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Donald a été raté de peu par un antifa manipulé par la partie démocrate des services, avec un ordre venu de tout en haut, parce qu'aucun intermédiaire ne prendrait une telle responsabilité, celle de participer à l'assassinat du vrai président en cours (l'élection de Biden a été truquée), et du suivant si Dieu lui prête vie.



Cette « Kennedy » tombe en pleine Trump-mania, et pendant que l'histoire s'écrit aux États-Unis, le grotesque emporte ce qui reste de la politique française, avec une Oudéa-Castéra qui glisse sur la boue avant d'entrer, en combi tout de même, dans une Seine tiédasse, donc pourrie.


Les vrais nageurs ne s'ébattent pas dans la soupe, ils préfèrent l'eau dite libre, fraîche et tonifiante. La femme-grenouille, dans tous les sens du terme, avec sa niaiserie pour tout sourire - « moi j'aime dja-dja » -, désanoblit la fonction et fait rire le monde entier à nos dépens. Nous sommes 66 millions de Français otages de ces crétins dangereux.

Dans la maison d'en face, chez l'Anne, c'est pas mieux, avec ses discours incohérents et les coiffeurs relookeurs qui s'arrachent les cheveux pour rendre son mépris permanent présentable.

Aux USA se jouent les grands enjeux, chez nous les petits Jeux à la con, organisés ou plutôt désorganisés par une équipe de bras cassés du niveau école de commerce.


Par-dessus ce merdier ultralibéralo-écolo-LGBT, notre président continue, probablement poussé par la même équipe ou le même esprit qui a tenté d'abattre Trump, à vouloir entrer en guerre contre la Russie, et contre le peuple français.
« Je veux que, lorsque l'on devient français, on signe une déclaration reconnaissant l'État d'Israël. » (Caroline Yadan, remplaçante de Meyer Habib)
Car ne vous y trompez pas : attaquer la Russie, c'est achever la France.

Le dernier à avoir parlé de « détermination extrême »est Hitler quand il galvanisait ses troupes, justement à l'assaut de l'URSS. On sait comment ça a fini. Si Trump n'est pas élu le 4 novembre, le monde entier basculera dans la guerre.