Ce jeudi 30 décembre 2021 (données consolidées), 52 901 196 (+34 820) personnes ont reçu au moins une première dose de vaccin contre le coronavirus en France, soit 78,80 % de la population Française. 51 746 389 (+28 483) personnes sont totalement vaccinées ce qui représente 77,10 % de la population. (sortiraparis.com)
cassetoi
Si globalement 75 % des Français se sont fait piquer deux fois, pour la troisième, la pilule gouvernementale passe mal. Tout le monde se rend compte que les deux premières injections n'ont pas réussi à enrayer la pandémie (plus précisément le nombre de cas dits positifs, des contaminations et des entrées à l'hosto, selon les chiffres officiels, bien sûr) et surtout, la propagande gouvernementale pour le vaccin, qui semble être déconnectée du réel.


Devant ces chiffres alarmants, la chute de la courbe qui passe de 80 % pour les deux premières à 35 % pour la 3e dose, ce qui traduit une énorme méfiance vis-à-vis du discours politique sanitaire, le gouvernement et les médias mettent les bouchées doubles, en faisant tout pour bloquer la vie sociale des non-vaccinés, et dans les non-vaccinés, il faut compter non seulement les 6 millions d'irréductibles, qui n'ont reçu aucune dose, mais aussi la majorité des duo-vaccinés, dont le pass ne tiendra pas longtemps sans 3e dose ! Tout ou presque est à refaire !



Ainsi, une grande partie de ceux qui ont obéi (52 millions de Français) se retrouve au même niveau que ceux qui n'ont pas obéi, ce qui est assez ironique. Nous ne nous moquerons pas ici de ceux qui ont cru la parole gouvernementale, car cela peut se comprendre, avec la panique fabriquée par les médias, médias qui sont aux ordres du politique, qui lui-même est aux ordres des puissances économiques, qu'elles soient occultes (les réseaux de pouvoir) ou officielles (le Big Pharma, le Big Tech, et évidemment la Banque).


La mort dans l'âme, devant les chiffres désastreux de la 3e dose (24 millions de triple dosés sur 52 millions de double dosés, sans parler des irréductibles), les médias mainstream sont obligés d'en rendre compte. C'est le cas de la porte-parole du covidisme sur RMC-BFM, madame Apolline Matin.


Ce témoignage de covidé prouve - malgré son erreur de cible (les non-vaccinés à la place des oligarques) - toute la méfiance qui est en train de monter, et qui ne peut être taxée de complotisme par les propagandistes habituels. Il faut trouver autre chose, et si on est sûrs d'une chose, c'est que le pouvoir actuel, cette dictature déguisée en démocratie, n'a aucune imagination.
Si la dose de rappel permet de stimuler le système immunitaire, certains refusent d'avoir recours à cette nouvelle injection. Effets secondaires qui persistent dans le temps et lassitude face à la durée de l'épidémie font partie des principaux motifs justifiant ce choix. Suite à l'appel à témoignages lancé par Actu.fr sur les réseaux sociaux, certains d'entre eux nous expliquent leur décision.
Le site actu.fr a recensé les témoignages, sur la région bordelaise, de ceux qui ont arrêté leur propre campagne de vaccination à deux doses. Le rappel, lui, ne passe pas. Car qui dit que ce rappel sera le dernier ? Castex a beau faire croire que les choses sont simples - « Il suffira de trois mois après votre deuxième injection, ou votre première si vous avez eu le Covid, pour pouvoir bénéficier de votre rappel » -, les choses ne sont pas si simples au niveau des croyants, qui le sont de moins en moins. La preuve en Gironde :


« Il y a quinze jours, j'ai dormi du lundi au jeudi sans me réveiller. Sachant qu'avant je dormais quatre heure par nuit maximum. Maintenant, je me retrouve à dormir de 70 ou 80 heures d'affilée si je ne mets pas de réveil », ajoute la mère de deux enfants. Des symptômes qui persistent encore aujourd'hui, dix mois après sa seconde dose. « On n'est pas sûr que ça vienne du vaccin, mais on n'est pas sûr que ça ne vienne pas non plus de là. C'est quand même une grosse coïncidence si mes deux premières crises se passent le lendemain de mes deux premières doses ». (...)

« J'ai des règles horriblement douloureuses, et aussi de fortes douleurs en dehors de mes cycles. De l'eczéma est également apparu sur environ 40 % de mon corps. À côté de ça, j'ai des démangeaisons incontrôlables, même la nuit, ma peau s'est dépigmentée, j'ai des grosses tâches sur tout le haut de mon corps, et ma peau est très douloureuse », explique la jeune femme de 24 ans. Ne connaissant pas l'origine de ces effets indésirables, Kethleen est allée consulter plusieurs médecins généralistes, des psychologues cognitifs, ainsi que des spécialistes de la médecine alternative. « Chaque jour, je regrette de m'être fait vacciner parce que j'en souffre. Mes frais pour les rendez-vous auprès de différents spécialistes s'accumulent, ça me coûte cher, et je ne m'en sors pas ». (...)

« Cette dose de rappel va emmener une quatrième dose et ainsi de suite. La durabilité du test PCR est réduite et sa gratuité a disparu. Cette sensation de manque d'option ne me donne pas envie de faire davantage d'effort que ces deux premières doses faites à contrecœur », explique-t-il. Le gouvernement a prévenu : le pass sanitaire sera désactivé pour tous ceux qui refuseront de faire le rappel. Pierre en a conscience, et ne se sent pas inquiet à l'idée de changer ses habitudes pour défendre ses convictions. « Je serai privé de cinéma, de bière, de restaurant, ce n'est pas insurmontable », ajoute-t-il.
Un discours émerge, celui de personnes qui préfèrent renoncer à certaines libertés ou plaisirs (restaurant, cinéma, théâtre, sport en salle) plutôt que de prendre le risque d'une 3e dose aussi obscure que vénéneuse, les injections précédentes n'ayant pas été, c'est le moins qu'on puisse dire, concluantes !
De son côté, Kethleen Delignette se pose des questions sur l'utilité du pass sanitaire et se sent prête à s'en passer pour éviter la dose de rappel : « Aujourd'hui, un vacciné peut accéder à un lieu public sans aucun problème, qu'il soit porteur du virus ou non, alors qu'un non-vacciné doit fournir un test négatif. Où est l'utilité concernant la propagation du virus ? (...) Je préfère me priver de liberté un certain temps plutôt que de mettre en péril ma santé pour une durée indéfinie », conclut la jeune femme.
Un médecin renonce plutôt que de se soumettre à des ordres infâmes