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L'affaire Franklin :
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Abus sexuels rituels : le cas de la maternelle McMartin aux États Unis
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Affaire Verdin: la plainte contre Lang, Hollande et Moscovici est recevable
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La domination masculine - Chapitre 5 : Le corps et la violence contre les femmes - Fiche n° 14 : Origine des mots de la différence sexuelle
Extrait :
" Les mots latins utilisés pour parler de la sexualité expriment une opposition chez les Romains entre le masculin et le féminin qui est liée à l’opposition entre l’actif et le passif. Les pratiques sexuelles que les romains distinguaient (comme d’ailleurs les grecs avant eux) n’étaient pas l’homosexualité et l’hétérosexualité mais l’active et la passive, le phallus (fascinus) à tous les
orifices.
Pour les Romains, un homme n’est un homme mâle, viril (vir) que lorsqu’il est en érection. La masculinité est connotée d’un caractère actif, énergique, tandis que la féminité est associée à la passivité. Or, les romains avaient horreur de la passivité sexuelle. Pour eux, tout ce qui est actif et tout ce qui fait lever l’organe sexuel mâle est hautement noble. Tout ce qui est passif
est déprécié.
D’ailleurs, le mot de fascination, c’est-à-dire la vive influence, l’envoûtement exercé sur quelqu’un, dérive du mot latin fascinus qui signifie le sexe masculin dressé.
La référence pour l’analyse des mots du sexe est le livre de Florence Montreynaud « Appeler une chatte… » (éd Calman-Lévy).
On y apprend que jusqu’au début du XXe siècle, on parlait de « parties honteuses » pour qualifier le sexe. On trouve déjà ce terme dans la bible (Deutéronome) et dans différents textes de l’Antiquité grecque. Il y a d’ailleurs toujours (en langage médical) les « artères honteuses » et « nerf honteux » qui sont reliés au sexe.
L’expression existe aussi en anglais (parts of shame), à côté de « private parts » et « natural parts ».
En allemand, « Scham » signifie honte, pudeur, nudité et parties sexuelles. « Schamritze »
• La mentula est le pénis.
• Le fascinus est le mot romain pour phallos (en grec), le pénis érigé.
• Masculin dérive de mas, maris qui veut dire enfant mâle, garçon mais est utilisé aussi comme adjectif pour dire mâle, viril, énergique.
Informations tirées du livre « Le sexe et l’effroi » de Pascal Quignard, Paris, Gallimard, 1994.
[...]
La domination masculine - Chapitre 5 : Le corps et la violence contre les femmes - Fiche n° 16 : Le formatage des corps
Extrait :
" Les modèles de beauté
De tous temps, le corps des femmes a été façonné par des artifices vestimentaires selon les standards de beauté de l’époque. Dans la civilisation occidentale, certaines époques ont glorifié les femmes rondes et bien en chair. A d’autres époques, au contraire, ce sont les femmes menues et longilignes qui sont ventées pour leur beauté…alors qu’au même moment, mais dans d’autres civilisations, ces mêmes femmes seront considérées comme laides…
Certains artifices sont utilisés pour modeler le corps féminin selon ces standards : corset pour accentuer la taille, coussins pour rebondir les fesses, talons pour allonger les jambes… Les périodes où les modes vestimentaires donnaient plus de liberté de mouvement aux femmes (déclin du corset, apparition du pantalon…) sont généralement des périodes où les femmes ont une plus grande participation à la vie politique, professionnelle et sexuelle.
Actuellement, la « libération » du corps féminin entraîne en réalité les femmes dans un nouveau piège. Comme elles n’ont plus d’artifices pour cacher leurs rondeurs, c’est la minceur qui devient la norme esthétique et beaucoup de femmes se sentent « obligées » d’y correspondre coûte que coûte. Le modèle actuel de beauté féminine est en effet celui d’une adolescente pré-pubère, au corps ferme et filiforme. Hors du monde de la mode, certaines rondeurs stratégiques (seins, fesses, lèvres) sont encouragées. L’exigence de la « ligne » et la lutte contre le « vieillissement » sont les deux normes qui contraignent le corps des femmes et que les industries de la mode et de l’esthétisme sont très impliquées à promouvoir. La beauté n’est plus considérée comme un « cadeau de la nature » mais un devoir à réaliser pour les femmes.
Suite et beaucoup plus dans le pdf ici :
[Lien]
Et aussi pour rappel, l'excellent article de Richard Poulin : " Valeur vénale, domination sexuelle et tyrannie narcissique de l'apparence, sexe objectivé et sadisme culturel.
Extrait :
" L'agression sexuelle est un acte d'appropriation du corps et du sexe d'autrui, qui dépersonnalise et déshumanise, tout en révélant la hiérarchie sociale. Elle est masculine9 et ses victimes sont des femmes, des filles ou des êtres féminisés10. "
Note n°9 : " Selon les données du ministère de la Sécurité publique (ibid.), 98 % des agresseurs sexuels sont des hommes. "
Note n°10 : " La plupart des pédocriminels attirés par les garçons sont hétérosexuels. À leurs yeux, le jeune garçon est tout simplement incorporé au genre féminin. Le fait qu'il soit impubère lui confère un statut féminin. Ces prédateurs rejettent, en règle générale, les garçons qui atteignent leur puberté. Voir l'étude pionnière de Florence Rush, Le secret le mieux gardé. L'exploitation sexuelle des enfants, Paris, Denoël Gonthier, 1983. "
Source :
[Lien]