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BERLIN (Reuters) - Trente-trois pour cent des étudiantes et étudiants berlinois n'excluent pas d'user de leurs charmes pour financer leurs études - soit en se livrant à la prostitution, soit en s'exhibant dans des spectacles coquins ou sur internet.

A Paris, où le Centre d'études de Berlin a mené également une enquête, 29,2% des étudiantes et étudiants se disent prêts à recourir à de telles pratiques pour gagner de l'argent, et 18,5% à Kiev, la capitale ukrainienne.

Sur les 3.200 étudiants interrogés à Berlin, quatre pour cent reconnaissent avoir déjà eu recours au sexe pour financer leurs études.