Nombreux sont ceux qui reconnaissent l'expression "la maladie chronique de Lyme", mais les traitements peuvent être eux moins connus et dangereux, selon un nouveau rapport publié par le CDC.
© Tami Chappell / ReutersLe Centres pour le contrôle et la prévention des maladies
Selon ce document, le dernier rapport sur la morbidité et la mortalité publié vendredi par les Centers for Disease Control and Prevention des États-Unis décrit
des traitements négatifs, nocifs et même mortels pour cinq patients atteints de la maladie chronique de Lyme.Un diagnostic de la maladie chronique de Lyme ne nécessite pas de preuves tangibles. "Les patients et leurs soignants doivent être conscients des risques associés aux traitements de la maladie chronique de Lyme", ont averti les médecins dans le
rapport.
Les différents diagnostics de la simple "maladie de Lyme" repose sur des preuves tangibles. Elle est causée par une infection par le spirochete Borrelia burgdorferi sensu lato, selon le rapport du CDC. Cependant, de façon choquante, les médecins arrivent parfois à la conclusion de la maladie chronique de Lyme sans aucun test de laboratoire approuvé par la FDA, ou même un test négatif pour l'infection de Borrelia burgdorferi sensu lato.
La transmission de l'infection peut provenir d'une morsure de tique. Les lésions cutanées, la fièvre, les maux de tête et la fatigue sont tous des symptômes courants. La fatigue, la douleur généralisée et les troubles neurologiques sont souvent associés au diagnostic.Si les patients ne demandent pas une assistance médicale pour cette maladie, les signes consécutifs de la maladie s'aggravent. L'infection se propage et peut causer arthrite, méningite, cardiite et neuropathie. Selon le rapport du CDC, un traitement antibiotique standard de deux à quatre semaines peut débarrasser une personne de la maladie.
L'âge des cinq patients du rapport allait de l'adolescence à la fin de la soixantaine.
Pour ajouter à la confusion, il existe un trouble reconnu appelé syndrome de la maladie de Lyme post-traitement. Cette condition se manifeste après que les patients suivent leur traitement standard pour la maladie de Lyme et présentent encore des symptômes par la suite, selon Ars.
Il n' y a pas encore de données probantes démontrant ce qui cause la PTLDS, mais les chercheurs croient qu'elle est causée par des lésions tissulaires résiduelles et des réponses immunitaires. Une infection active n'est pas présente dans la PTLDS, selon Ars.
"Le nombre de personnes qui suivent des traitements pour la maladie chronique de Lyme est inconnu, tout comme le nombre de complications qui résultent de ces traitements", indique le rapport du CDC.
Il y a eu des patients chez qui on a diagnostiqué une maladie chronique de Lyme et qui ont été traités d'une manière qui, selon le CDC, ne s'est pas avérée efficace.
Traduction Sott
Moi qui ai souffert de cette infection, je crois qu'ils arrivent au point important, c'est ce que j'en suis arrivé à conclure personnellement, il resterait des lésions tissulaires et des problèmes immunitaires , ce qui engendre les troubles et l'opportunité à d'autres infections (non répertoriées et donc non-recherchées) qui chez un individu sain au niveau immunitaire, ne développe pas de symptôme pour ces infections, une simple piqûre de puce, phlébotome, poux, par exemple me donne fièvre et mêmes symptômes que la Lyme, ce qui sans anti-biotiques, la situation s’aggravent dangereusement au point de devoir être hospitalisé, pourtant aucun test n’aboutis à quelque chose de cohérant (évidemment ils recherchent que Lyme), d'où la négation des médecins à confirmer la maladie et leur refus de traitement ad-hoc.
Seul mon médecin traitant à accepté la prescription d'anti-biotique, et je fus guéri en 15 jours. Malgré cette preuve par les faits, le déni continue. 7 années que je galère où à chaque printemps, je me fais avoir par une puce ou autre.
Cette situation est intenable et s'il ne font pas l'analyse correctement, je dois prendre des anti-biotiques trop fort et probablement mal adaptés à la bactérie en cause.
La recherche approfondie solutionnerait la problématique d'un grand nombre de personne en souffrance. Il semble que les mutuelles font le véto, ces recherches sont onéreuses et préfère posé un diagnostique de déni et envoyer les patient en visite psychiatrique, je vous assure qu'après ça, on n'a plus aucune confiance en cette médecine "moderne".
J'ai essayé toutes les options dites alternatives, sans succès aucun, cela entraine d'autres lésions tissulaires et autres pertes immunitaires et le cercle vicieux s'installe.
Pour éviter la mort lente, le mieux est l'antibiothérapie la plus immédiate possible, suivi par un apport pré-pro-biotique pour la reconstruction des tissus, et là se situe la dernière complication, car les tissus abimés peuvent être à différent endroit en fonction de l'organe qui à été atteint, estomac, intestins, foie, reins, coeur, nerfs. Un spécialiste est probablement une aide indispensable pour ce genre de suivi. Outre la reconstruction rapide du microbiome, il faut aussi que la réparation des tissus soi prise en compte, les algues vertes "choline et spiruline" m'ont semblé prompte à agir correctement.
Voilà pour mon retour d'expérience, en lutte depuis 7 ans contre les ravages d'une simple piqûre de tique, qui pour moi à viré au cauchemar.