C'est un témoignage poignant, celui du jeune Yassine, 13 ans, devenu aveugle juste après l'injection anti-covid. « Du jour au lendemain, après le vaccin, il ne voit plus rien, c'est pas normal », nous dit cette maman dans le chagrin.
Combien de Yassine en France faudra-t-il pour que le gouvernement arrête cette marche forcée qui va jusqu'à sacrifier les enfants qui subiront les effets secondaires graves et mourront à cause du vaccin et non du covid ? Toutes ces familles brisées face à cette distribution de pass sanitaires qui ressemble à une roulette russe géante.
« Je dormais, je me suis réveillé, je voyais flou. Après j'ai dit à ma mère : "Maman je vois flou !" Puis ma mère est partie au travail et quand elle est rentrée elle m'a dit : "Est-ce que ça va ?" J'ai dit non, c'est toujours pareil. Comme ma mère avait oublié le pain, j'ai dit je vais acheter le pain, mais je suis resté derrière la porte. Ma sœur m'a vu et elle a dit à ma mère que j'étais derrière la porte et ma mère a dit pourquoi je reste derrière la porte et j'ai dit : "Parce que je vois pas ! " »
Madame Toce, ancienne aide-soignante de 47 ans, témoigne au micro de FranceSoir des effets secondaires graves.
Hier 15 septembre 2021, jour où les pénalités entraient en vigueur pour les soignants n'ayant pas présenté une attestation d'aptitude (démonstration d'un schéma vaccinal), Madame Toce 47 ans a accepté de témoigner en exclusivité pour FranceSoir.
Suite à une discussion avec son médecin traitant, elle a procédé à la vaccination en mai 2021, avec peu d'informations. Dès son retour chez elle, elle a commencé à avoir des effets indésirables qui se sont aggravés dans les jours suivants. Aujourd'hui, elle est en fauteuil roulant, ne peut plus accéder à son domicile situé au second étage.
En tant qu'ancienne aide-soignante, elle nous livre son témoignage poignant, décrivant son chemin, la batterie de tests et de soins à faire, la reconnaissance « toujours pas complète » de l'imputation au vaccin.
Son message aux lecteurs et auditeurs est simple : "avant de faire un acte médical, renseignez-vous, ne le faites pas pour obtenir un passe ou aller au restaurant". Madame Toce, n'a pas de passe sanitaire car cet effet indésirable grave est arrivé après la première dose. Un comble : cela n'a pas empêché les autorités de rappeler Mme Toce pour faire sa... seconde dose.
Sources : Le Média en 442 - FranceSoir
Commentaire : Deux drames post-vaccinaux parmi des centaines de milliers d'autres dans le monde entier - sans parler des dizaines de milliers de décès. Comme le rappelait récemment le professeur McCullough : « La limite pour arrêter un programme de vaccin est 25 à 50 morts. Grippe porcine, 1976, 26 décès, ils ont arrêté ».
Début août, nous en étions à 900 décès « officiels » en France, et à plus de 19.000 en Europe. Or les médias et les médecins de plateau continuent de nous dire qu'il « y a très peu d'effets indésirables ! ». Pourquoi nous mentent ils de cette manière ? Pourquoi un tel acharnement à poursuivre « quoi qu'il en coûte », et dans la plus grande précipitation, ce programme d'inoculation mortifère à grande échelle ?
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