NEO: L'incroyable insanité des médias occidentaux vis-à-vis de la guerre en Ukraine, ce dès le départ, les insultes, l'utilisation de segments de jeux vidéos pour prouver des atrocités [russes], les plans qui se sont développés durant la guerre contre le terrorisme, ont créé un véritable dérapage, une dérive, qui ne peut plus être corrigés.
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Aujourd'hui, des dizaines de millions d'Américains et un nombre similaire de personnes des pays de l'OTAN, incluant la Turquie et le Canada, savent qu'il n'y a plus aucune limite aux mensonges les plus enfantins et incroyables que leurs gouvernements ont répandus.

Alors la vérité, une terrible vérité commence à prendre pied.

Sans le relatif succès et certainement le debunking de Trump sur les médias américains, cette porte ne pourrait peut-être pas être ouverte.

Les universitaires américains ne peuvent plus dire quand le mensonge a commencé, à quel point est-il ancré, jusqu'où va-t-il et dans quelle mesure des "faits" depuis si longtemps acceptés et écrits dans les livres d'histoire pourraient bien être non pas biaisés, mais carrément fabriqués.

Ainsi, sans le savoir, les médias corrompus contrôlés par l'OTAN de 2022 ont commencé à ressembler à ce qui est décrit dans les histoires de science-fiction. Même les armées de "fact checkers" aidés par les va t'en guerre de Google et ses alliés des réseaux sociaux ne sont plus capables de redresser la barre de la fausse réalité.

Les historiens ont questionné depuis longtemps ce qui pouvait bien être derrière la première guerre mondiale. Une nouvelle analyse commence à faire plus que soutenir les hypothèses impliquant des cabales privées, une analyse qui non seulement mène à aujourd'hui, mais peut aussi être tracée en arrière jusqu'au moyen-âge.

Ces cabales sont mentionnées à huis-clos avec régularité, mais ceux qui y font référence dans les médias doivent faire face à l'ostracisme organisé, aux campagnes de diffamation et pire. Le cauchemar est celui-ci : les universitaires et érudits ne peuvent plus faire confiance en leur propre travail. Les faits" acceptés ne sont plus fiables. Aucun document ne doit plus inspirer la confiance, tout comme aujourd'hui toute photo ou vidéo échappent aussi à toute confiance qui soit.

Aujourd'hui, comme on le voit souvent sur Twitter et Telegram, même les morts et les estropiés sont faux et ceux qui parlent et disent la vérité sont attaqués en justice pour diffamation et condamnés dans des cours de justice corrompues. Demandez au professeur James Fetzer ou même à ce trublion chien fou des médias alternatifs qu'est Alex Jones d'InfoWars.

Donald Trump a passé toute sa présidence à exposer les médias de masse qui faisaient passer le message des pires mensonges et escroqueries. Puis, dans une certaine mesure, il devint lui-même partie de ce problème, soutenant ces histoires de gaz de combat en Syrie et en ne tenant pas l'Amérique pour responsable des laboratoires biologiques, ne blâmant que la Chine. Pourtant, alors même que Trump devint partie du problème, ce qui suivit laissa les Américains avec si peu de confiance en leurs médias, que lorsque le même jeu fut joué qu'avec Saddam Hussein en 1990 au Koweït [l'affaire du mensonge des couveuses], des dizaines de millions d'Américains ont soutenu la Russie. Bien que les médias de masse se soient alignés sur l'OTAN et le Pentagone et que quiconque fournit une couverture d'évènement équilibrée est diffamé et tourné en dérision, de plus en plus d'agences de presse disent la vérité. Quelle est cette vérité ?

Les Etats-Unis ont fait un coup d'état en Ukraine en 2014 et y ont mis en place un régime de gangsters nazis. Puis cette nation fut pillée et environ 1 million de jeunes femmes ukrainiennes ont été victimes du trafic d'êtres humains à destination du monde. Puis bien sûr, nous avons les laboratoires biologiques secrets qui furent construits pour tester des échantillons de terre et des maladies de cultures agricoles et qui sont maintenant, d'après le ministère russe de la Défense, en train de travailler au développement de nouveaux modèles de moustiques qui pourraient disséminer l'anthrax / maladie du charbon.

D'autres projets sont bien pires.

Pire encore, le président Biden dit maintenant que la Russie planifie d'utiliser des armes chimiques en Ukraine. Cette histoire est devenue un classique, racontée en Syrie à chaque fois que l'Armée Arabe Syrienne (AAS) se rapprochait des terroristes islamistes de Daesh ou d'al Qaïda soutenus par la CIA, deux organisations terroristes toutes deux interdites en Russie, et que soudain des civils se retrouvaient attaqués avec des gaz toxiques sans raison apparente, mais furent-ils vraiment attaqués ?

Les preuves fournies à l'ICC, incluant 38 membres des "casques blancs" et médecins qui traitèrent de fausses victimes sous la menace des armes, l'ont autrement prouvé, des trouvailles censurées depuis longtemps par l'OTAN.

Le véritable problème est bien plus profond et, dans une certaine mesure, a aussi un aspect philosophique.

Pour ceux d'entre nous qui ont une expérience militaire ou du renseignement et qui n'ont pas été soudoyés par le complexe militaro-industriel, les évènements récents nous ont bouleversé jusqu'au fond de nous-même. Non, ce n'est pas la question de la guerre nucléaire ou des peuples du Donbass et d'Ukraine qui souffrent vraiment. Il s'agit de quelque chose de bien plus sinistre.

Ce n'est pas exagérer que de dire que des dialogues privés, maintenant continus, entre des professionnels du renseignement, à la fois retraités et en activité au plus haut niveau, s'occupent de cette affaire.

La fin de la seconde guerre mondiale et la mise en place de la guerre froide ont mené à une polarisation bien plus dangereuse qu'une simple rivalité Est / Ouest ou "communisme" contre la soi-disant économie de libre marché.

Une fausse dialectique "gauche contre droite" a été créée, pour briser dans une certaine mesure des alignements basés sur des paradigmes traditionnels de lutte de classe comme stipulé par Marx.

À la fin de la première guerre mondiale, il est devenu clair que les droits de l'être humain du commun, qu'il soit ouvrier d'usine, paysan / ouvrier agricole ou propriétaires de PME, mèneraient, si cela était permis, à des gouvernements libres qui éviteraient de nouvelles guerres mondiales et rechercheraient un vaste développement de l'humanité.

Aux États-Unis, Les riches éléments des élites de la côte Est et leurs associés banquiers de Londres et de Francfort commencèrent, au XIXᵉ siècle, à saisir de larges portions de terre dans l'Ouest, tout en maintenant un verrouillage sur le gouvernement au travers un contrôle du sénat, de la cour suprême (CSEU) et de l'armée, ce au travers de grandes faiblesses dans les protections constitutionnelles. De nouveaux états furent admis dans l'Union comme le Nevada, le Montana, le Wyoming, l'Arizona, l'Idaho et d'autres n'ayant aucune population, juste du bétail, des voies de chemin de fer les traversant et une concentration de camps remplis des peuples natifs américains.

À partir de ce moment-là, le sénat a été contrôlé par ces mêmes familles, celles qui ont aidé à financer la renaissance de l'Allemagne avec Hitler et, lorsque son régime fut écrasé, ramassa ses élites et les amenèrent aux États-Unis.

Après la seconde guerre mondiale, des scientifiques nazis et japonais furent amenés aux États-Unis, le public sait cela (NdT : Operation Paperclip du Pentagone et de l'OSS). Ce qu'on n'a pas dit au public en revanche, c'est que quelques 200 000 anciens nazis furent également importés en Amérique, pas des scientifiques, mais des bandits d'Ukraine et des Waffen SS de Hollande, de Norvège, de Latvie, d'Estonie et de Lithuanie.

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Leur nombre aida à construire une nouvelle base pour le régime nazi américain qui avait échoué et que le coup de Wall Street de 1933, appelé aussi "le coup d'état d'affaire" avait échoué à mettre en place lorsque des tentatives d'arrêter et de mettre en prison le président F.D.Roosevelt furent bloquées par le général Smedley Butler.


Commentaire : Sur ce personnage historique lire : Où êtes-vous, général Smedley Butler ?


Dans le même temps, les fondations Rockefeller et Ford (NdT : Henry Ford était notoirement un grand sympathisant nazi et ami de hauts dignitaires du IIIeme Reich, il fut décoré par les nazis de la plus haute distinction civile de l'Allemagne à l'époque...) commencèrent à reformer la réalité américaine. Ils firent réécrire les livres d'histoire, restructurer les universités américaines et le système éducatif et commencèrent à régner sur une presse qui fut autrefois partiellement libre, créant ainsi un niveau de contrôle jamais vu dans l'histoire, se cachant derrière une "peur rouge" et une chasse aux sorcières emmenée par Roy Cohn et le sénateur Joseph McCarthy. Notez bien au passage que très curieusement, ce "Roy Cohn" fut aussi un mentor de... Donald Trump.

Est-ce que les présidents américains se sont défendus ? Un seul le fit : John Fitzgerald Kennedy, qui arrêta l'invasion de Cuba et essaya de démanteler le système de la Réserve Fédérale, depuis lequel l'économie américaine est gérée par des banquiers basés à Francfort et dont les noms sont "classés secrets" par la loi américaine.

Conclusion

Les Américains de toutes tendances politiques en arrivent maintenant à s'unir dans la peur, au-delà même... dans le désespoir. La guerre d'Ukraine a 8 ans déjà et a ses racines profondes dans la seconde guerre mondiale. Rejoindre les nazis contre l'URSS est une chose, mais rejoindre les nazis contre la Russie chrétienne en est une autre.

La motivation derrière tout cela est fondée sur l'exploitation des haines ethniques entretenues par l'OTAN depuis le renversement de régime par l'OTAN en 2014.

Nous l'avons vu avec cette affaire de l'abattage du vol MH17 de Malaysian Airlines. Nous avons vu des preuves complètement ignorées, des supercheries devenir des faits établis et le tout fut "estampillé du sceau du politiquement correct" par un tribunal hollandais puant la partialité à plein nez.

Maintenant nous voyons la Cour Pénale Internationale (ICC/CPI) gérée par l'Amérique qui recherche à impliquer la Russie dans des crimes de guerre. Mais il y a deux décennies, en 2002, les Etats-Unis se retirèrent du Statut de Rome et quittèrent la CPI par peur de se retrouver sur le banc des accusés pour crimes de guerre en Irak, en Afghanistan et ce programme mondial d'enlèvement et de sous-traitance de la torture par la CIA appelé "Rendition Program".

Tout cela bien sûr, en réponse aux attentats du 11 septembre, sans aucun doute l'évènement au cœur même bien noir du grand mensonge de la machine de l'OTAN, de la même manière que des "conclusions" officielles, sont maintenant acceptées de manière générale comme le plus grand programme de couverture d'un crime que l'histoire ait connu.

Puis en 2020, les Etats-Unis placèrent des juges et des procureurs de la CPI de La Haye sur la liste de sanctions anti-terroristes du ministère de l'économie des Etats-Unis parce qu'ils avaient menacé d'enquêter sur les massacres de masse américains en Afghanistan. Du professeur William Burke-White du Brookings Institute :
Au début de la longue guerre en Afghanistan, des tortures et autres crimes de guerres furent commis par l'armée américaine et la CIA sur la base de Bagram et sa prison et aussi dans ce qui fut appelé "les sites noirs" d'Europe de l'Est. De telles actions, même si elles ne furent pas des standards des Etats-Unis et furent arrêtées par un décret du président Obama en 2009, n'en violent pas moins les principes de base de la loi humanitaire. A ce jour, très peu des acteurs de ces crimes ont été traduits en justice dans le système de cour martiale de l'armée des Etats-Unis. De plus, les enquêtes n'ont pas remonté la voie hiérarchique comme il se devrait pour accuser et responsabiliser les officiers et fonctionnaires responsables ayant ordonné ou autorisé ces tortures et le ciblage des populations civiles en Afghanistan. Ceci va maintenant changer alors que la CPI ouvre une enquête officielle sur les crimes de guerre commis en Afghanistan à la fois par les Talibans et les Etats-Unis.

Un point crucial

Le 5 mars, la Cour d'appel de la CPI a pris une décision importante en renversant une décision préalable de la chambre basse de pré-mise en accusation de la CPI et a autorisé une enquête sur les crimes commis lors de la guerre en Afghanistan, incluant ceux qui pourraient avoir été commis par des citoyens américains. Une enquête va maintenant débuter, qui pourrait bien mener à la mise en accusation de membres des forces armées américaines, des officiers du renseignement et leurs autorités de commandement respectives, pour leur conduite criminelle en Afghanistan il y a plus d'une décennie.

Une telle enquête, bien que judicieuse pour les droits de l'Homme et pour mettre fin à toute impunité, est quelque chose que les Etats-Unis ont tout fait pour éviter de longue date et a été de fait, évité. Mais l'échec des Etats-Unis d'enquêter domestiquement sur ces actes et de punir les responsables, allant de paire avec les attaques au vitriol de l'administration Trump sur la CPI, rend maintenant plus sûr du fait que des Américains pourront y être traduits sur le banc des accusés.
Si les Etats-Unis choisissent de retourner à la CPI pour s'en servir de marteau contre la Russie, ceci marquera la fin de la longue tradition de cette Cour de ne mettre sur le banc des accusés que des personnes de couleur ou des gens ciblés par l'OTAN. Les retombées de la guerre en Ukraine menacent de provoquer un grand réalignement politique au Moyen-Orient fondé sur la peur du rôle émergent de la Turquie.

De la même manière, le but ultime est un monde unipolaire fondé sur la gangstérisme et personne ne peut se permettre cela et le laisser se produire.

Traduit de l'anglais par Résistance 71
Article source : NEO/Intel Drop: Ukrainian War Lies Expose Frightening Reality Shift