EDITO - Les effets secondaires des vaccins, on n'en parle pas sur les médias "mainstream", ou alors c'est pour mentionner qu'il n'y a pas de relation de causalité avec les vaccins. L'imputabilité n'étant pas démontrée, il est donc demandé de ne pas faire d'amalgame.

sourd
© Pixabay / FSIl n'y a pas plus sourd que celui qui ne veut rien entendre.
Pourtant, certains médias alternatifs comme FranceSoir alertent depuis des mois sur la toxicité de la protéine spike et sur les risques liés aux divers vaccins. Des spécialistes (toxicologues, biochimistes) ont écrit et se sont prononcés sur les conséquences des vaccins génétiques, qui ont été approuvés avec peu de recul. La biostatisticienne Christine Cotton avait, lors d'un debriefing, repris les études soumises par les fabricants à la FDA (l'administration américaine chargée de réguler les médicaments), avant d'analyser 450 000 points de données de la base des effets secondaires VAERS et d'alerter que 67 % des décès enregistrés se produisent dans les deux semaines après l'injection.

De son côté, le Dr Peter McCullough en a aussi parlé lors de sa présentation au Sénat américain, et le Pr Robert Malone, pionnier des vaccins ARMm, a déclaré que la protéine native Spike était toxique. L'omerta ambiante autour de ces sujets a mené FranceSoir à regarder les données australiennes : près de trois fois plus de morts signalées après le vaccin qu'attribués à la Covid-19. FranceSoir a aussi interviewé une foule de médecins à ce sujet et reçu de nombreux témoignages, comme celui de Séverine Toce, dont la vie a été bouleversée. Elle est aujourd'hui en fauteuil roulant.

Pas de son, pas d'image, dans les médias « mainstream »

Le journaliste Ivan Rioufol est un des rares journalistes des médias "mainstream" à poser des questions et à porter la voix de ceux qu'ils appellent les "anti-vax". Sur cette appellation trompeuse, le Dr Jean-François Lesgards est clair : "Nous ne sommes pas anti-vax, mais anti-spike". C'est dans "l'Heure des pros", émission sur CNEWS, que l'on a pu observer tout récemment comme un sursaut de Pascal Praud, le présentateur. N'y croyant qu'à moitié, en réponse à la proposition d'Ivan Rioufol, il a lancé un appel à témoignages sur les effets indésirables. Dès le lendemain, il reçoit Marc Doyer, qui lui explique que sa femme a été atteinte d'une maladie à prions après sa deuxième injection de Pfizer, et que "c'est foutu pour elle".

Rappelons que le Pr Luc Montagnier, prix Nobel de médecine, avait alerté à ce sujet sur le plateau de FranceSoir en mai 2021.

Quelques mois après, enfin, après le discours remarqué de la sénatrice Laurence Muller-Bronn et le Sénat qui refuse la vaccination obligatoire, les informations parviennent jusque sur les pages des médias "mainstream"... Serait-ce le début d'une fissure dans "le mur des sourds" ?