La guerre de l'information bat son plein. Logiquement, c'est sur le dernier espace d'expression relativement incontrôlé, Internet, que se portent les coups de la censure.
L'Union des étudiants juifs de France (UEJF) est parvenue, par le biais de la justice, à faire caviarder une vidéo de Dieudonné sur YouTube [1] ; grâce à cette même association communautaire, la France détient haut la main le record mondial de demandes de suppression de tweets [2] ; le compte YouTube de l'historien révisionniste Vincent Reynouard vient d'être censuré en France et en Belgique...
Jeudi 14 février, c'était au tour de Facebook de s'attaquer à un dissident, Alain Soral, en supprimant une nouvelle fois sa page officielle.
Cette succession d'interdictions démontre s'il en était encore besoin que lobbies communautaires, pouvoirs publics et multinationales marchent aujourd'hui main dans la main pour faire taire les véritables opposants. Quant à savoir laquelle de ces sphères de pouvoir donne des ordres aux autres, tout le jeu de l'empire consiste justement à le dissimuler par tous les moyens. On ne s'étonnera donc pas que les cibles de la censure soient précisément ceux qui entendent le révéler en place publique !
« La page Alain Soral a été supprimée pour avoir à plusieurs reprises publié
des choses ne correspondant pas aux conditions d'utilisation de Facebook. »
des choses ne correspondant pas aux conditions d'utilisation de Facebook. »
Attaqué, le réseau Internet reste toutefois, bien que de manière sans doute provisoire, l'espace privilégié de la diffusion d'information. Une nouvelle page Facebook a donc été créée ; il est désormais possible de suivre le travail d'Alain Soral sur ce réseau social à cette adresse :
https://www.facebook.com/alainsoralofficiel
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