Où sont les personnes victimes d'effets secondaires des vaccins ? C'est la question qu'a publiquement posée le journaliste et animateur de l'émission « l'Heure des pros », Pascal Praud, sur CNEWS. Il appelle tous les vaccinés ayant contracté des effets indésirables suite à l'injection à contacter l'émission pour venir témoigner.

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Cet appel fait suite à une discussion avec son invité de ce jeudi 14 octobre, le journaliste Ivan Rioufol, chroniqueur régulier de l'émission, qui lui « appelle simplement à une contre-expertise et un débat » sur « les effets adverses des vaccins ».

Pascal Praud est prêt à engager ce débat mais récuse son scepticisme sur les malades des effets secondaires qu'il ne voit que sur les réseaux sociaux :
« 50 millions de Français vaccinés, vous vous doutez bien que s'il y avait des effets secondaires majeurs, ces personnes seraient sur les plateaux de télévision. Ils ne seraient pas sur les réseaux sociaux à dire qu'ils ont mal à la tête ou à l'oreille droite ! »

Commentaire : Pascal Praud fait preuve d'une mauvaise foi consternante qui serait risible si la situation n'était pas si dramatique. Comme si les chaînes de télévision aux ordres du pouvoir allaient inviter des victimes des vaccins à s'exprimer (!) lors que tout témoignage ou incident qui contredisent la propagande vaccinale sont systématiquement discrédités (« fake news », débunking en règle), minimisés (« c'est une coïncidence », « c'est 1 cas grave sur des centaines de millions de personnes vaccinées ») ou censurés. Il suffit pourtant de faire une recherche sur la base de données d'Eudravigilance pour les trouver, ces fameuses victimes des injections Covid ; les chiffres parlent d'eux-mêmes. Mais bon, faire un minimum de travail d'investigation doit être trop fatigant (et surtout trop dérangeant) pour les « journalistes » d'aujourd'hui.

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« Invitez-les », répond Ivan Rioufol : une proposition qu'accepte Pascal Praud. Dès cet été, le gouvernement avait déjà reconnu, en France, une augmentation des myocardites, péricardites, syndrome de Guillain-Barré, ou encore des thromboses, rares mais qui ont conduit à progressivement délaisser l'injection AstraZeneca par exemple, qui a été arrêtée en France au mois de juillet. Quant à lui, le vaccin Moderna a été récemment suspendu en Suède ainsi que dans d'autres pays nordiques.