L'utilisation par les Pouvoirs en place de la culpabilisation, du conditionnement et du mensonge semble sans fin. Nous sommes entraînés dans les tréfonds d'une pseudo-réalité qui déploie des méthodes de plus en plus désespérées et brutales proportionnelles à son agonie. Cette dernière est évidente dès lors que l'on peut mesurer de façon tangible — et c'est désormais le cas — l'étendue de son inhumanité et la manière dont elle enfonce ouvertement ses griffes de façon répressive et totalitaire dans tout ce qui constitue ce qu'elle n'est pas : morale et bienveillante.

Sous le prétexte fallacieux d'un système national de santé au bord de la rupture, le gouvernement envisagerait de mettre en place des règles plus strictes, notamment le port obligatoire du masque à l'extérieur, l'introduction de couvre-feux et l'interdiction de ce qu'on appelle les « bulles étendues », dans lesquelles les Britanniques sont autorisés à rencontrer une seule personne qui n'est pas issue de leur foyer.
Mesures anti-Covid Grande-Bretagne
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Toutefois, et c'est peut-être le plus effrayant, les ministres ont débattu en privé de la nécessité d'empêcher les gens de se parler dans la rue et dans les supermarchés, voire qu'ils ne puissent pas quitter leur domicile plus d'une fois par semaine pour faire de l'exercice.

S'adressant aux journalistes, le Monsieur vaccin britannique, Nadhim Zahawi (né irakien), a déclaré :
« Nous sommes en train de revoir toutes les restrictions... Je m'inquiète du fait que les gens ne portent pas vraiment de masques dans les supermarchés et qu'ils ne suivent pas le parcours à sens unique fléché au sol, et qu'ils n'attendent pas à l'extérieur du supermarché lorsqu'il est bondé. Je suis inquiet de certaines des images que j'ai vues sur des interactions sociales dans les parcs. Si vous devez faire de l'exercice, vous ne pouvez sortir que pour faire de l'exercice. »
Une source gouvernementale a également déclaré au Daily Telegraph que la règle actuelle permettant aux Britanniques de faire de l'exercice avec une (seule) personne qui n'est pas issue de son foyer est « utilisée comme excuse pour aller prendre un café dans le parc avec ses amis » et qu'elle sera donc probablement abandonnée.

La source a ajouté que le gouvernement envisage de « s'assurer que les populations ne puissent pas faire preuve de créativité pour interpréter les règles comme ça les arrange ».

Le rapport suggère que l'application des règles sera encore renforcée, avec des amendes immédiates, qui pourraient passer de 200 à 500 livres sterling ((220 à 550 euros).

Ces révélations surviennent après un week-end où la police a été vue en train de sévir contre des personnes dans les rues de Grande-Bretagne, notamment par le biais d'une vidéo qui montrait la police en train d'arrêter des personnes qui marchaient, étaient assises sur des bancs et buvaient un café à l'extérieur.

Après la diffusion de cette vidéo, la police a affirmé, sans aucune preuve, que l'événement avait été mis en scène par des « manifestants anti-confinement ».


En outre, deux femmes ont été interrogées par la police et ont reçu une amende pour s'être promenées dans une zone à 8 km de leur domicile, bien que cela ne soit pas illégal selon les lois décrétées par le gouvernement britannique pour faire face au Covid-19. La police a déclaré aux femmes que les boissons chaudes qu'elles transportaient constituaient un « pique-nique ».

Une vidéo a également été diffusée montrant des policiers eux-mêmes assis dans un restaurant en train de boire un café, la personne qui les filmait se demandant pourquoi ils ne respectaient pas les règles. Faites ce que je dis, pas ce que je fais.


Lors d'un autre incident, un couple avec un bébé dans une poussette a été interrogé par la police du Covid dans le centre-ville de Birmingham, pour avoir simplement osé marcher dans la rue. Le rapport indique que les agents de soutien de la police ont ensuite interrogé les personnes qui étaient arrivées dans une pharmacie pour acheter sur ordonnance des médicaments.

Pendant ce temps, en Écosse, une famille a été arrêtée après que la police soit entrée dans leur maison, suite à une dénonciation d'un voisin les ayant prévenu qu'il y avait « trop de monde à l'intérieur ». Ces personnes-là sont les plus dangereuses pour toutes les autres personnes encore normales dans un monde ponérisé.

Une force de police locale a même tweeté avec colère qu'elle avait dû effectuer « deux rapports sur des boules de neige lancées » en violation flagrante des mesures de confinement. On croit rêver... La police avait, déjà la semaine dernière, adopté une nouvelle politique de confinement « stricte » visant à arrêter et à interroger toute personne présente dans la rue, et à leur infliger des amendes immédiates si elles sont dans l'incapacité de fournir une excuse raisonnable pour ne pas être chez elles.

La police a également déclaré qu'elle ciblerait spécifiquement les « manifestants anti-confinements et anti-vaccins », affirmant que « nous faisons face aujourd'hui à des groupes qui sont intrinsèquement contre les règles. ». La même police demande aussi à ce que ses pouvoirs soient étendus pour forcer l'entrée des domiciles des personnes soupçonnées d'avoir enfreint le confinement. Quand on devient un peu psychopathe soi-même, pourquoi s'arrêter en si bon chemin ?

Le gouvernement a été critiqué pour avoir mis en place un troisième confinement, dans lequel tout le monde est limité à se rassembler dans les parcs et à uniquement se rendre au supermarché. Les critiques disent que ces mesures poussent les Britanniques à se rassembler dans les mêmes espaces, plutôt que de leur permettre d'être naturellement dispersées. Notez que nous avons les mêmes en France...

Des rapports ont été publiés le week-end dernier, selon lesquels les restrictions britanniques devaient rester en place jusqu'au 23 mars au moins. Pourtant, le gouvernement de la perfide Albion n'a donné aucun calendrier officiel pour la durée du confinement, ni aucune indication sur la date à laquelle les restrictions seront renforcées ou levées.

Renforcées puis levées partiellement, renforcées à nouveau encore plus brutalement que la fois précédente, ad nauseam, soit deux pas en avant et un pas en arrière pendant encore des moi,s jusqu'à ce que la majorité des populations n'en puissent plus et soient prêtes à accepter une intolérable tyrannie (après avoir accepté depuis de nombreux mois ce qui est par nature injustifié), pour soi-disant revenir à un « avant » qui appartient au passé et jamais ne reviendra, quoiqu'il se produise au cours de l'année qui ne fait que commencer.

En France, l'annonce de nouvelles mesures imposées à notre pays, au nom d'une menace fallacieuse et invisible, sera faite par le Premier ministre Castex, demain... Et puisqu'il sera accompagné de Jean-Michel Blanquer, ministre de l'Education, de Bruno Le Maire, ministre de l'Économie, de Roselyne Bachelot, ministre de la Culture, d'Olivier Véran, ministre de la Santé, et de Frédérique Vidal, ministre de l'Enseignement supérieur, tout porte à croire que presque tout le monde sera astreint à un 3e confinement ou à un couvre-feu à 18h00 généralisé, et/ou, soyons fous, à une interdiction de sortir du vendredi soir au lundi matin, liste non exhaustive.

Et, bien sûr, tout ceci n'a que pour but de ne pas engorger les hôpitaux. La rengaine est la même depuis neuf mois et comme cette période correspond à celle d'une grossesse, il faut bien accoucher de quelque chose ! Les femmes le savent, enfanter, c'est douloureux ; mais la douleur s'évanouit sous l'afflux du bonheur. Toutefois, ce qui résultera de ces annonces gouvernementales ne peut qu'être d'essence malfaisante. La morale de cette histoire c'est que la morale et la bienveillance ont déserté les esprits qui nous gouvernent... si tant est qu'ils en aient jamais eu.
« en psychocratie, la vérité ne compte pas, à la limite elle n'existe pas, n'existe que ce que l'on fait croire aux gens ou, mieux encore, ce qu'on leur fait croire qu'ils croient. »

~ Vladimir Volkoff, Petite histoire de la désinformation