Qui voudrait ne serait-ce que le concevoir ? Après tout, ceux qui croient les articles de presse et les reportages télévisés sont certains d'être « sauvés » et non sacrifiés.
Sauvés du Covid, du réchauffement climatique, des Russes et bien sûr des « terroristes ». Et pendant ce temps là, les individus dotés d'un degré raisonnable de conscience reconnaissent que ceux qui mènent la barque tentent de mettre en œuvre un plan grandiose grâce auquel ils pourront contrôler tous les aspects matériels de la vie quotidienne. Ce que Klaus Schwab, directeur du Forum économique mondial, aime appeler « Vous ne posséderez rien et vous serez heureux ».
Autrement dit, « Nous posséderons tout et vous aurez de la chance si vous êtes encore en vie ».
Pourtant, dans l'offensive en cours contre l'humanité, il ne s'agit là que d'une seule étape qui en comporte plusieurs.
Pour être en mesure de saisir l'ampleur du sombre programme de transformation envisagé pour la vie sur Terre, nous sommes contraints de lutter contre notre propre esprit d'une manière qui transcende la conscience. Nombreuses sont les personnes qui sont incapables de ne serait-ce que commencer à concevoir qu'il n'est pas seulement question d'une nouvelle tentative d'instaurer une dictature totalitaire, mais qu'il s'agit en fait d'une guerre totale contre la force vitale elle-même. Une tentative visant — par l'ingénierie — à changer à tout jamais notre ADN en quelque chose de totalement étranger à ce qui anime la dynamique évolutive de la vie sur Terre.
Les origines de cette persuasion anti-vie sont très anciennes. Elles commencent par un refus de reconnaître l'essentielle composition spirituelle inhérente à toute matière. Dans son essence, la vie — dans toutes ses formes animées et inanimées — est une manifestation de ce qu'une entité cosmique de pur esprit a mis au monde et qui au cours d'une longue période de temps s'est transformée en ce que nous appelons « matière ».
La matière est un pur esprit figé dans une substance matérielle. C'est la raison pour laquelle Jésus est cité comme ayant dit « Fendez du bois, je suis là ». Les roches anciennes, les sols, les fougères, les protozoaires, les micro-organismes aérobies, les insectes, les reptiles — et finalement l'être humain — forment une grande diversité et un continuum d'expressions issus d'un point Source cosmique omnipotent que nous appelons Dieu.
Au départ, l'expression de la vie ici sur Terre était d'une nature très simple et ne possédait aucune forme de conscience de Soi. Pourtant, toute matière apparemment inanimée porte en elle le germe propre à la rendre animée. Après tout, elle est « pure énergie » — mais le fait que nous ne puissions pas voir les atomes tourbillonnants qui forment la composition d'une roche ne signifie pas qu'ils ne sont pas réels ni que la roche n'est pas vivante.
Même dans les montagnes et les minéraux les plus anciens de notre planète, la Source créative de toute vie est présente.
Tous ces éléments aspirent à devenir plus que ce qu'ils sont. Ils ont tous la capacité d'évoluer constamment vers une expression supérieure d'eux-mêmes. Ainsi, ils se « transforment » et évoluent, pour ainsi dire, vers des formes plus subtiles d'expression de leur forme originelle. C'est la véritable signification du mot « évolution ».
Nous — l'humanité — sommes à l'extrémité supérieure de ce processus d'évolution, mais nous sommes toujours influencés par toutes les étapes qui nous ont conduits où nous sommes aujourd'hui. Nous les reconnaissons comme des expressions qui évoluent de manière progressive dans le cadre du développement de nos propensions psycho-spirituelles et physiques uniques.
Ainsi, nous pouvons aujourd'hui, si nous le souhaitons, nous sentir en harmonie avec l'environnement naturel dans lequel nous vivons, simplement parce que nous sommes cet environnement et qu'il est nous. Il n'y a jamais eu de point de séparation, juste un continuum d'expression évolutive de la source pure d'où est née la « vie ».
Cependant, quelque part sur la ligne, à un stade bien développé du continuum — lorsque le cerveau humain était déjà actif — une déviation du mouvement évolutif naturel est devenue manifeste.
Nous ne spéculerons pas sur ce que c'était exactement, mais nous reconnaîtrons son existence. Cette déviation a pu se produire en raison du « libre arbitre » accordé à l'origine à l'être humain doté d'une « pensée » indépendante.
Le libre arbitre est l'état que nous appelons aujourd'hui « liberté » ; toutefois, un tel état n'existe que lorsque son intention est la manifestation continue de la grande diversité de l'espèce et une manifestation supplémentaire de ses origines divines. Un état que j'appelle « la responsabilité de la liberté ».
Note du traducteur : Aliéné de sa Nature intrinsèque par une « libération » qui ne profite qu'aux marchés mondiaux, l'être humain s'oblige lui-même — dans une sorte de masochisme inconscient troquant une dépendance connue contre une autre encore inconnue, parfois pire que la précédente — à une conformité des corps et des esprits dictés par une société en pleine déliquescence.Cette « vraie liberté » est précisément ce qui fut attaqué il y a plusieurs millénaires [elle est en fait attaquée depuis plusieurs millénaires - NdT]. La motivation de cette attaque s'est basée sur le désir que les richesses offertes par le monde matériel doivent être considérées et adorées uniquement comme de la matière inerte, complètement dépourvue d'Esprit. En d'autres termes, il s'agissait [et il s'agit encore - NdT] de nier l'existence d'un créateur — cosmique — qui se reflète dans toutes les formes de vie, et de s'approprier le monde matériel — la matière — en le considérant comme une chose à « posséder » [y compris au sens théologique du terme, à savoir s'emparer du corps — et/ou de la forme — et de l'esprit - NdT] à des fins en tout premier lieu d'enrichissement personnel [et donc matériel - NdT].
Note du traducteur : Quant à la « possession » ci-dessus mentionnée, voir la partie « Schizophrénie ou possession ? » de cet article.C'est ainsi que la Source divine a été dépouillée de la manifestation de sa propre création.
Et comme le dit Hervé Juvin dans Le gouvernement du désir :« Que le désir vienne de la Nature, que le désir porte sur ce qui ne peut ni se vendre, ni se produire, voilà ce qui ne peut se supporter — voilà ce qui insulte l'industrie ! »Qu'à cela ne tienne ! L'industrie « possédée » par cette cabale anti-vie fait le pari de tout vendre et de tout produire, quand bien même ce faisant elle disparaîtrait.
A partir de là, gorgés de la richesse du pouvoir tridimensionnel et poussés par un insatiable engouement pour la « possession », les faux prétendants ont continué à tenter de s'emparer non seulement du matériel, mais aussi de l'expression spirituelle innée de l'évolution humaine et planétaire.
Ils virent qu'en dépit de leur prise d'influence sur l'Humanité, la force vitale restait irrépressible. Ce constat a suscité une profonde jalousie chez « celui qui serait le dieu-roi » ; et la seule façon d'assouvir cette jalousie était de se venger de cette force vitale éprise de liberté. Une force qui refusait de se laisser contrôler par une autorité impie.
De grandes guerres ont été déclenchées par les jaloux. L'idée maîtresse de chacune de ces guerres était de « diviser l'homme contre lui-même ». Qu'il se détruise lui-même.
Mais même le carnage engendré par ce stratagème maléfique n'a pas entièrement vaincu le véritable être humain mû par l'esprit qui désire ardemment s'élever, comme en réponse à l'écho vibratoire de l'Esprit pur et unique. Ce grand mystère qui stimule le désir de réaliser consciemment son unicité avec la Source.
Nous arrivons donc à aujourd'hui.
Aujourd'hui, les jaloux, les « meurtris », mais plus vindicatifs que jamais en vertu de leurs échecs passés, visent à lancer l'offensive sur l'ADN même de la vie et à le déformer. Leur objectif est d'y juxtaposer les codes mécanistes et numériques qui caractérisent leur vide spirituel, dans le but de créer un robot-esclave « ex-humain », dont toutes les facultés génétiquement modifiées seront à ce point artificielles qu'aucun retour ne sera possible. Pas de retour à la Nature. Pas de retour à la Source.
Note du traducteur : « Ils » veulent donc nous emprisonner pour l'éternité dans le Néant, dans leur monde en essence entropique.Ainsi, les meurtriers cherchent à s'introniser comme dieux-rois de leur empire satanique.
Ils ont maintenant déclaré une guerre ouverte à la Terre et à l'Humanité, et s'attaquent de la façon la plus agressive qui soit à ce qui constitue le principe même de vie d'une manière qui infligera le plus de dégâts le plus vite possible.
Note du traducteur : Nous avons titré « sur l'ADN du vivant » plutôt que « sur l'ADN de l'être humain », pour une raison toute simple : tout d'abord parce que le concept d'ARNm utilisé dans les injections anti-Covid est également utilisé sur les animaux, mais il l'est aussi sur les plantes. En effet, des scientifiques devenus fous et guidés par un hubris démesuré travaillent et sont subventionnés pour étudier comment des plantes comestibles comme la salade pourraient devenir des usines à ARNm.Tandis que cette cabale très faible en nombre et très malsaine ouvre la voie, son armée de fantassins chemine derrière elle cahin-caha, les yeux rivés sur leurs téléphones portables et leurs téléviseurs à écran large, en attendant les prochaines instructions. Leurs esprits marqués du sceau de l'esclavage ont déjà cédé à la lente marche vers l'oubli spirituel, leurs corps courbés par le déni, les transmissions vitales de leurs âmes étouffées sous un épais manteau de pensée incontrôlée et empoisonnée avant tout par le suc de la peur.
Juan Pablo Giraldo, professeur associé au département de botanique et de phytologie de l'université de Californie à Riverside, qui dirige les travaux de recherche explique :« Je suis très enthousiaste à propos de toutes ces recherches. Je pense que cela pourrait avoir un impact énorme sur la vie des gens. »Quant aux dieux-rois, l'un de nos rédacteurs exprime très bien ce concept dans un article publié récemment :« En tentant de modifier le génome même des êtres humains, les élites se prennent pour Dieu et essaient de tromper Mère Nature. Dans la Grèce antique, cette attitude était qualifiée d'« hubris ».« L'hubris, dans la tragédie grecque, est l'orgueil démesuré ou la défiance envers les dieux [...] L'orgueil démesuré qui conduit les humains à suivre une voie ou des projets qui mènent à une autodestruction certaine. En ce sens, l'hubris est un crime de pouvoir. [...] L'hubris est l'orgueil extrême ou la hardiesse d'un personnage qui, lorsqu'il offense les dieux, est généralement puni sévèrement. Le propre de l'hubris est de commettre des actes et d'avoir des pensées qui outrepassent les prérogatives d'un simple mortel, et donc de faire preuve d'impiété envers les dieux. L'hubris mène à la némésis, l'agent inéluctable de la chute d'un individu. Némésis était la déesse ou l'esprit du châtiment céleste [...][49]. »
Note du traducteur : Dans un monde où ce qui est dit devient ce qui est, dans lequel l'ignorance est élevée au rang de vertu et qui conjure le réel au profit du virtuel, un monde où tout est marchandise, « le corps moderne n'est plus qu'un œil rivé à l'écran », et son esprit prisonnier du pouvoir des faiseurs d'histoires.Nous connaissons le plan — et nous connaissons la passivité rétrograde du genre humain qui est responsable d'avoir permis à ce plan d'aller aussi loin.
Nous avons appris que les injections anti-Covid, les chemtrails d'aluminium, le WiFi et le fluorure — se combinent pour calcifier la glande pinéale et bloquer sa fonction de principal récepteur des énergies cosmiques de vibration supérieure.
Note du traducteur : Les « chemtrails d'aluminium » sont une opération Cointelpro, un outil de désinformation institutionnalisé destiné notamment à masquer le refroidissement des couches supérieures de l'atmosphère qui indiquent l'arrivée d'une ère glaciaire, celle-là même qui a nécessité d'inventer un supposé réchauffement climatique anthropique. Son but est de distraire l'attention du public afin que personne ne comprenne réellement les événements en cours.Nous avons appris que les OGMs et les pesticides agissent de manière très similaire sur le règne végétal [et le règne animal - NdT] dont le rôle est de nous nourrir. Et nous savons qu'une grande partie de la chaîne alimentaire porte le poids de cette toxicité.
Sur l'ère glaciaire à venir, voir nos articles suivants :Sur Cointelpro, voir nos articles suivants :
- Le feu et la glace : le jour d'après
- Planète X, comètes et changements terrestres par James M. McCanney - Ce qui se profile à l'horizon
- Le mensonge du « réchauffement climatique anthropique », une poule aux œufs d'or qui ne doit pas mourir
- Un rapport du Pentagone sur le climat annonce un refroidissement global (première partie)
- Un rapport du Pentagone sur le climat annonce un refroidissement global (deuxième partie)
Voir aussi la Série comètes et catastrophes de Laura Knight-Jadczyk.
- Pas prête à être « gentille »
- Les techniques secrètes pour contrôler les forums et l'opinion publique
- Les Temps manquants : les médias, les Ovnis, Cointelpro et les comètes
Nous savons que toutes ces attaques brutales contre cette planète vivante et ses occupants proviennent d'une perception grossièrement déformée de ce qu'est la Vie. En fait, il s'agit d'une perception inversée.
Mais nous savons aussi une autre chose. Sous l'émergence d'une onde d'éveil croissant, [une partie de - NdT] l'Humanité a identifié la supercherie pour ce qu'elle est et lui oppose désormais une formidable résistance. Et ce faisant, elle redécouvre ses pouvoirs innés et trouve la volonté de défier ouvertement les architectes de la destruction.
Nous commençons à comprendre comment les périodes de profonde obscurité peuvent être les précurseurs de périodes d'illumination fulgurante et à percevoir qu'il se profile une grande métamorphose de la vie sur Terre.
Une manifestation portant en elle ce que nous cultivons dans nos cœurs et envisageons dans nos esprits. Nous, gardiens du drapeau de la vérité et avant-garde d'une nouvelle société construite sur l'honneur, la sagesse, la justice et la vérité.
Ne vous y trompez pas, il s'agit d'une bataille « royale » [une bataille à mort dont il ne peut rester qu'un seul vainqueur - NdT]. Le chemin de la paix n'est pas assuré par la passivité et les vœux pieux. Pas du tout. Pas même par la [seule - NdT] prière.
Le grand sadhu indien, Prabhat Rajan Sarkar, l'a exprimé comme suit :
« Il n'existe aucun autre moyen d'établir la paix que de lutter contre les raisons qui la perturbent. »Nous nous battrons donc, jusqu'à obtenir la victoire.
À propos de l'AuteurSource de l'article initialement publié en anglais le 28 septembre 2021 : Waking Times
Julian Rose est un militant international qui, en 1987 et 1998, a mené une campagne pour éviter que le lait non pasteurisé ne soit interdit au Royaume-Uni, et une campagne « Dites non aux OGM » en Pologne qui a abouti à l'interdiction nationale des semences et plantes GM dans ce pays en 2006. Julian fait actuellement campagne pour « Stopper le WiFi 5G ». Il est l'auteur de deux titres acclamés : Changing Course for Life et In Defence of Life, et est adepte de longue date du yoga associé à la méditation. Voir son site web pour plus d'informations et pour acheter ses livres julianrose.info.
Traduction : Sott.net
Si "Dieu" a permis cela, alors cette "déviation" n'en est pas une, elle fait partie de la "vie"... C'est à cause de ces compromissions logiques que j'ai toujours du mal avec les discours sur la transcendance (et avec ces discours uniquement, et notamment ceux qui parlent de ce "Dieu" qui est un concept se rapportant nécessairement à une foi, et souvent une foi bien particulière) pas avec la transcendance elle-même).
Soit "Dieu" avait un plan sans dérogation possible, et par conséquent il ne permettait pas le libre arbitre, soit le libre arbitre est indissociable de la conscience, et alors tout discours prétendant que le libre arbitre est un problème est quelque part "anti-Dieu", c'est à dire contre ce qu'il promeut au départ...
"Le libre arbitre est l'état que nous appelons aujourd'hui « liberté » ; toutefois, un tel état n'existe que lorsque son intention est la manifestation continue de la grande diversité de l'espèce et une manifestation supplémentaire de ses origines divines. Un état que j'appelle « la responsabilité de la liberté »."
Ici l'auteur pose des conditions et des limites à la notion de libre arbitre, qu'il tente dors et déjà d'enfermer dans sa propre conception que l'on sent conditionnée par des prémices et des axiomes qui m'échappent. En l'occurrence, le libre arbitre permet de se priver consciemment de sa liberté... car il est inconditionnel, et car libre arbitre et "liberté" sont deux choses différentes, la première étant une chose précise, et la seconde un concept général qui reste à définir. On peut certes débattre des usages que l'on en fait, et qui peuvent conduire à l'abolition du libre arbitre même, pour une personne, une communauté, voire une société, les exemples sont d'ailleurs nombreux... à commencer par les communautés religieuses elles-mêmes (certaines d'entre elles, du moins).
"La motivation de cette attaque s'est basée sur le désir que les richesses offertes par le monde matériel doivent être considérées et adorées uniquement comme de la matière inerte, complètement dépourvue d'Esprit. En d'autres termes, il s'agissait [et il s'agit encore - NdT] de nier l'existence d'un créateur — cosmique — qui se reflète dans toutes les formes de vie, et de s'approprier le monde matériel — la matière — en le considérant comme une chose à « posséder » "
Pas du tout d'accord, comme je l'ai dit au-dessus, les communautés religieuses qui mettent en avant un créateur sont parmi les premières à promouvoir l'abolition du libre arbitre, et de nombreux athées se sentent parfaitement investis d'un libre arbitre qui leur autorise notamment le choix de ne pas forcément croire à une entité suprême qui déciderait pour eux ce qui est bon et ce qui ne l'est pas. On peut discuter des mérites respectifs de l'athéisme et des postures de foi, qui ne sont d'ailleurs pas aussi séparées qu'on voudrait le penser (la croyance existe chez les rationalistes et les matérialistes, ils y sont même condamnés comme tout un chacun, seulement peu en ont conscience, certes), mais ces discours qui prétendent établir une hiérarchie où la foi serait supérieure à la non-foi me laissent perplexes voire inquiet. Le libre arbitre ne permet-il pas, précisément, de choisir de croire qu'il y a ou n'y a pas une des choses suivantes : un "Dieu", un grand horloger, plusieurs divinités, des esprits, des esprits de défunts, etc. ?
Bref je pourrais continuer à analyser ce texte. En résumé, ce que j'ai à en dire est qu'il est un écrit par un auteur qui rationalise et justifie sa propre croyance en la plaçant au-dessus de tout autre système de valeur, qui plus est en partant de prémices fausses... Si pour ma part je crois à une forme d'ordre cosmique, je m'interdis en revanche de décider (au moins pour les autres, car je m'autorise à croire personnellement en ce que je veux), si ma foi est supérieure à telle autre, pour telle ou telle raison que j'entends développer à partir de concepts mal fagotés, comme ici. La foi est une chose personnelle, et si l'auteur, de ce que j'en ai compris, tente en fait de combattre une tendance qui veut détruire la transcendance, il s'y prend bien mal, et de toute façon, la transcendance n'a pas besoin d'être défendue, et se passe même de nous. Par conséquent j'en reviens à la responsabilité de chacun de choisir ses croyances en fonction de ce qui est bon et juste pour lui, et non de ce que quelqu'un en aura dit ou écrit quelque part... Et peut-être qu'en suivant ce principe, on aurait déjà moins de personnes qui abandonnent leur libre arbitre en même temps que leur sens critique.
J'ai de toute façon survolé le reste de l'article, on y parle encore de "Satan" et autres concepts qui n'ont que l'importance que chacun veut bien leur donner. Au final j'ai eu l'impression d'un prêche comme j'aurais pu en entendre dans une mosquée ou une église... et ce n'est pas mon truc, donc je ne tiens pas forcément à en dégoûter les autres, mais au moins en déciller quelques uns sur les arrangements avec la logique et la dialectique que j'ai repérés ici dans le début du texte. Justement pour promouvoir le libre arbitre, la foi comme la non-foi, et par dégoût des évangélismes divers et variés que je vois en traversant cette époque, qui sont aussi bien chrétiens que scientistes ou n'importe quoi d'autre. Et aussi défendre ma fierté et sensibilité animiste et proche du paganisme à chaque fois que je vois "Dieu, Dieu, Dieu" proféré ici et là. Car chacun a droit à sa conscience et à sa transcendance, sans se faire piétiner constamment. Disons que c'était ma façon de tendre l'autre joue, au cas où quelqu'un n'apprécie pas mon propos. Que j'assume néanmoins.
N'oubliez pas quand même, s'il vous prend de frapper l'autre joue, que ma diatribe sans importance était avant tout un éloge de la tolérance, et contre toute forme d'intégrisme.