Un collègue analyste boursier chevronné m'a envoyé aujourd'hui un lien par SMS, et lorsque j'ai cliqué dessus, j'avais du mal à croire ce que je lisais. Quel titre ! « Le PDG d'une compagnie d'assurance-vie de l'Indiana affirme que les décès ont augmenté de 40 % chez les personnes âgées de 18 à 64 ans ». Ce titre est une bombe atomique de vérité brutale sous couvert de n'être qu'une compilation de tableaux actuariels d'un agent d'assurance.
Des personnes nous écrivent fréquemment, à Jill et à moi-même. Des gens que nous n'avons jamais rencontrés. Ils appellent, ils viennent à la ferme sur rendez-vous ou à l'improviste, ils remplissent nos boîtes aux lettres électroniques de leurs sollicitations. Ils veulent tous quelque chose : du temps, de l'attention, une interview. Ils sont nombreux à vouloir nous parler de leurs peurs, de leurs maladies, de leurs cauchemars ou carrément (ce qui s'apparente souvent à) des conspirations paranoïaques. Et puis, avec le temps, ces peurs et ces « conspirations » se confirment. Comme me l'a récemment indiqué Jan Jekielek (un rédacteur en chef du The Epoch Times), il est de plus en plus difficile de distinguer les théories du complot de la réalité.
Un des visiteurs à la ferme m'a raconté qu'il avait prédit un nombre massif de décès dans les trois années à venir à cause des vaccins génétiques, et que tout cela était lié à la « Grande réinitialisation » et au programme de dépeuplement du Forum économique mondial. J'ai essayé de le rassurer en lui disant que, selon moi, c'était hautement improbable — tout en pensant en privé à la facilité avec laquelle les gens tombent dans ce type d'idées conspirationnistes, et au fait qu'il me faut faire preuve de prudence pour éviter de tomber dans ce travers lorsque je suis confronté à tant de décisions de santé publique qui semblent soit incompétentes, soit infâmes. À l'époque, je ne connaissais le Forum économique mondial que comme l'hôte d'une grande fête annuelle à Davos, en Suisse, où les super riches et les oligarques des nations occidentales se retrouvent pour assister à des conférences Ted, boire les meilleurs vins, voir et être vu. Je suis stupide. Quel long et étrange parcours ce fut. Je doute que même que dans son état le plus drogué et alcoolisé Hunter S. Thompson aurait pu l'imaginer. Je dirais simplement que je nomme Ralph Steadman illustrateur officiel de la [soi-disant -NdT] pandémie de Sras-CoV-2. Ou un Hieronymus Bosch ressuscité.
Mais je m'éloigne d'un point que j'ai peur d'énoncer clairement.
Je commence à penser que la plus grande expérience sur les êtres humains de l'histoire a échoué. Et, si ce rapport plutôt brutal d'un cadre supérieur d'une compagnie d'assurance-vie de l'Indiana s'avère exact, alors la campagne de Reiner Fuellmich sur les « Crimes contre l'humanité » visant à convoquer de nouveaux procès de Nuremberg commence à sembler nettement moins chimérique et nettement plus prophétique.
Voici ce qui m'a interpellé dans ce reportage de Margaret Menge, collaboratrice de The Center Square.
« Le chef de la compagnie d'assurance OneAmerica, basée à Indianapolis, a déclaré que le taux de mortalité chez les personnes en âge de travailler a augmenté de façon stupéfiante de 40 % par rapport aux niveaux antérieurs à la pandémie.Alors, qu'est-ce qui explique cette hausse sans précédent de la mortalité toutes causes confondues ? Selon M. Davison :
Le PDG de la compagnie, Scott Davison, a déclaré ce qui suit lors d'une conférence de presse en ligne cette semaine :« Nous observons, en ce moment même, les taux de mortalité les plus élevés que nous ayons vus dans l'histoire de ce secteur — et pas seulement chez OneAmerica. Les données sont cohérentes chez tous les acteurs du secteur. »OneAmerica est une compagnie d'assurances qui vaut 100 milliards de dollars et dont le siège social se trouve à Indianapolis depuis 1877. La société compte environ 2 400 employés et vend des assurances-vie, y compris des assurances-vie collectives aux employeurs de l'État.
Selon M. Davison, l'augmentation du nombre des décès atteint « des proportions énormes », et ce ne sont pas des personnes âgées qui meurent, mais « principalement des personnes en âge de travailler, âgées de 18 à 64 ans », qui sont employées par des entreprises ayant souscrit des plans d'assurance-vie collective auprès de OneAmerica. Il ajoute :« Et ce que nous avons vu au troisième trimestre, et que nous voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c'est que les taux de mortalité ont augmenté de 40 % par rapport à ce qu'ils étaient avant la pandémie. Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe cotée trois sigmas, c'est-à-dire qui se produit une fois tous les deux cents ans, correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la période pré-pandémique. Donc 40 %, c'est du jamais vu. »
« La plupart des déclarations de décès qui sont déposées ne sont pas classées comme des décès Covid-19. Ce que les données nous montrent, c'est que les décès qui sont déclarés comme des décès Covid sous-estiment grandement les décès réels dus à la pandémie des personnes en âge de travailler. Il se peut que tous les décès ne soient pas inscrits sous la rubrique Covid sur les certificat de décès, mais leur nombre est tout simplement énorme, énorme. »Prenez un moment pour lire l'article en entier. Maintenant. Puis continuons, en supposant que vous l'ayez fait.
A minima, et sur la base de ma lecture, on doit conclure que si ce rapport se tient et se trouve confirmé par d'autres rapports dans le monde implacable des compagnies d'assurance-vie, nous avons à la fois une énorme tragédie humaine et un profond échec de politique publique du gouvernement et du Département de la Santé et des Services sociaux des États-Unis censés servir et protéger les citoyens qui paient pour ces « services ».
Si cela est vrai, alors les vaccins génétiques — qui ont fait l'objet d'une publicité très agressive — ont échoué, et la campagne fédérale visant clairement à empêcher un traitement précoce avec des médicaments vitaux a contribué à un très grand nombre de vies perdues qui auraient pu être sauvées.
Dans le pire des cas, ce rapport implique que les obligations fédérales de vaccination en milieu professionnel ont conduit à ce qui semble être un véritable crime contre l'humanité. Un très grand nombre de vies ont été perdues parmi les (probables) travailleurs contraints d'accepter un vaccin toxique à une fréquence plus élevée que la population générale de l'Indiana.
EN OUTRE, nous avons également vécu la campagne de propagande et de censure la plus massive et la mieux coordonnée de l'histoire de l'humanité. Tous les grands médias de masse et les entreprises technologiques qui possèdent les réseaux sociaux se sont coordonnés pour étouffer et supprimer toute discussion sur les risques des vaccins génétiques ET/OU sur les traitements alternatifs précoces.
SI ce rapport s'avère exact, il faudra rendre des comptes. Il ne s'agit pas seulement du Premier amendement de la Constitution des États-Unis qui est foulé aux pieds et enfoui dans la boue par une armée d'infanterie lourde alimentée par l'intelligence artificielle. Cet article se lit comme la description brutale d'une catastrophe majeure qui aurait pu être évitée et qui a été causé par le recours à une expérience médicale imposée. Une procédure dans laquelle toutes les possibilités pour les victimes de s'informer sur les risques potentiels ont été méthodiquement effacées d'Internet et de la conscience publique par une cabale internationale corrompue qui opère sous la bannière de la « Trusted News Initiative ». George Orwell doit se retourner dans sa tombe.
J'espère avoir tort. Je crains d'avoir raison.
Note du traducteurSource de l'article initialement publié en anglais le 3 janvier 2022 : Robert W Malone, MD — Substack
La Trusted News Initiative, lancée en 2019 — comme c'est pratique — a vocation à soi-disant protéger le public contre la désinformation. Les partenaires de l'initiative TNI sont la BBC, Facebook, Google/YouTube, Twitter, Microsoft, l'AFP, Reuters, l'Union européenne de radio-télévision (UER), le Financial Times, The Wall Street Journal, The Hindu, CBC/Radio-Canada, First Draft et le Reuters Institute for the Study of Journalism.
En fait, sous couvert de protéger contre la désinformation, il s'agit bel et bien d'un programme de désinformation/mauvaise information.
Information additionnelle
Par ailleurs, le site Web Anti-Empire met des images sur l'horreur :OneAmerica est une compagnie d'assurances qui vaut 100 milliards de dollars et dont le siège social se trouve à Indianapolis depuis 1877. La société compte environ 2 400 employés et vend des assurances-vie, y compris des assurances-vie collectives aux employeurs de l'État.Il [M. Davison] a ajouté qu'en même temps, la société constate une « hausse » des déclarations d'invalidité, précisant qu'au début, il s'agissait de déclarations d'invalidité de courte durée, et que l'augmentation concerne aujourd'hui des déclarations d'invalidité de longue durée :
Selon M. Davison, l'augmentation du nombre des décès atteint « des proportions énormes », et ce ne sont pas des personnes âgées qui meurent, mais « principalement des personnes en âge de travailler, âgées de 18 à 64 ans », qui sont employées par des entreprises ayant souscrit des plans d'assurance-vie collective auprès de OneAmerica. Il ajoute :« Et ce que nous avons vu au troisième trimestre, et que nous voyons se poursuivre au quatrième trimestre, c'est que les taux de mortalité ont augmenté de 40 % par rapport à ce qu'ils étaient avant la pandémie. Pour vous donner une idée de la gravité de la situation, une catastrophe cotée trois sigmas, c'est-à-dire qui se produit une fois tous les deux cents ans, correspondrait à une augmentation de 10 % par rapport à la période pré-pandémique. Donc 40 %, c'est du jamais vu. »« En ce qui concerne OneAmerica, nous nous attendons à ce que les coûts de cette situation dépassent largement les 100 millions de dollars, et c'est notre plus petite activité. Cela a donc un impact énorme sur cette activité. »Lors de la même conférence de presse où s'est exprimé M. Davison, Brian Tabor, président de l'Association des hôpitaux de l'Indiana, a déclaré que les hôpitaux de l'État étaient submergés de patients « souffrant de nombreuses pathologies différentes », ajoutant que « malheureusement, la santé de l'Hoosier moyen a décliné pendant la pandémie » [Hoosier est le nom donné aux natifs et habitants de l'Indiana - NdT].
Dans un entretien téléphonique complémentaire, Tabor a déclaré qu'il ne possédait pas de données ventilées permettant de déterminer pourquoi tant de personnes sont hospitalisées dans l'État — pour quelles pathologies ou problèmes de santé. Mais il a ajouté que le taux de mortalité extraordinairement élevé cité par Davison correspondait à ce que les hôpitaux de l'État pouvaient observer :« Ce que cela a confirmé pour moi, c'est que cela corrobore ce que nous voyons sur le terrain [...] ».Le nombre d'hospitalisations dans l'État est maintenant plus élevé qu'avant l'introduction du [soi-disant - NdT] vaccin Covid-19 il y a un an, et il est en fait plus élevé qu'il ne l'a été au cours des cinq dernières années, a déclaré le Dr Lindsay Weaver, médecin-chef de l'Indiana, lors d'une conférence de presse avec le gouverneur Eric Holcomb mercredi.
Seulement 8,9 % des lits d'unités de soins intensifs sont disponibles dans les hôpitaux de l'État, ce qui est le taux le plus bas de l'année et le plus faible jamais enregistré pendant la [soi-disant - NdT] pandémie. Mais la majorité des lits d'unités de soins intensifs ne sont pas occupés par des patients atteints du Covid-19 — 37 % seulement le sont, tandis que 54 % des lits d'unités de soins intensifs sont occupés par des personnes souffrant d'autres maladies ou de problèmes de santé.
Traduction et emphases : Sott.net
Commentaire : Voir aussi Le PDG d'une compagnie d'assurance-vie de l'Indiana constate que les décès ont augmenté de 40 % chez les personnes âgées de 18 à 64 ans
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