Traduction SOTT

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Le père et la mère n'éprouvent pas pour le nouveau-né l'amour qu'ils éprouvent pour l'enfant d'un an, et ils n'aiment pas l'enfant d'un an autant que celui de six ans. Si donc on laissait l'enfant deux ou trois ans (sans le circoncire), cela aurait pour conséquence de négliger la circoncision, par l'affection et l'amour qu'on aurait pour l'enfant. - Moïse ben Maïmon - Guide des Égarés - Volume III Chapitre 39
Il semble que l'humanisme laïc en Allemagne ait finalement achevé son projet, lancé il y a plusieurs décennies, de ruiner le patrimoine moral de nos grands Empires Unis de la Terre. Comment ? En mettant fin à la mutilation génitale des enfants.

Pour certains, la circoncision relève du champ religieux. Pour d'autres c'est une simple question d'hygiène. Il est bien connu que l'alliance du judaïsme se fonde sur la circoncision, et une foule de cultures à travers le monde l'intègre dans leurs rites de passage d'une manière des plus horribles. Pour d'autres, il était nécessaire d'en faire une pratique plus universellement acceptée. C'est pourquoi la circoncision a été médicalisée. Certains pourraient trouver difficile d'imaginer que les Aborigènes et les membres de tribus africaines trouvent leurs organes génitaux si sales qu'ils se mirent à les couper. Par conséquent de lourds efforts ont été investis afin de fournir des « preuves » démontrant les vertus de la circoncision, de la protection contre le cancer du pénis et le VIH jusqu'à la propreté en général.

Ainsi, voyez-vous, bien que les individus sensés aient depuis longtemps compris que la seule façon de garantir qu'un enfant soit propre, mature, ou même qu'il devienne un saint, est de couper la peau de leur plus tendre intimité alors qu'ils sont trop jeunes pour être en mesure de se défendre, ce mensonge plausible pourrait avoir atteint ses limites. Pourtant, il est facile de voir pourquoi on y a cru pendant si longtemps : qui a le courage d'entrer dans le complexe dédale qui entoure cet acte brutal et d'affronter le monstre, à l'intérieur et à l'extérieur, qui exige la mutilation des enfants ?
Aux États-Unis, la circoncision a commencé au cours de la période d'hystérie entourant la masturbation pendant l'époque victorienne, quand quelques médecins étasuniens se mirent à circoncire des garçons pour les punir de s'être masturbés. Les médecins victoriens savaient très bien que la circoncision expose, désensibilise et estropie le pénis. Néanmoins, ils se mirent rapidement à prétendre que la circoncision guérissait l'épilepsie, les convulsions, la paralysie, l'éléphantiasis, la tuberculose, l'eczéma, le pipi au lit, les affections touchant l'articulation de la hanche, l'incontinence fécale, le prolapsus rectal, les rêves humides, les hernies, les maux de tête, la nervosité, l'hystérie, les problèmes de vue, l'idiotie, l'arriération mentale et la folie.

En fait, la circoncision est dans toute l'histoire de la médecine la procédure médicale pour laquelle on a revendiqué le plus grand nombre de prévention et de guérisons de maladies. Jusque dans les années 1970, les principaux manuels de médecine américains continuaient à préconiser une circoncision systématique afin d'empêcher la masturbation. Les motivations anti-sexuelles derrière une opération qui implique de couper une partie du pénis sont évidentes.
Ce sont les médecins du XIXe siècle qui ont lancé l'idée selon laquelle la circoncision rituelle était motivée par des raisons de santé. Ils ne savaient rien de l'anthropologie, mais ils étaient enthousiastes de trouver une légitimité historique à la nouvelle thérapie chirurgicale qu'ils voulaient introduire. L'antiquité, pensaient-ils, conférait cette légitimité. ... La neuvième édition de l'Encyclopaedia Britannica (1876) présentait cette pratique comme un rite religieux pratiqué chez les juifs, les musulmans, les Égyptiens et plusieurs peuples indigènes et tribaux, rejetant donc les explications d'ordre sanitaire ou hygiénique en faveur d'un aspect religieux :

Comme d'autres mutilations corporelles ... [elle est] de nature sacrificielle. ... Le principe de substitution était familier à tous les peuples de l'antiquité, et encore plus chez les Israélites. ... D'après ce principe, la circoncision constituait une reconnaissance à moindre frais de la propriété divine sur la vie humaine, une partie du corps étant sacrifiée afin de préserver le reste.
Cette « reconnaissance à moindre frais » est fort intéressante, n'est-ce pas ? Cela me fait penser aux profits que les sociétés pharmaceutiques et l'industrie médicale génèrent autour du business de la circoncision : les actes chirurgicaux, les équipements, et même la vente des prépuces pour qu'ils soient utilisés dans les cosmétiques.

Mais poursuivons notre récit :
A compter de la onzième édition (1910) la définition du terme avait totalement changé : ... soudain la circoncision était devenue avant tout un acte médical, et accessoirement un rite religieux. On lit dans cette définition que : « ces dernières années la profession médicale a été responsable de l'essor considérable de la circoncision pas seulement chez les enfants juifs ... pour des raisons de santé ». En 1929, la définition est beaucoup moins longue et se compose simplement d'une brève description de l'opération, qui est « pratiquée à titre préventif chez l'enfant » et « réalisée principalement à des fins de propreté » ; les lecteurs sont ensuite dirigés vers les définitions des termes « Mutilation » et « Déformation » pour une discussion de la circoncision dans son contexte religieux.
En raison principalement de la dégradation évidente du langage, si à ce stade les évangiles ne vous ont pas convaincus, alors vous devriez désormais « savoir » ce que vous êtes censés savoir : que la circoncision est tout simplement bonne pour la santé, depuis toujours, et qu'elle réduit le risque de contracter le VIH. Du moins tant que les chercheurs n'auront pas mené des essais randomisés qui le prouvent, et qu'ils demeurent des défenseurs de la circoncision.

Mais bien sûr, nous parlons ici de la circoncision des adultes et je peux déjà vous entendre dire : « Mais en premier lieu les bébés et les enfants ne sont pas censés avoir des relations sexuelles. » Allez donc le dire aux personnes en charge de toutes les grandes institutions de ce monde. Ils semblent n'avoir aucun scrupule à l'égard d'actes sexuels commis sur des enfants, et je ne parle pas seulement de l'Église catholique, même si un sacré coup de projecteur devrait être porté sur le fonctionnement de cette institution en particulier. Ils sont tous, au sommet de la pyramide, impliqués dans d'écœurantes affaires de maltraitance infantile. Il suffit de vous pencher sur l'affaire Dutroux, ou le scandale Franklin, et vous comprendrez pourquoi les « dirigeants » de ce monde n'ont rien contre la circoncision masculine, ou féminine, alors que le peuple la trouve très discutable.

Donc, une fois encore, ils font de l'argent grâce à la misère, et le seul « bénéfice » que nous en tirons est un renforcement des idées pathologiques. Les idées approuvées par l'élite sont celles qui sont acceptées, même à contrecœur, par la majorité, jusqu'à ce que la prochaine génération apparaisse et les accepte comme étant les siennes. En fait, l'histoire de civilisation occidentale démontre qu'elle nourrit une véritable haine à l'idée même de la circoncision (et ce pour des raisons évidentes).

Donc, si nous pensons vraiment que les responsables des organisations soutenant une circoncision de masse - les médias et l'ensemble des grandes institutions qui ont façonné cette manière de penser pathologique, désensibilisée et aride - ont à cœur notre bien-être, alors nous n'avons vraiment pas fait attention, n'est-ce pas ? Nous nous retrouvons encore plus loin dans le labyrinthe.
« Le véritable but, c'est la douleur corporelle à infliger à ce membre .... Car, si, dès la naissance on fait saigner ce membre en lui ôtant sa couverture, il sera indubitablement affaibli. » - Moïse ben Maïmon - Guide des Égarés - Volume III Chapitre 39
Aussi, peu importe à quel point « mutilation » et « déformation » sont défendues, que ce soit par le biais de l'hygiène ou de la religion, quel est le véritable objectif qui se cache derrière la circoncision ? Soyons francs ! C'est la douleur ! Voilà une idée novatrice ; vous blessez quelqu'un pour lui infliger de la douleur ! A l'origine, l'idée schizoïde était d'éliminer toute immoralité sexuelle, mais bien sûr les dommages infligés sont beaucoup plus importants.
Suivant de près (et en contradiction avec) la théorie selon laquelle la circoncision ne provoque aucune douleur, on trouve fréquemment la déclaration suivante : « D'accord, peut-être que ça fait mal, mais ça ne dure qu'un instant et la minute qui suit c'est oublié. Ils sont trop jeunes pour s'en souvenir ». En fait, la plaie à vif du gland peut saigner et rester douloureuse pendant plusieurs jours, la douleur est donc loin d'être ponctuelle. En outre, il est largement prouvé que les nouveau-nés ont une certaine mémoire de l'événement, qui prend la forme, non pas d'un souvenir conscient, mais d'une restructuration permanente du système nerveux. Il en résulte une intensification des réactions comportementales aux stimuli douloureux ultérieurs, comme si le système nerveux avait été « sensibilisé ». Ainsi, par exemple, Taddio et al. ont constaté que la douleur éprouvée par les enfants lors de la vaccination était significativement plus grande chez ceux qui avaient été circoncis (plusieurs mois auparavant) que chez ceux qui ne l'étaient pas. D'autres études montrent que la douleur ressentie dans la petite enfance peut perturber l'allaitement, les liens entre la mère et l'enfant et la qualité du sommeil.
Non seulement les nouveau-nés ressentent la douleur, mais ils la perçoivent plus intensément, plus longtemps et sur une plus grande étendue corporelle que les enfants plus âgés ou les adultes soumis au même stimulus. Fitzgerald et son équipe de l'University College London, ont clairement démontré que le système nerveux d'un nouveau-né diffère de celui d'un enfant plus âgé ou d'un adulte, tant sur le plan anatomique que physiologique, de sorte que ce qui constitue un stimulus bénin ou inoffensif chez l'enfant plus âgé ou l'adulte produit effectivement de la douleur chez le nouveau-né. En outre, les nouveau-nés ne disposent pas des systèmes d'inhibition ou d'atténuation que l'on retrouve dans des systèmes nerveux plus matures, aussi ils ne peuvent pas se protéger de la douleur comme ils le pourront ultérieurement.
Et si vous n'êtes pas encore malade de lire tout cela, je vais vous demander de vous rappeler que tout ceci est réel, ce n'est pas un rêve. La douleur des enfants est bien sûr l'objectif central, mais nous avons été tellement conditionnés à croire nos dirigeants et nos traditions (et j'entends par là chacun d'entre nous, au niveau intellectuel émotionnel et physiologique en raison de notre alimentation) que nous ne voyons pas ce qui est juste en face de nous ! Parce que nous ne pouvons pas vraiment accepter que nous avons été délibérément poussés à mutiler les enfants afin de leur faire du mal, nous voulons entendre que nous les avons sauvés d'une vie de péché, ou d'une maladie, etc. Et cette explication est suffisamment répétée pour que les gens y croient. Nous devons accepter ce mensonge, sinon ... quel genre de créature pousserait une tribu, puis une société, puis un continent entier à de telles pratiques ? Sans remplacer la réalité sombre et froide par des pensées heureuses, il nous faudrait alors faire face à ce qui se trouve au cœur de ce labyrinthe : en brutalisant nos enfants dès leur naissance, nous mettons en œuvre la vision du monde portée par des psychopathes. La douleur ressentie par leur corps à un tel stade de développement reste probablement gravée pour le restant de leur vie, et permet de les contrôler par le biais de la peur et de la souffrance. Nous mutilons les enfants alors que tout ce qu'ils demandent c'est de l'affection. Ils veulent de l'amour et nous leur donnons l'épée.

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Par conséquent tout déni à ce sujet est probablement dû à notre besoin d'avoir raison et de nous sentir en sécurité, car ainsi notre civilisation quasi virale est dans le vrai, et nous pouvons continuer à nier la réalité mortifère qui s'est développée tout autour de nous grâce à notre grande ignorance. Mais nous n'avons pas raison. Nous sommes tellement dans l'erreur que nous sommes incapables d'entendre sonner le glas, mais nous en verrons sous peu les effets.

Alors, quand j'entends que la Conférence des rabbins européens qualifier la fin de la circoncision en Allemagne d' « attaque la plus grave contre la vie juive en Europe depuis l'Holocauste », je ne me demande même plus dans quel genre d'univers ils doivent vivre pour pouvoir dire des choses aussi odieuses, se faire passer pour des victimes alors qu'ils coupent la chair de bébés âgés d'à peine une semaine, et interpréter de manière aussi sélective leur propre religion afin de justifier les mutilations génitales. Je sais que ce sont des morts-vivants, assoiffés de sang. Je n'ai pas besoin d'une étude clinique randomisée pour m'en convaincre.
Dans le judaïsme, il existe une loi appelée « Shmirat Ha Gouf », c'est-à-dire la garde ou la protection du corps. Les piercings, les tatouages et les amputations sont tous interdits pour cette raison. En outre, il y a le concept talmudique de « Tsa'ar Ba'alei Chayyim », la compassion pour toutes créatures vivantes. Si la compassion dans toute sa plénitude était appliquée à des bébés de 8 jours, la circoncision serait impossible.
Aussi, pour sortir de ce labyrinthe, je n'ai besoin de personne pour me dire qu'il a été « prouvé » ou « réfuté » par une étude randomisée que les enfants ne devraient pas voir leur corps mutilé au nom d'une antique religion tribale qui n'est pas la nôtre et qui n'a pas l'intérêt d'autrui à cœur. Je peux penser par moi-même, merci.

Je sais que les bébés ressentent la douleur. Et à mesure qu'ils grandissent, je sais que la douleur est toujours là quand ils doivent rester rivés à leur table pendant des heures en attendant l'heure de la sonnerie, qui les fera seulement passer d'une salle d'endoctrinement à une autre, quand ils évitent fébrilement les intimidations dans le bus et le stress qui les attend à la maison.

Je sais que les enfants ressentent de la douleur quand ils sont envoyés vers la mort pour servir les objectifs des plus riches. Je sais à quel point ils ont besoin d'argent, de reconnaissance sociale, de donner un sens à leur vie. A tel point que s'ils survivent, s'ils arrivent à éviter la guerre, ils finiront esclaves de leurs dettes pour le reste de leur vie d'adulte.

Je sais que les enfants éprouvent de la douleur quand ils sont torturés sexuellement au nom du « progrès scientifique » par les mêmes types de psychopathes en quête d'une domination totale depuis tant de générations. Et je sais que si peu semblent s'en soucier, qu'il est probable que l'opinion que je défends pourrait s'évanouir le jour où ceux qui la partage disparaîtront.

Et je sais que tout ce qui menace l'intégrité de notre corps menace aussi l'intégrité de notre planète et vice-versa. Ce sont des leçons apprises trop tard. Mais au moins je les ai apprises. Et vous ?

Je ne crois pas à ces balivernes invoquant la religion ou l'hygiène. Elles sont issues de la corruption, le genre de corruption perpétrée par les individus pathologiques au pouvoir qui recourent à tous les moyens possibles pour exercer leur contrôle sur les autres.

Donc, contrairement aux innombrables individus qui investissent leur argent dans la bataille juridique allemande afin de faire perdurer la tradition ancestrale de l'élite psychopathe et lui permettre de jouir d'une nouvelle génération d'enfants mutilés, je vais utiliser cette partie vraiment divine en moi pour penser par moi-même et choisir le meilleur pour moi et ma famille. Que ce système psychopathique et les idéologies sur lesquelles il est fondé aillent au diable. Je préfère faire face à la terreur de la réalité que de mutiler mon fils ou ma fille. Croyez-moi, cela n'arrivera jamais.

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Note : Traduction intégrale de l'article de Paul M Fleiss, MD, "The Case against Circumcision" (Contre la circoncision) disponible ici.