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De fait, entre les communautés tchétchène et maghrébine, l'armistice s'est négocié... à la mosquée de la Fraternité, à Quétigny, près de Dijon.

Et selon la journaliste Anne Nivat, il n'y a pas eu d'arrestation de Tchétchène :


François Rebsamen, maire socialiste de Dijon en plein déni de réalité (comme l'ensemble de la classe politique « de gauche ») : « Je n'ai pas vu d'armes [...] il ne faut pas toujours croire ce que racontent les réseaux sociaux ».


Pas d'armes, en effet (probablement des jouets en plastique) :



Déclaration qu'il faudra régulièrement exhumer lorsque JLM nous invitera à accueillir d'innombrables migrants venus de zones de guerre :


Source : Le Salon Beige