecin soupçonné - Senego.com

Et ce « journaliste », Emmanuel Lechypre de RMC en France, je le cite : « Les non-vaccinés, je ferais tout pour en faire des parias de la société. Moi, je les attends, on vous vaccinera de force. Moi, je vous ferai emmener par 2 policiers au centre de vaccination. Il faut aller les chercher avec les dents et les menottes ! ».

« Je vous ferais emmener par deux policiers au centre de vaccination » le journaliste Emmanuel Lechypre s'emporte en direct - ladepeche.fr

Dérapage du journaliste Emmanuel Lechypre qui veut arrêter et vacciner de force les non-vaccinés - YouTube

Triste sire gonflé d'arrogance, de violence verbale et non verbale, sans que cela ne fasse dire à nos médias gouvernementaux, RTBF en tête, « il faut que ça s'arrête ». En tout cas, j'ai cherché pareil sursaut, sans succès.

Discriminer tous ces millions de gens sous prétexte qu'ils hésitent à se laisser injecter un produit expérimental, nouveau, un produit qui ne protège pas comme on l'aurait cru comme en témoigne la reprise de l'épidémie dans les pays vaccinés massivement et très tôt (Israël- Israël : explosion des cas malgré un taux de vaccination record (mange ton chapeau !) — Santé et Bien-être — Sott.net), un produit ayant pour certains des effets secondaires dramatiques, n'est-ce pas violence, intolérance, haine inadmissible ?

SARS-CoV-2 mRNA Vaccination-Associated Myocarditis in Children Ages 12-17: A Stratified National Database Analysis | medRxiv

Public Health Ontario Reports 100+ Youth Hospitalizations Involving Heart Problems Post COVID-19 mRNA Vaccination (trialsitenews.com)

Alors, pourquoi nos médias gouvernementaux, si prompts à défendre les conseillers gouvernementaux, les politiciens pour la vaccination, ne fustigent-ils pas aussi la violence faite à ceux qui la mettent en doute ?

Certaines vies doivent être mieux protégées que d'autres ?

Est-ce cela ?

Il est plus que temps que plus de monde accepte de voir ce deux poids deux mesures et de tirer les conclusions qui s'imposent.
Pascal Sacré est diplômé en médecine, en Belgique, depuis 1995. Il a entamé une spécialité en anesthésie-réanimation en 1997, terminée en 2002 et complétée par une spécialisation en soins intensifs (critical care) en 2003. Il travaille en milieu hospitalier depuis cette date, en soins intensifs, avec un passage de 2,5 ans dans un centre pour grands brûlés (l'hôpital militaire Reine Astrid HMRA à Bruxelles) entre 2009 et 2011. Depuis 2011, il travaillait dans un centre de soins intensifs médico-chirurgical à Charleroi, Belgique. Il est formé en hypnothérapie en milieu médical depuis 2014 et à ce titre, il est responsable de formations en gestion du stress pour le personnel de son hôpital. Il collabore pour le Centre de recherche sur la Mondialisation depuis 2009.