Ce qui suit constitue des faits entièrement référencés sur le Covid-19, fournis par des experts en la matière, pour permettre à nos lecteurs d'évaluer les risques de façon réaliste.
« Il ne s'agit pas d'héroïsme dans tout cela. Il s'agit d'honnêteté. C'est une idée qui peut faire rire, mais la seule façon de lutter contre la peste, c'est l'honnêteté. »

Albert Camus, La Peste, 1947
Coronavirus globe graphic
© BioWorld MedTech
Vue d'ensemble

  1. Selon les données des pays les mieux étudiés, tels que la Corée du Sud, l'Islande, l'Allemagne et le Danemark, la létalité globale du Covid19 se situe dans la fourchette inférieure pour mille et est donc jusqu'à vingt fois inférieure aux hypothèses initiales de l'OMS.
  2. Une étude de Nature Medicine arrive à une conclusion similaire, même pour la ville chinoise de Wuhan. Les valeurs initiales nettement plus élevées pour Wuhan ont été obtenues parce que de nombreuses personnes présentant des symptômes légers ou n'en présentant pas n'ont pas été enregistrées.
  3. 50 à 80 % des personnes testées positives ne présentent pas de symptômes. Même parmi les personnes âgées de 70 à 79 ans, environ 60 % ne présentent pas de symptômes, et beaucoup d'autres ne présentent que des symptômes légers.
  4. L'âge médian des personnes décédées dans la plupart des pays (y compris l'Italie) est supérieur à 80 ans et seulement 1 % environ des personnes décédées n'avaient pas de maladies graves auparavant. L'âge et le profil de risque des décès correspondent donc essentiellement à une mortalité normale.
  5. Après un examen plus approfondi, de nombreux reportages des médias sur des jeunes gens en bonne santé qui meurent à cause du Covid19 se sont révélés faux. Soit un grand nombre de ces personnes ne sont pas mortes du Covid19, soit elles présentaient en fait de graves problèmes de santé (comme une leucémie non diagnostiquée).
  6. La mortalité globale normale aux États-Unis est d'environ 8 000 personnes par jour, en Allemagne d'environ 2 600 personnes et en Italie d'environ 1 800 personnes par jour. La mortalité due à la grippe peut atteindre 80 000 personnes aux États-Unis, 25 000 en Allemagne et en Italie, et 1 500 en Suisse en hiver.
  7. La forte augmentation des taux de mortalité, comme dans le nord de l'Italie, peut être influencée par des facteurs de risque supplémentaires tels qu'une très forte pollution de l'air et une contamination par des légionelles, ainsi qu'un effondrement des soins aux personnes âgées et aux malades en raison des infections, de la panique générale et du confinement.
  8. Dans des pays comme l'Italie et l'Espagne, et dans une certaine mesure la Grande-Bretagne et les États-Unis, il n'est pas rare que les hôpitaux soient gravement surchargés, notamment par la grippe. En outre, jusqu'à 15 % des médecins et des infirmières doivent actuellement se placer en confinement, même s'ils ne développent aucun symptôme.
  9. Une distinction importante concerne la question de savoir si les gens meurent avec le ou à cause du coronavirus. Les autopsies montrent que dans de nombreux cas, les maladies déjà présentes ont été un facteur important ou décisif, mais les chiffres officiels ne le reflètent généralement pas.
  10. Ainsi, pour évaluer le danger de la maladie, l'indicateur clé n'est pas le nombre souvent mentionné de personnes testées positives et décédées, mais le nombre de personnes qui développent ou meurent effectivement et inopinément d'une pneumonie.
  11. Les courbes exponentielles des « cas de corona », telles qu'elles sont souvent présentées, sont trompeuses, car le nombre de tests augmente également de manière exponentielle. Dans la plupart des pays, le rapport entre les tests positifs et le nombre total de tests reste constant entre 5 et 15 % ou n'augmente que très lentement.
  12. Les pays qui n'appliquent pas de mesures de confinement et de distanciation sociale, comme le Japon, la Corée du Sud et la Suède, n'ont pas connu une évolution plus négative que les autres pays. Cela pourrait remettre en question l'efficacité de mesures d'une telle envergure.
  13. Selon les plus éminents pneumologues, la ventilation invasive des patients atteints du Covid19 est souvent contre-productive et cause des dommages supplémentaires aux poumons. La ventilation invasive des patients atteints du Covid19 se fait en partie par peur de propager le virus par aérosols.
  14. Toutefois, contrairement aux hypothèses initiales, l'OMS a déterminé fin mars qu'il n'existe aucune preuve de dispersion du virus par aérosols. Un éminent virologiste allemand a également constaté l'absence d'aérosol et de frottis dans une étude pilote.
  15. De nombreuses cliniques en Europe et aux États-Unis ont vu le nombre de leurs patients diminuer et certaines ont dû introduire le chômage partiel. De nombreuses opérations et thérapies ont été annulées par les cliniques, même les patients en situation d'urgence restent parfois chez eux par peur du virus.
  16. Plusieurs médias ont été pris la main dans le sac à essayer de dramatiser la situation dans les cliniques, parfois même avec des images et des vidéos manipulées. En général, de nombreux médias ne remettent pas en question les déclarations et les chiffres officiels, même s'ils sont douteux.
  17. Les kits de test du virus utilisés au niveau international sont sujets à des erreurs. Plusieurs études ont montré que même des virus à corona normaux peuvent donner un résultat faussement positif. En outre, le test de dépistage du virus actuellement utilisé n'a pas été cliniquement validé en raison des contraintes de temps.
  18. De nombreux experts de renommée internationale dans les domaines de la virologie, de l'immunologie et de l'épidémiologie considèrent que les mesures prises sont contre-productives et recommandent une immunisation naturelle rapide de la population générale tout en protégeant les groupes à risque.
  19. Le nombre de personnes souffrant du chômage, de problèmes psychologiques et de violence domestique à la suite des mesures prises a explosé aux États-Unis et dans le monde entier. Plusieurs experts estiment que ces mesures pourraient faire plus de victimes que le virus lui-même.
  20. Le lanceur d'alerte de la NSA, Edward Snowden, a déclaré que la crise du corona est utilisée pour l'expansion massive et permanente de la surveillance mondiale. Le célèbre virologiste Pablo Goldschmidt a parlé de « terreur médiatique mondiale » et de « mesures totalitaires ». Le professeur John Oxford, éminent virologue britannique, a lui évoqué une « épidémie médiatique ».
Voir aussi : La lettre ouverte du professeur Bhakdi à la chancelière allemande Merkel.

Vous trouverez ci-dessous des mises à jour régulières, mais non quotidiennes, sur les développements médicaux et politiques.


Commentaire : Nous avons donné la priorité aux deux dernières mises à jour : celles des 12 et 15 avril 2020. Pour celles publiées avant le 12 avril, et si vous désirez accéder à celles qui suivront après le 15 avril, veuillez vous reporter à la source (en anglais)



12 avril 2020
- Nouvelles études
  • John Ioannidis, professeur de médecine à Stanford, conclut dans une nouvelle étude que le risque de décès par Covid-19 pour les personnes de moins de 65 ans, même dans les « points chauds » mondiaux, est équivalent au risque d'un accident de voiture mortel pour les conducteurs qui parcourent entre 15 et 600 kilomètres de façon quotidienne.
  • Dans une étude sérologique pilote, le virologiste allemand Hendrick Streeck arrive à un résultat intermédiaire selon lequel la létalité du Covid-19 est de 0,37 % et la mortalité (basée sur la population totale) de 0,06 %. Ces valeurs sont environ dix fois inférieures à celles de l'OMS et environ cinq fois inférieures à celles de l'université Johns Hopkins.
  • Une étude danoise portant sur 1 500 donneurs de sang a révélé que la létalité du Covid-19 n'est que de 1,6 pour mille, soit plus de 20 fois inférieure aux hypothèses initiales de l'OMS et donc dans la fourchette d'une forte grippe (pandémique). Dans le même temps, le Danemark a décidé de rouvrir les écoles et les jardins d'enfants la semaine prochaine. [ce qui est aujourd'hui fait - NdT]
  • Une étude sérologique réalisée dans l'État du Colorado arrive à la conclusion préliminaire que la létalité du Covid-19 a été surestimée d'un facteur de 5 à 20 et qu'elle se situera probablement entre la grippe normale et la grippe pandémique.
  • Une étude menée par l'université de médecine de Vienne a conclu que l'âge et le profil de risque des décès par Covid-19 sont similaires à la mortalité normale.
  • Une étude publiée dans le Journal of Medical Virology conclut que le test de détection du coronavirus utilisé au niveau international n'est pas fiable : outre le problème déjà connu des faux résultats positifs, il existe également un taux « potentiellement élevé » de faux résultats négatifs, c'est-à-dire que le test ne répond pas, même chez les personnes symptomatiques, alors que chez d'autres patients, il ne répond qu'une fois, et encore. Il est donc plus difficile d'exclure d'autres maladies de type grippal.
  • Un biophysicien suisse a pour la première fois évalué et affiché graphiquement le taux de tests positifs aux États-Unis, en Allemagne et en Suisse. Le résultat montre que le taux de positivité dans ces pays n'augmente que légèrement et pas de manière exponentielle.
  • Le Dr Daniel Jeanmonod, professeur suisse émérite de physiologie et de neurochirurgie, recommande dans une analyse : « Pensez profondément, faites de la bonne science, et ne paniquez pas ! »
  • Les chercheurs américains concluent que la pollution atmosphérique locale augmente considérablement le risque de décès dû au Covid-19. Cela confirme des études antérieures réalisées en Italie et en Chine.
  • L'OMS a conclu fin mars que, contrairement aux hypothèses précédentes, le Covid-19 ne se transmet pas par aérosols (« par l'air »). La transmission se fait principalement par contact direct ou par infection par gouttelettes (toux, éternuements).
  • Le professeur d'épidémiologie germano-américain Knut Wittkowski affirme dans une nouvelle interview que l'épidémie de Covid-19 est déjà en déclin, voire « déjà terminée » dans de nombreux pays. Les confinements sont arrivés trop tard et ont été contre-productifs, affirme Wittkowski.
OBSERVATOIRE EUROPÉEN DE LA MORTALITÉ

La surveillance de la mortalité en Europe montre maintenant une nette surmortalité projetée dans le groupe d'âge des plus de 65 ans dans plusieurs pays européens. Toutefois, dans certains pays, dont l'Allemagne et l'Autriche, la mortalité dans cette tranche d'âge est encore dans la fourchette normale.

La question reste ouverte de savoir si l'augmentation partielle de la mortalité est due au seul coronavirus ou également aux mesures parfois drastiques prises — par exemple l'isolement, le stress, l'annulation d'opérations chirurgicales, etc. et si la mortalité augmentera dans le résultat annuel.

Parmi les groupes d'âge de moins de 65 ans, il n'y a jusqu'à présent qu'en Angleterre que l'on prévoit une augmentation de la mortalité au-delà des vagues de grippe précédentes. L'âge médian des personnes décédées avec un test positif est de 80 ans en Italie, 83 ans en Allemagne et 84 ans en Suisse.

SUISSE
  • Selon le dernier rapport de l'Office fédéral de la santé publique, l'âge médian des personnes décédées avec un test positif est maintenant de 84 ans. Le nombre de patients hospitalisés reste constant.
  • Une étude de l'ETH Zurich a montré que le taux d'infection en Suisse est tombé à une valeur stable de 1, plusieurs jours avant le « confinement », probablement en raison des mesures d'hygiène générales et des mesures adoptées de façon quotidienne. Si ce résultat est correct, il remettrait fondamentalement en question le sens du « confinement ». (À propos de l'étude)
  • Le magazine suisse Infosperber critique la politique d'information des autorités et des médias : « Au lieu d'informer, les autorités mènent une campagne de relations publiques ». Des chiffres et des graphiques trompeurs sont utilisés pour répandre une peur au moins partiellement injustifiée.
  • Le magazine suisse de protection des consommateurs Ktipp critique également la politique d'information et les reportages des médias : « Les autorités fournissent des informations trompeuses ».
  • Un chercheur suisse a analysé le dernier rapport Covid-19 de l'Office fédéral de la santé publique et arrive à une conclusion très critique suivante : le rapport est « scientifiquement déséquilibré, condescendant et trompeur ». Au vu des faits, les mesures prises par les autorités sont « irresponsables et font peur ».
  • Dans une lettre ouverte au ministre suisse de la santé, des médecins suisses parlent d'un « décalage entre le scénario de menace — alimenté surtout par les médias — et ce à quoi nous faisons réellement face ». Les cas de Covid-19 observés dans la population générale étaient peu nombreux et pour la plupart légers, mais les « troubles anxieux et les attaques de panique » sont en augmentation dans la population et de nombreux patients n'osent plus se présenter à des rendez-vous d'examen importants. « Et ceci en relation avec un virus dont la dangerosité, selon notre perception, n'existe en Suisse que dans les médias et dans nos têtes ».
  • En raison de la très faible charge de travail des patients, plusieurs cliniques en Suisse et en Allemagne ont dû annoncer le chômage partiel. La diminution du nombre de patients atteint jusqu'à 80 %.
  • Le médecin suisse Dr. Paul Robert Vogt a écrit un article très largement diffusé sur le Covid-19. Il critique une « presse à sensation », mais prévient également qu'il ne s'agit pas d'une « grippe ordinaire ». Cependant, le médecin se trompe sur certains points : le taux de létalité et l'âge médian sont des variables très importantes, la différenciation entre avec/par coronavirus est essentielle, les masques et les respirateurs sont inadaptés dans de nombreux cas (voir ci-dessous), et les confinements sont une mesure discutable et peut-être contre-productive.
ALLEMAGNE ET AUTRICHE
  • Dans un nouveau document, les experts allemands de la santé critiquent la politique de crise du gouvernement fédéral. Ils parlent des dommages à long terme causés à la population par le confinement partiel. Les chiffres publiés par le RKI n'ont « qu'une importance limitée ».
  • Dans une déclaration, l'Association fédérale des pathologistes allemands exige qu'il y ait des autopsies des « morts par corona » (afin de déterminer la véritable cause de la mort) et contredit ainsi explicitement « la recommandation de l'Institut Robert Koch », qui s'est prononcé contre les autopsies, parce qu'elles étaient prétendument trop dangereuses.
  • Le Dr Martin Sprenger a démissionné de son poste au sein du Conseil d'experts du Corona du ministère autrichien de la santé afin de « retrouver sa liberté d'opinion civile et scientifique ». Le Dr Sprenger avait auparavant critiqué, entre autres, le fait que le gouvernement ne différenciait pas suffisamment le risque du virus pour les différents groupes de population et prenait des mesures trop radicales : « Nous devons veiller à ce que la perte d'années de vie en bonne santé due à des soins inadéquats pour d'autres maladies aiguës et chroniques ne soit pas un facteur 10 fois plus élevé que la perte d'années de vie en bonne santé causée par le Covid-19 ».
  • Dans une maison de retraite allemande, un homme de 84 ans a été testé positif au Covid-19, après quoi toute sa maison a été mise en quarantaine et des tests en série ont été effectués. Le résultat du test initial s'est toutefois révélé par la suite faux.
SCANDINAVIE
  • L'Association médicale norvégienne écrit dans une lettre ouverte au ministre de la Santé qu'elle craint que les mesures prises ne soient plus dangereuses que le virus, car les patients « standards » ne sont plus ni examinés ni traités.
  • Un auteur suédois explique dans le British Spectator : « Ce n'est pas la Suède qui mène une expérience de masse. Ce sont tous les autres pays qui le font ».
  • Le professeur Ansgar Lohse, directeur de l'hôpital universitaire de Hambourg, explique dans une interview : « À mon avis, les mesures suédoises sont les plus rationnelles du monde. Bien sûr, la question se pose de savoir si elles peuvent d'un point de vue psychologique être poursuivies. Dans un premier temps, les Suédois doivent s'attendre à une augmentation significative du nombre de décès, mais à moyen et long terme, ce nombre devrait diminuer de manière significative. Malheureusement, la peur du virus oblige souvent les politiciens à prendre des mesures qui ne sont pas nécessairement raisonnables. La politique est également influencée par les images dans les médias ».
  • Selon l'épidémiologiste en chef suédois Anders Tegnell, Stockholm pourrait maintenant avoir atteint un « plateau » en ce qui concerne les infections dues au Covid-19. (Plus d'informations sur la Suède)
ÉTATS-UNIS ET ASIE

Aux États-Unis, les autorités recommandent désormais également que tous les décès avec un test positif et même les cas suspects sans résultat positif soient enregistrés comme « décès dus au Covid-19 ». Un médecin américain et sénateur d'État du Minnesota a déclaré que cela équivalait à de la manipulation. En outre, les hôpitaux seraient incités financièrement à déclarer les patients comme des patients atteints de Covid-19. (Un peu d'humour sur ce sujet).

Un hôpital de campagne Covid-19 près de Seattle dans l'État de Washington a été fermé après seulement trois jours sans aucune admission de patients. Cela rappelle les hôpitaux construits au pied levé près de Wuhan, qui étaient eux aussi pour la plupart sous-utilisés, voire vides, et qui ont ensuite été démantelés peu de temps après.

De nombreux médias ont fait état de prétendus « charniers dus au Covid-19 » sur l'île de Hart, près de New York. Ces rapports sont trompeurs à deux égards : premièrement, Hart Island est depuis longtemps l'un des « cimetières des pauvres » les plus connus aux États-Unis, et deuxièmement, le maire de New York a déclaré qu'aucune fosse commune n'était prévue, mais que les morts « non réclamés » (c'est-à-dire sans parents) devaient être enterrés sur Hart Island.

L'un des principaux épidémiologistes indiens a déclaré que « Nous ne pouvons pas nous enfuir sur la Lune ». Il recommande le développement rapide d'une immunité naturelle au sein de la population.

LE NORD DE L'ITALIE

En ce qui concerne le nord de l'Italie, plusieurs facteurs de risque potentiels ont récemment été examinés.

Il est vrai que deux grandes campagnes de vaccination contre la grippe et le méningocoque ont été menées en Lombardie dans les mois précédant immédiatement l'apparition du Covid-19, notamment dans les points chauds plus tardifs de Bergame et de Brescia. Bien qu'il soit théoriquement possible que ces vaccinations puissent interagir avec des infections à coronavirus, cette possibilité n'a pas été établie à l'heure actuelle.

Il est également vrai qu'une forte exposition à l'amiante était présente dans le nord de l'Italie dans le passé, ce qui augmente le risque de maladie pulmonaire cancéreuse. Mais là encore, il aucune connexion directe n'a pu être établie avec le Covid-19.

Néanmoins, et en général, il est vrai que la santé pulmonaire de la population du nord de l'Italie est affectée depuis longtemps par des niveaux élevés de pollution atmosphérique et d'autres facteurs préjudiciables, ce qui la rend particulièrement sensible aux maladies respiratoires.
Winter smog Northern Italy
© ESAPollution hivernale (NO2) dans le nord de l'Italie en février 2020
LE MÉDECIN EN CHEF SUISSE PIETRO VERNAZZA

Le professeur Pietro Vernazza, médecin en chef suisse d'Infectiologie, a publié quatre nouveaux articles sur des études concernant le Covid-19.
  • Le premier article concerne le fait qu'il n'y a jamais eu de preuves médicales de l'efficacité des fermetures d'écoles, car les enfants en général ne développent pas la maladie du Covid-19 et ne font pas partie des vecteurs du virus (contrairement à la grippe).
  • Le deuxième article porte sur le fait que les masques n'ont généralement pas d'effet détectable, à une exception près : les personnes malades qui présentent des symptômes (notamment la toux) peuvent réduire la propagation du virus. Sinon, les masques sont plutôt symboliques ou constituent un « battage médiatique ».
  • Le troisième article traite de la question des tests de masse. La conclusion du professeur Vernazza : « Toute personne qui présente des symptômes d'une maladie respiratoire reste chez elle. Il en va de même pour la grippe. Il n'y a pas de valeur ajoutée aux tests ».
  • Le quatrième article traite des groupes à risque pour le Covid-19. Selon les connaissances actuelles, il s'agit de personnes souffrant d'hypertension artérielle — on soupçonne que le virus Covid-19 utilise des récepteurs cellulaires qui sont également responsables de la régulation de la pression artérielle. Toutefois, il est surprenant de constater que les personnes immunodéficientes et les femmes enceintes (qui ont naturellement un système immunitaire réduit) ne sont pas à risque. Au contraire, le risque de Covid-19 est souvent une réaction excessive du système immunitaire.
SOINS INTENSIFS VERSUS SOINS PALLIATIFS

Un médecin en soins palliatifs allemand explique dans une interview que le Covid-19 n'est « pas une maladie de soins intensifs », car les personnes gravement atteintes sont généralement des personnes âgées qui présentent de multiples affections préexistantes. Lorsque ces personnes contractent une pneumonie, elles « ont toujours bénéficié de soins palliatifs (c'est-à-dire accompagnant le décès) ». Avec un diagnostic de Covid-19, cependant, cela deviendrait maintenant un cas de soins intensifs, mais « bien sûr, les patients ne peuvent pas plus être sauvés ».

L'expert décrit les actions actuelles de nombreux décideurs comme le reflet d'un « mode panique ». À l'heure actuelle, les lits de soins intensifs en Allemagne sont encore relativement vides. Les appareils respiratoires sont gratuits. Pour des raisons financières, les directeurs d'hôpitaux pourraient bientôt envisager d'admettre des personnes âgées. « Dans 14 jours, les salles seront pleines de personnes âgées irrécupérables et multi-morbides. Et une fois qu'elles seront branchées sur les machines, la question se pose de savoir qui les éteindra à nouveau, car ce serait alors un homicide ». Une « catastrophe éthique » due à la cupidité peut s'ensuivre, prévient le médecin.

RESPIRATEURS ET COVID-19

Il y a eu et il y a toujours une ruée mondiale pour les respirateurs destinés aux patients atteints atteints de Covid-19. Ce site a été l'un des premiers au monde à attirer l'attention sur le fait que la ventilation respiratoire invasive (intubation) peut être contre-productive dans de nombreux cas et peut causer un préjudice supplémentaire aux patients.

La ventilation respiratoire invasive a, à l'origine, été recommandée parce que les faibles niveaux d'oxygène conduisaient à la fausse conclusion d'une insuffisance respiratoire (pulmonaire) aiguë, et que l'on craignait qu'avec des techniques plus douces et non invasives, le virus puisse se propager par aérosols.

Entre-temps, plusieurs pneumologues et médecins de soins intensifs de premier plan des États-Unis et d'Europe se sont prononcés contre la ventilation respiratoire invasive et recommandent des méthodes plus douces ou même l'oxygénothérapie, comme l'a déjà pratiqué avec succès la Corée du Sud. LES DÉVELOPPEMENTS POLITIQUES
  • Le lanceur d'alerte de la NSA Edward Snowden affirme dans une nouvelle interview que les gouvernements utilisent le coronavirus pour construire une « architecture de l'oppression ».
  • Apple et Google ont annoncé qu'ils allaient travailler avec les autorités nationales pour intégrer un système de « recherche de contacts » dans leurs systèmes d'exploitation mobiles, qui permettra aux autorités de surveiller les contacts au sein de la population.
  • L'expert allemand en droit constitutionnel Uwe Volkmann a déclaré sur ARD qu'il ne connaît « personne » parmi ses collègues qui considère que les mesures prises face au Coronavirus sont conformes à la constitution.
  • Le gouvernement italien a mis en place un « groupe de travail » pour « éliminer » les fausses informations qui circulent sur Internet à propos du Covid-19. Cependant, la liberté d'expression reste « intacte », a-t-on dit.
  • La France a prolongé, en raison du Covid-19, la détention provisoire autorisée et a suspendu l'examen par un juge. Les plaintes des associations d'avocats ont été rejetées.
  • Le Danemark a introduit au début du mois d'avril des « lois d'urgence d'une sévérité sans précédent » : « Les autorités sanitaires peuvent désormais ordonner des tests obligatoires, des vaccinations obligatoires et des traitements obligatoires, et recourir aux services de l'armée et de la sécurité privée en plus de la police pour faire respecter leurs ordres ».
  • La police du Land allemand de Rhénanie-du-Nord-Westphalie teste des drones dans le cadre de « missions corona », spécifiquement dédiés à la recherche des regroupements interdits de personnes.
  • L'État allemand de Saxe veut placer les contestataires au confinement dans des hôpitaux psychiatriques.

  • Un médecin suisse a été arrêté et envoyé en psychiatrie pour avoir critiqué les mesures contre le Covid-19 et avoir prétendument proféré des menaces contre les autorités.
  • En Allemagne, une avocate en droit médical a déposé une plainte constitutionnelle contre les mesures face au Covid-19 et a publié une lettre ouverte sur le sujet, dans laquelle elle met en garde contre le risque de glisser vers un État policier et appelle à des manifestations. Le ministère public et la police ont alors ouvert une enquête contre l'avocate pour « appel au crime », et le site web de l'avocate a été temporairement fermé. La plainte constitutionnelle a depuis lors été rejetée.
  • En Autriche également, plusieurs avocats ont déposé des plaintes contre les mesures face au Covid-19 auprès de la Cour constitutionnelle. Les avocats font valoir que les droits fondamentaux et la séparation des pouvoirs ont été violés par les mesures.
  • Le maire de Los Angeles a promis une récompense pour les « mouchards » qui dénoncent leurs voisins aux autorités s'ils violent le confinement et ou les couvre-feux.
  • Aux États-Unis, plus de 16 millions de personnes sont déjà au chômage en raison du confinement, soit environ 10 % de la population active. Selon l'Organisation internationale du travail, 80 % des 3,3 milliards de travailleurs dans le monde sont actuellement touchés par les mesures, et 1,25 milliard de travailleurs pourraient être touchés par des conséquences « drastiques ou catastrophiques ».
15 avril 2020 - Mises à jour médicales
  • Dans le British Telegraph, le professeur Alexander Kekulé, l'un des plus éminents microbiologistes et épidémiologistes allemands, appelle à la fin du confinement car il cause plus de dégâts que le virus lui-même. Chez les personnes de moins de 50 ans, une maladie grave ou un décès sont « très, très peu probables ». La population générale devrait rapidement développer une immunité, tandis que les groupes à risque devraient être protégés. On ne peut pas attendre un vaccin, qui prendra au moins six à douze mois, mais il faut trouver un moyen de vivre avec le virus, a déclaré le professeur Kekulé.
  • Le Réseau allemand pour la médecine factuelle rapporte que la létalité d'une grippe saisonnière grave (grippe) telle que celle de 2017/2018 est estimée par l'Institut allemand Robert Koch entre 0,4 et 0,5 %, et non pas seulement 0,1 % comme on le supposait auparavant. Cela signifierait que la létalité du Covid-19 pourrait même être inférieure à celle d'une forte grippe saisonnière, même si elle peut se propager plus rapidement.
  • Le Tageblatt luxembourgeois rapporte que la « stratégie souple de la Suède face au Covid-19 semble fonctionner ». Malgré des mesures minimales, la situation semble « pour le moment clairement se calmer ». Un énorme hôpital de campagne qui a été créé près de Stockholm reste fermé en raison du manque de cas. Le nombre de patients dans les unités de soins intensifs reste constant à un faible niveau ou est même légèrement en baisse. « Il y a de nombreux postes vacants dans les unités de soins intensifs de tous les hôpitaux de Stockholm. Nous approchons de la stabilisation de la courbe du Covid-19 », a expliqué un médecin en chef de la Karolinska Klinik. Jusqu'à présent, il y a eu environ 900 décès avec le Covid-19 en Suède.
  • Une comparaison directe entre le Royaume-Uni (avec confinement) et la Suède (sans confinement) montre que les deux pays sont presque identiques en termes de nombre de cas et de décès par population.
  • Une lettre au New England Journal of Medicine rapporte que dans une étude sur les femmes enceintes, 88 % des femmes testées positives ne présentaient aucun symptômeun chiffre très élevé, mais qui correspond aux rapports précédents de la Chine et de l'Islande.
  • Le professeur Dan Yamin, directeur du laboratoire de recherche en épidémiologie de l'université de Tel-Aviv, explique dans une interview que le nouveau coronavirus est « à peine dangereux » pour une grande partie de la population et qu'une immunité naturelle rapide doit être l'objectif. L'argent est mieux dépensé pour l'extension d'une clinique que pour payer les dommages dus au confinement, a-t-il dit.
  • Le président du Conseil national de la recherche israélien, le professeur Isaac Ben-Israel, affirme que selon les résultats actuels, l'épidémie de Covid-19 est terminée dans la plupart des pays après environ 8 semaines, quelles que soient les mesures prises. Il recommande donc de lever le « confinement » immédiatement.
  • Le professeur de statistiques britannique David Spiegelhalter montre que le risque de décès par Covid-19 correspond à peu près à une mortalité normale et n'augmente visiblement que pour la tranche d'âge comprise entre 70 et 80 ans environ (voir le graphique à la fin de l'article lié).
  • Le professeur Karin Moelling, directrice émérite de l'Institut de virologie de l'Université de Zurich et l'une des premières critiques des mesures excessives, souligne dans une nouvelle interview le rôle des facteurs locaux spéciaux tels que la pollution de l'air et la densité de population.
  • Le British Guardian a souligné en 2015 que la pollution atmosphérique extrême dans les villes chinoises tue 4 000 personnes par jour. C'est plus que le nombre total de décès causés par le Covid-19 que la Chine a jusqu'à présent signalé.
  • Le virologiste allemand Hendrik Streeck s'est défendu contre les critiques de son étude pilote. Streeck a trouvé une létalité (basée sur les cas) de 0,37 % et une mortalité (basée sur la population) de 0,06 %, ce qui correspond à une forte grippe saisonnière.
  • Les spécialistes autrichiens de la médecine interne mettent en garde contre les « dommages collatéraux » : En raison du coronavirus, les dates de contrôle et d'opération sont reportées et moins de patients présentant des symptômes de crise cardiaque se rendent dans les hôpitaux.
  • Un biophysicien suisse a pour la première fois représenté graphiquement le taux de tests positifs du Covid-19 en Suisse depuis début mars. Le résultat montre que le taux de positivité oscille entre environ 10 % et 25 % et que le « confinement » n'a pas eu d'influence significative (voir graphique ci-dessous). Il est intéressant de noter que les autorités et les médias suisses n'ont jamais montré ce graphique.
  • Un chercheur suisse a analysé le dernier rapport de l'Office fédéral de la santé publique sur le Covid-19 et en arrive à nouveau à une évaluation critique : « Le rapport de situation ne convient pas aux politiciens et la compétence des décisions qui sont prises est très peu spécifique, incomplète et manque de valeur informative ».
  • Dans un nouvel article, le médecin-chef suisse en infectiologie, le Dr Pietro Vernazza, explique que l'absence présumée de formation d'immunité du Covid-19 est due à « de rares cas individuels ou même simplement des indices », qui « à y regarder de plus près, ne posent pas de problème », mais ils sont « exagérés et présentés à la hâte comme une nouvelle choquante » par certains médias.
  • En France, les suicides par peur du coronavirus ou par peur d'avoir infecté quelqu'un avec le coronavirus sont de plus en plus nombreux.
  • Le nouveau site français Covid Infos examine d'un œil critique les reportages des médias sur le Covid-19.
Taux de tests positifs en Suisse avant et pendant le confinement (FS)
Taux de tests positifs en Suisse avant et pendant le confinement (FS)
ÉTATS-UNIS ET GRANDE-BRETAGNE
  • Sur le navire de guerre américain Theodore Roosevelt, 600 marins ont été testés positifs au Covid-19, et un premier marin est depuis lors décédé DU ou AVEC le Covid-19. Ce navire de guerre constituera une « étude de cas » très importante en ce qui concerne l'impact sur la population générale en bonne santé de moins de 65 ans.
  • Le Dr John Lee, professeur britannique émérite de pathologie, soutient qu'un débat solide et fondé sur des preuves est nécessaire pour éviter les « grosses erreurs ». De nombreux chiffres utilisés par les gouvernements et les médias ne sont pas fiables, dit-il.

  • Au Royaume-Uni, 40 % des lits d'hôpitaux sont actuellement inoccupés, soit quatre fois plus que d'habitude. La raison en est la forte baisse des admissions générales de patients. Les lits de soins intensifs, dont la capacité a été augmentée, sont en moyenne occupés à 78 %. En outre, 10 % des infirmières sont en quarantaine.
  • Les hôpitaux temporaires de l'armée américaine près de New York sont jusqu'à présent « largement vides ». Le taux d'hospitalisation à New York a été surestimé par un facteur de sept.
  • Une étude américaine conclut que le nouveau coronavirus s'est déjà propagé beaucoup plus loin que prévu, mais qu'il ne provoque aucun symptôme ou seulement des symptômes légers chez la plupart des gens, de sorte que le taux de létalité pourrait être aussi bas que 0,1 %, ce qui équivaut à peu près à la grippe saisonnière. Cependant, comme la maladie se transmet plus facilement, les cas de la maladie à New York, par exemple, se sont produits plus rapidement que d'habitude.
  • Dans un nouveau document sur le traitement des patients atteints du Covid-19, le chef de la pneumologie et des soins intensifs de l'école de médecine de Virginie orientale déclare « Il est important de reconnaître que le Covid-19 ne provoque pas votre "SDRA typique" (insuffisance pulmonaire)... cette maladie doit être traitée différemment et il est probable que nous exacerbons cette situation en provoquant des lésions pulmonaires induites par les respirateurs ».
  • Aux États-Unis, un gouverneur a déclaré qu'un nourrisson était mort « DU Covid-19 », la plus jeune victime du monde. Des proches de la famille ont cependant déclaré que le nourrisson avait suffoqué dans un accident tragique à la maison et qu'il avait ensuite été testé positif à l'hôpital. Le coroner responsable n'a pas déclaré de décès PAR Covid-19.
  • Un médecin de l'État du Montana a expliqué dans un discours comment les certificats de décès pour les cas suspects de Covid-19 sont manipulés en raison des nouvelles directives.

MAISONS DE RETRAITE

Une analyse des données de cinq pays européens montre que les résidents des maisons de retraite ont jusqu'à présent représenté entre 42 et 57 % de tous les décès du « Covid19 ». Dans le même temps, trois études américaines montrent que jusqu'à 50 % de tous les résidents de maisons de retraite dont le test est positif ne présentaient pas (encore) de symptômes au moment du test. On peut en tirer deux conclusions : D'une part, le danger du nouveau coronavirus — comme on le soupçonnait déjà — semble se concentrer sur un petit groupe de population très vulnérable qui a besoin d'une protection renforcée. D'autre part, il est concevable que certaines de ces personnes ne meurent pas, ou ne meurent pas que du coronavirus, mais aussi du stress extrême associé à la situation actuelle. Des rapports récents en provenance d'Allemagne et d'Italie ont déjà fait état de résidents de maisons de retraite qui sont morts subitement sans symptômes.

Un médecin allemand spécialisé dans les soins palliatifs affirme dans une récente interview que dans le traitement des patients atteints du Covid19 « de très mauvaises priorités ont été fixées et tous les principes éthiques ont été violés ». Il y a une « orientation très unilatérale vers les soins intensifs », bien que « l'équilibre entre les avantages et les inconvénients » ne soit souvent pas bon. Un nouveau diagnostic (c'est-à-dire Covid-19) transformerait les patients âgés qui, dans le passé, étaient surtout traités de manière palliative en patients de soins intensifs et les soumettrait à un traitement douloureux mais souvent sans espoir (c'est-à-dire la respiration artificielle). Le traitement devrait toujours être basé sur la volonté réelle du patient, a fait valoir le spécialiste.
Décès Covid-19 dans les maisons de repos
© LTC CovidDécès Covid-19 dans les maisons de repos
DÉVELOPPEMENTS POLITIQUES
  • En Allemagne, un avocat médical qui a déposé une plainte contre les mesures prises pour lutter contre le Covid-19 auprès de la Cour constitutionnelle fédérale et a appelé à des manifestations, a été arrêté et envoyé dans un service psychiatrique de la prison pendant deux jours. Le procureur général enquête pour « incitation publique à commettre des crimes ». Un autre avocat demande dans une lettre ouverte à la Chambre fédérale des avocats allemands : « Des avocats envoyés dans un hôpital psychiatrique parce qu'ils protestent ? Est-ce que c'est encore le cas en Allemagne ? »
  • En Suisse, un médecin « critique envers le Covid-19 » a été arrêté par une unité spéciale de la police pour de prétendues « menaces contre les proches et les autorités » et envoyé dans une clinique psychiatrique. La famille a depuis déclaré qu'il n'y avait pas de menaces contre les proches. Le médecin a également déclaré qu'il n'avait pas été accusé de « menaces contre les autorités » pendant l'interrogatoire. La police a justifié le déploiement de l'unité spéciale en supposant que le médecin était en possession d'une arme — mais il s'agissait du pistolet habituel de l'armée médicale suisse, sans munitions. Le transfert du médecin dans une clinique psychiatrique était justifié par une prétendue « incapacité de servir en prison » (comme c'est le cas des patients infirmiers) — ce qui peut également être considéré comme un prétexte. En l'état actuel des connaissances, il est donc possible que la mesure ait été effectivement motivée par des raisons politiques. L'ancienne députée américaine Cynthia McKinney a déjà attiré l'attention sur le cas suisse qui rappelle quelque peu les pratiques en vigueur dans l'ancienne Union soviétique.
  • L'Italie utilise désormais des données satellitaires européennes pour surveiller la population pendant le confinement.
  • La police britannique a défoncé la porte d'un résident à la recherche de « rassemblements sociaux ».
  • Le professeur Oliver Lepsius, expert allemand en droit constitutionnel : « Le déclin des droits fondamentaux dans la pandémie de Covid-19 ».



Commentaire : Nous rappelons que nous avons donné la priorité aux deux dernières mises à jour : celles des 12 et 15 avril 2020. Pour celles publiées avant le 12 avril, et si vous désirez accéder à celles qui suivront après le 15 avril, veuillez vous reporter à la source (en anglais)


Source de l'article initialement publié le 15 avril 2020 : Swiss Propaganda Research
Traduction : Sott.net