Note du traducteur : Comme très souvent dans ce monde globalisé, cet article concerne globalement les États-Unis, mais il s'applique tout aussi bien aux pays occidentaux dans leur ensemble, et à l'Union européenne en particulier. Les emphases (gras et italique) sont de notre fait.
Les efforts visant à exiger que chaque Étasunien reçoive une injection d'un « vaccin » expérimental contre le Covid-19 reposent sur l'idée fausse que la vaccination protégera les bénéficiaires de l'infection par le Sras-Cov-2, le virus responsable du Covid-19, ou les empêchera de transmettre l'infection à d'autres personnes.
vaccins
© Inconnu
La FDA, le CDC, le NIH et les sociétés pharmaceutiques concernées ont tous très clairement déclaré qu'aucune preuve n'existe pour appuyer cette idée.

Aucun des trois « vaccins » expérimentaux contre le Covid-19 actuellement distribués aux États-Unis n'a démontré qu'il protégeait contre l'infection ou la transmission du virus supposé être à l'origine du Covid-19 (Sras-CoV-2), ni même qu'il empêchait l'apparition des symptômes du Covid-19.

Ce fait est indiscutable, mais les médias, les prestataires de soins médicaux et les politiciens continuent de ressasser le mensonge selon lequel la vaccination confère une « immunité contre le Covid ». Même des sources comme la Mayo Clinic affirment de manière irresponsable et sans fondement que la vaccination « pourrait vous empêcher de contracter » ou de « propager » le Covid-19. Ces mêmes mensonges sont à la base de la forte pression exercée par le président Biden en faveur d'une vaccination de masse pour « rendre ce jour de l'Indépendance vraiment spécial ».
Note du traducteur : L'auteur se réfère au discours de Joe Biden prononcée le 11 mars dernier, dans lequel il évoque la lumière au bout du tunnel (il existe aussi une contagion chez les dirigeants occidentaux, c'est celle d'une propagande mensongère) en mettant en lumière les récents progrès accomplis dans la vaccination contre le Covid-19, avec l'espoir qu'ils permettront un début de retour à la normale aux États-Unis cet été, avec pour objectif de faire du 4 Juillet, jour de la fête nationale :
« Le 4 juillet, il y a de fortes chances que vous, votre famille et vos amis puissiez vous réunir dans votre jardin pour faire un barbecue et célébrer la fête de l'indépendance [...] Après cette longue et dure année, cela fera de cette fête de l'indépendance quelque chose de vraiment spécial, où nous ne soulignerons pas seulement notre indépendance comme nation, mais où nous commencerons à marquer notre indépendance vis-à-vis de ce virus. »
L'avenir nous le dira.
Le 27 février 2021, la Food and Drug Administration (FDA) a annoncé qu'elle avait « délivré une autorisation d'utilisation d'urgence pour un troisième « vaccin » destiné à prévenir le Covid-19, celui de Janssen (Johnson&Johnson).

Cette annonce est pratiquement identique à celles précédemment présentées pour les « vaccins » Covid-19 produits par Pfizer-BioNTech et Moderna.

Dans chacune de ces autorisations d'utilisation d'urgence, la FDA a pris soin d'éviter toute affirmation selon laquelle les « vaccins » offrent une protection contre l'infection ou la transmission du virus. De même, les Centers for Disease Control (CDC), l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et les National Institutes of Health (NIH) ont tous déclaré publiquement qu'il n'a PAS été démontré que les « vaccins » empêchent l'infection ou la transmission.

Tous leurs documents et commentaires réglementaires sur la question indiquent clairement que rien ne prouve que les « vaccins » ont une incidence sur l'infection ou la transmission du virus, ni qu'ils empêchent l'apparition des symptômes du Covid-19.

La position du gouvernement étasunien

Le document d'information de la FDA analysant les données des essais cliniques pour le « vaccin » Pfizer, publié la veille de la délivrance par la FDA d'une autorisation d'utilisation d'urgence pour ce « vaccin », indique (à la page 47) :
Les données pour évaluer l'effet du « vaccin » contre les infections asymptomatiques sont limitées.
Et :
Les données pour évaluer l'effet du vaccin contre la transmission du [virus] Sras-CoV-2 chez les personnes infectées malgré la vaccination sont limitées.
Le document d'information de la FDA sur le vaccin Moderna énonce le même fait, tout en décrivant les plans d'un futur essai clinique visant à mesurer la prévention de l'infection, mais qui ne sera pas achevé avant le 31 décembre 2023 (p.47). L'examen par la FDA du « vaccin » Janssen a noté les mêmes données « limitées »...
pour évaluer l'effet du vaccin dans la prévention de l'infection asymptomatique... et des conclusions définitives ne peuvent être tirées pour le moment.
« Données limitées » signifie qu'il n'y a en fait aucune preuve pour soutenir ces conclusions.

Le comité consultatif des CDC qui a recommandé l'utilisation d'urgence du « vaccin » Moderna a noté :
le niveau de certitude des bénéfices du vaccin anti-Covid-19 Moderna était... de type 4 (très faible certitude) pour les estimations de la prévention de l'infection asymptomatique par le Sras-CoV-2 et de décès toutes causes confondues.
Le guide des CDC à l'intention des administrateurs du « vaccin » anti-Covid (2 janvier 2021) pose la question suivante :
Une personne qui a reçu un vaccin contre le Covid-19 peut-elle quand même transmettre le Covid-19 ? Pour l'instant, nous ne savons pas si la vaccination contre le Covid-19 a un effet quelconque sur la prévention de la transmission.
L'Organisation mondiale de la santé, le 26 janvier 2021, a admis la même chose :
Nous ne savons pas si les vaccins préviendront l'infection et protégeront contre une transmission ultérieure.
Tout ceci est très confus en raison du langage utilisé par la FDA, le NIH et autres agences de santé pour décrire l'efficacité potentielle des « vaccins ». Par exemple, dans l'analyse des données du « vaccin » Janssen par le NIH, les auteurs notent qu'il serait efficace pour « prévenir les cas modérés et graves du Covid-19 chez les adultes ».

Ce faisant, la distinction entre l'infection par un virus (Sras-Cov-2) et la maladie appelée Covid-19 est délibérément brouillée.

Le NIH affirme que le « vaccin » de Janssen prévient ou atténue les symptômes du Covid-19, mais ne dit pas s'il prévient l'infection ou la transmission du virus qui serait à l'origine du Covid-19 (Sras-CoV-2). L'analyse similaire pour le « vaccin » Moderna note, cependant :
Les données disponibles ne sont pas encore suffisantes pour tirer des conclusions quant à l'impact sur la transmission du Sras-CoV-2 du vaccin [Moderna].
Malheureusement, nous avons ces derniers mois vu de nombreux rapports de décès attribués au Covid-19 des jours et des semaines après la vaccination (voir ici et ici - vidéo), confirmant que les personnes vaccinées peuvent être et sont infectées par le virus.

Les autorités sanitaires ont évité d'attribuer ces décès aux effets secondaires des « vaccins » eux-mêmes. Ils affirment plutôt que ces décès sont le résultat d'infections par le virus (Sras-Cov-2) contractées après avoir reçu les « vaccins ».

Des rapports particulièrement dévastateurs provenant d'un monastère isolé du Kentucky décrivent comment deux nonnes sont mortes du Covid-19 après avoir reçu des « vaccins » anti-Covid, en dépit de l'absence totale de tout cas d'infection dans le monastère pendant les dix mois qui ont précédé la vaccination.

Le directeur scientifique de Moderna a été cité dans le British Medical Journal à propos des essais cliniques menés en 2020, qui ont abouti à la décision de la FDA d'accorder une autorisation d'utilisation d'urgence du « vaccin » Moderna. M. Zacks a déclaré :
Notre essai ne démontrera pas la prévention de la transmission, car pour ce faire, il faut effectuer des prélèvements sur les personnes deux fois par semaine pendant de très longues périodes, ce qui devient intenable sur le plan opérationnel.
Les questions les plus importantes concernant les « vaccins » expérimentaux contre le Covid-19 n'ont même pas été posées lors des essais cliniques : Ces vaccins expérimentaux empêchent-ils l'infection par le virus et empêchent-ils la transmission de ce virus ? La réponse courte est non.

La FDA a clairement indiqué dans chacun des documents d'information sur les « vaccins » anti-Covid (voir le document Moderna ici, Pfizer ici, Janssen ici) que les essais n'ont même pas été conçus pour prouver ou réfuter l'hypothèse selon laquelle ils préviennent l'infection ou la transmission du virus, ou même empêchent l'apparition des symptômes du Covid-19.

La FDA a délivré des autorisations d'utilisation d'urgence pour les vaccins de Pfizer, Moderna et Janssen les 11 décembre 2020, 18 décembre 2020, et le 27 février 2021, respectivement.

Les autorisations d'utilisation d'urgence indiquent que les « vaccins » « préviennent les formes sévères du Covid-19 », c'est-à-dire qu'ils n'empêchent pas l'infection ou le développement des symptômes après l'infection, mais qu'ils peuvent rendre la maladie moins grave.

Les autorisations d'utilisation d'urgence nient explicitement toute preuve que les « vaccins » Pfizer, Moderna ou Janssen préviennent l'infection, ou empêchent l'hospitalisation ou même le décès dû au Covid-19 après la vaccination. Les « taux de réussite » très médiatisés des « vaccins » ne font référence qu'à leur capacité potentielle à atténuer la gravité de ces symptômes, mais il n'existe « aucune donnée » indiquant qu'ils préviennent l'infection susceptible de provoquer ces symptômes.

Rendre obligatoire la vaccination en vertu d'une autorisation d'utilisation d'urgence est inadmissible

Une autorisation d'utilisation d'urgence ne constitue pas une « approbation de la FDA ».

Une autorisation d'utilisation d'urgence indique qu'un produit n'a pas été entièrement testé mais que, malgré les risques évidents, sa distribution est autorisée, parce que le gouvernement a, en l'occurrence, déclaré une « urgence de santé publique » en janvier 2020.

Comme le note la FDA dans sa fiche d'information sur le « vaccin » Moderna :
Le « vaccin » anti Covid-19 de Moderna n'a pas subi le même type d'examen qu'un produit approuvé ou homologué par la FDA.
La FDA a accordé des autorisations d'utilisation d'urgence pour les trois « vaccins » expérimentaux après moins de cinq mois d'essais cliniques, la plupart des données des essais devant encore être recueillies. Ils feront l'objet d'essais cliniques jusqu'au 31 janvier 2023.

En septembre 2020, avant que l'autorisation d'utilisation d'urgence des « vaccins » anti-Covid-19 ne soit délivrée, les scientifiques spécialistes des vaccins ont déclaré qu'aucun vaccin n'avait encore jamais été distribué sur la base d'une autorisation d'utilisation d'urgence. Le Dr Peter Hotez a donné les précisions suivantes :
Nous n'établissons pas d'autorisation d'utilisation d'urgence pour les vaccins. Le contrôle est moins exigeant et sa qualité plus faible, et lorsqu'il s'agit de vacciner une grosse partie de la population étasunienne, ce n'est pas acceptable.
Trois mois plus tard, la FDA a délivré des autorisations d'utilisation d'urgence pour les « vaccins » Pfizer et Moderna, mais en indiquant explicitement qu'ils « n'ont pas fait l'objet du même type d'examen qu'un produit approuvé ou homologué par la FDA ».

En effet, la nature hautement expérimentale du « vaccin » anti-Covid-19 de Moderna, en particulier, est extraordinaire car il est le premier et le seul produit que la société ait jamais été autorisée à distribuer, et il aurait été développé en deux jours seulement.

Toute utilisation d'un vaccin expérimental dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence doit être volontaire et les receveurs doivent être informés
de la possibilité d'accepter ou de refuser l'administration du produit, ainsi que des conséquences, le cas échéant, du refus de se faire administrer le produit, et des alternatives au produit qui sont disponibles et de leurs avantages et risques.
Cette information est répétée en petits caractères sur chacune des fiches d'information de la FDA concernant le « vaccin » anti-Covid-19 de Moderna, mais elle est largement ignorée.

Le 22 octobre 2020, on a demandé au Dr Amanda Cohn, secrétaire exécutive du Comité consultatif sur les pratiques de vaccination du CDC, si les nouveaux « vaccins » anti-Covid-19 pouvaient être légalement imposés. Elle a répondu que dans le cadre d'une autorisation d'utilisation d'urgence :
Les vaccins ne sont pas soumis à une obligation. Ainsi, au début de cette phase de vaccination, chaque personne devra être consentante et les vaccins ne pourront pas être imposés.
Dans le cadre du statut d'autorisation d'utilisation d'urgence, et puisque les « vaccins » ne sont pas approuvés par la FDA et que les bénéficiaires sont des participants à des essais cliniques, le gouvernement n'est pas autorisé à exiger les vaccinations anti-Covid-19. C'est pourquoi, malgré les suggestions de certains législateurs en ce sens, les États ne peuvent légalement contraindre la population à se faire vacciner.

D'ailleurs, l'armée étasunienne n'a pas le droit d'imposer ces « vaccins ». Le fait que le gouvernement ne puisse imposer la vaccination explique pourquoi certaines entreprises privées tentent d'exiger la vaccination de leurs employés, ce qui, sur cette question, rend potentiellement pertinentes les recommandations de l'Equal Employment Opportunity Commission (EEOC) [Commission étasunienne de l'égalité des chances en matière d'emploi - NdT].

Le guide de l'EEOC sur la vaccination contre le virus Covid-19 n'autorise pas à imposer des vaccins

Le 16 décembre 2020, l'EEOC a mis à jour ses recommandations sur la question de la vaccination anti-Covid-19.

Cette mise à jour a été publiée cinq jours après que la FDA ait délivré une autorisation d'utilisation d'urgence pour le « vaccin » Pfizer et deux jours avant d'en délivrer une autre pour celui de Moderna. Sur la base de ce timing, nous pouvons supposer que l'EEOC était bien au courant du contenu des documents et des rapports d'information de la FDA, en particulier ceux portant sur les déclarations de la même FDA quant à l'absence de preuve de la capacité de ces « vaccins » à prévenir l'infection ou la transmission du virus (Sras-CoV-2).

Le guide de l'EEOC évalue l'idée que l'employeur puisse rendre obligatoire la vaccination anti-Covid-19 dans le cadre du critère de « menace directe » issu de l'Americans with Disabilities Act (ADA) [Loi de 1990 sur les étasuniens handicapés - NdT] :
L'ADA permet à un employeur de disposer d'une clause de conformité qui inclut « l'exigence qu'un individu ne constitue pas une menace directe pour la santé ou la sécurité des individus sur le lieu de travail ».
Mais l'analyse de l'EEOC présuppose que ces « vaccins » protègent contre les infections, ce qui n'est pas le cas.

Le principe de la « menace directe » constitue pour l'employeur une défense potentielle contre une plainte pour discrimination fondée sur le handicap au titre de l'ADA. Selon l'EEOC,
Conclure qu'il existe une menace directe impliquerait de déterminer qu'une personne non vaccinée exposera d'autres personnes sur le lieu de travail.
La « menace directe » — spécifique mais théorique — décrite ici fait référence à une prétendue menace posée par une personne non vaccinée susceptible d'être infectée par le virus (Sras-CoV-2) et de propager ensuite l'infection sur le lieu de travail.

Mais il est impossible de « déterminer » une telle menace. L'EEOC a pris soin de préciser qu'une défense fondée sur la menace directe « inclurait » d'avoir pu « déterminer » cette menace. L'EEOC n'a pas sur cette question pris position parce que les responsables étaient probablement conscients du fait que rien n'a permis de déterminer si la vaccination prévient l'infection ou la transmission, et que les données actuelles ne permettent pas de le faire.

Les affirmations ambitieuses selon lesquelles la vaccination « pourrait » [finalement s'avérer efficace pour] prévenir l'infection ou que « certaines données tendent à montrer » un tel effet ne constituent pas une base suffisante pour une défense fondée sur la menace directe.

En 1988, la Cour suprême des États-Unis a statué dans l'affaire Bragdon vs Abbott que l'affirmation d'une défense fondée sur la menace directe doit être évaluée « à la lumière des preuves médicales disponibles », notant que
les opinions des autorités de santé publique, telles que le Service de santé publique des États-Unis, le CDC et les Instituts nationaux de la santé, ont un poids et une autorité particuliers.
Note du traducteur : Après avoir déclaré sur un formulaire qu'elle était séropositive « asymptomatique », Sidney Abbott s'est vu refuser par son dentiste, Randon Bragdon, le traitement d'une carie. Bragdon a déclaré qu'il accepterait de la soigner s'il pouvait effectuer le travail dans un hôpital, mais Abbott devrait payer les frais d'admission et d'utilisation de l'établissement. En invoquant la Loi de 1990 sur les étasuniens handicapés, Abbott a poursuivi Bragdon pour discrimination, et les tribunaux fédéraux de première instance, ainsi que les cours d'appel, ont statué en sa faveur. Source
Passer outre les protections légales établies de longue date que constituent le droit à l'intégrité corporelle et le consentement éclairé et volontaire à un traitement médical, nécessite d'énoncer la menace réelle et imminente, et non théorique, que représente une personne non vaccinée sur le lieu de travail.

Le CDC, les National Institutes of Health et de nombreuses autres « autorités de santé publique » ont tous déclaré qu'il n'existe aucune preuve démontrant que la vaccination prévient l'infection ou la transmission virale, un fait que l'EEOC aurait dû mentionner, ce qu'elle n'a pas fait.

Aucune couverture juridique qui permettraient aux employeurs d'exiger la vaccination n'est offerte par les recommandations de l'EEOC. Selon ces dernières, les employeurs pourraient réussir à prouver l'existence d'une menace directe s'ils étaient en mesure de prouver des faits qui, en fait, ne peuvent être prouvés.

Plus important encore, selon le CDC, plus de 29 millions d'Étasuniens (et probablement beaucoup, beaucoup plus) ont déjà contracté le virus (Sras-CoV-2) et s'en sont remis.

Une étude récente du NIH démontre que ces millions de personnes « rétablies » bénéficient contre la réinfection d'une protection durable, et probablement permanente. Elles ne présentent aucune menace d'infection ou de transmission du virus. Cependant, sous couvert que les employeurs pourraient exiger la vaccination de leurs employés, ces personnes qui sont déjà immunisées devraient quand même se faire vacciner. D'un point de vue logique ou juridique, il est insensé d'exiger la vaccination pour des personnes qui possèdent déjà une plus grande protection contre le virus que les personnes qui se font vacciner [et n'ont pas au préalable contracté le virus - NdT].

Quelle est la menace contre laquelle la vaccination obligatoire permet de lutter ?

En dehors du contexte de l'emploi, les entreprises exigent des preuves de vaccination des voyageurs et même des spectateurs de cinéma et de concert, en se fondant sur la même idée démystifiée selon laquelle la vaccination avec l'un des « vaccins » anti-Covid-19 empêchera la propagation théorique du virus dans les trains, les avions, les cinémas et les salles de concert parmi les populations à faible risque. Or, les agences gouvernementales compétentes ont toutes déclaré clairement que ces « vaccins » n'empêchent pas l'infection ou la propagation de l'infection.

Le bénéfice de toute vaccination repose sur la personne qui reçoit le vaccin. Dans le cas des « vaccins » anti-Covid-19, les personnes vaccinées peuvent après avoir été infectées présenter moins de symptômes. Bien qu'il s'agisse d'une considération importante pour de nombreuses personnes, ce bénéfice n'a rien à voir avec la prévention de la propagation du virus Sras-Cov-2.

Une personne vaccinée présente au moins le même « risque » d'infection et de transmission du virus (si ce n'est plus) qu'une personne non vaccinée. Au mieux, la vaccination peut empêcher l'apparition d'un cas plus grave de Covid-19. Les « vaccins » n'empêchent pas l'infection ou la propagation du virus responsable du Covid-19. Ils n'ont que peu ou pas d'impact pour en arrêter la transmission.

Étant donné que personne n'a démontré que la vaccination empêche l'infection ou la transmission du virus Sras-CoV-2 — un fait incontesté par toutes les sources officielles — cela signifie également que la vaccination ne saurait contribuer à atteindre l'objectif de l'immunité de groupe.

« L'immunité de groupe » signifie qu'une population peut être protégée d'un virus après qu'un nombre suffisant de personnes se soit immunisé contre l'infection, soit par l'exposition au virus et la guérison ultérieure, soit par la vaccination.

Mais dans le cas du Covid-19, il n'existe aucune preuve que la vaccination immunise quiconque contre le virus Sras-CoV-2. La vaccination Covid-19 ne peut jouer aucun rôle significatif dans la recherche de l'immunité collective, parce que les « vaccins » anti- Covid-19 ne confèrent aucune immunité contre l'infection.

Curieusement, l'OMS se contredit en affirmant que la vaccination contre le Covid-19 favorise l'immunité collective contre le virus qui en est à l'origine :
Pour obtenir en toute sécurité une immunité collective contre le Covid-19, il faudrait qu'une proportion importante de la population soit vaccinée, ce qui réduirait la capacité globale du virus à se propager dans l'ensemble de la population.
Cette déclaration est tout simplement fausse. Elle contredit également l'aveu préalable de l'OMS selon lequel « Nous ne savons pas si les vaccins préviendront l'infection et protégeront contre la transmission ultérieure ».

Si l'OMS a déjà reconnu qu'elle « ne sait pas si » les « vaccins » anti-Covid-19 protègent les personnes contre l'infection ou la transmission du virus, prétendre que d'une manière ou d'une autre ces « vaccins » pourraient conduire à une immunité de groupe, constitue un mensonge délibéré.

Une stratégie bien plus utile que de forcer les gens à accepter un vaccin expérimental qui ne les protège même pas de l'infection serait de plutôt protéger les personnes les plus vulnérables qui pourraient contracter une maladie grave ou même mourir des suites d'une infection. Des dizaines de milliers de médecins et de scientifiques de renom aux États-Unis et dans le monde entier ont en octobre 2020 proposé une telle stratégie.

Malheureusement, les médias et les Big-Tech de la Silicon Valley ont attaqué et censuré de manière efficace toute discussion de cette approche thérapeutique rationnelle en la qualifiant d'« anti-science » et de « droite » et en supprimant sur la quasi-totalité des plateformes médiatiques toutes les informations relatives à cette stratégie [la « Droite » constitue pour les Démocrates zombifieurs de la Silicon Valley une chose inqualifiable qui ne devrait même pas exister - NdT].

Pourtant, la fausse approche « scientifique » de l'immunité de groupe vantée par l'OMS, les agences gouvernementales et les politiciens étasuniens, ainsi que les monopoles médiatiques, est d'une malhonnêteté flagrante et n'a rien à voir avec la « science ». La pression exercée par les entreprises privées pour imposer la vaccination et les « passeports d'immunité » est également fondée sur des intérêts financiers privés, et non sur la recherche scientifique.

Les scientifiques du gouvernement admettent que les « vaccins » anti-Covid-19 n'empêchent pas l'infection ou la transmission du virus qui, selon eux, en est à l'origine, mais nombre de ces mêmes scientifiques affirment de manière fort malhonnête que ces mêmes « vaccins » empêcheront d'une manière ou d'une autre la propagation du virus, et conduiront à une immunité collective.

Une telle approche n'est pas seulement non scientifique et malhonnête. C'est une ineptie.
À propos de l'auteur :

P. Jerome est un avocat spécialisé dans les droits civils basé à Washington, D.C. Il peut être joint à l'adresse suivante : jeromeinpassing@protonmail.com.
Note du traducteur : Voir aussi les articles suivants :
Source de l'article initialement publié en anglais le 30 mars 2021 : OffGuardian
Traduction : Sott.net