Saignée au Moyen-age
© Inconnu
I - Plus un médicament est puissant et actif, plus ses effets secondaires peuvent être défavorables.

Mais les vaccins échappent, de façon surprenante, à cette règle de la biologie. Il serait temps de se demander pourquoi ?

En effet, les vaccins sont parmi les médicaments les plus puissants puisqu'ils sont capables d'agir sur de longues durées : 1 an, 5 ans, 10 ans, voire plus. Et cependant on nous affirme que les effets secondaires sont rarissimes !

Notons en plus que si les médicaments sont donnés à des malades, les vaccins, eux, sont injectés à des personnes en bonne santé.

Les vaccins auraient donc des effets favorables au long cours.

Alors que leurs effets défavorables ne sont reconnus que dans les quelques jours qui suivent leur injection. Par exemple le VAERS, l'Agence gouvernementale américaine qui recense les accidents post-vaccinaux, n'accepte de reconnaître ces accidents que s'ils se manifestent dans les 7 jours après l'injection. Légalement cela signifie que si votre enfant décède le 8e jour après la vaccination, ou au delà, ce décès ne pourra être attribué au vaccin. Et vous ne pourrez prétendre à aucune compensation.

Sur ce même sujet des effets au long cours, le potentiel cancérogène des vaccins n'a jamais été étudié, comme on peut s'en rendre compte en consultant le PDR (Physicians'Desk Reference). Et cependant des études montrent qu'entre 1960 et 1980, l'augmentation des cancers des enfants n'a jamais eu son pareil dans l'histoire de l'humanité.

II - On sait, qu'au delà de 3 médicaments pris en même temps, des effets secondaires imprévisibles et aléatoires peuvent se présenter.

Mais les vaccins échappent à cette règle, sans poser aucun problème, prétendument. Ainsi les vaccins sont censés agir contre 3, 4, 5 et même 6 maladies d'un coup, peut-être même plus à l'avenir, sans que cela n'éveille de questionnement !
La nature quant à elle, n'apporte qu'une maladie à la fois, sauf de très rares exceptions.

III - On sait que le système immunitaire des enfants ne se met en place que progressivement et lentement.

Mais les vaccins n'ont pas besoin qu'il soit constitué ! Dès la première année, en France (pays champion de la vaccination obligatoire, mais aussi recommandée), le calendrier vaccinal prévoit que l'enfant va recevoir, 27 sollicitations. Dans l'histoire de la médecine, seul le crédit accordé à la saignée a réussi à provoquer autant d'acharnement.

Depuis 30 ans, les études sur le stress ont fait apparaître que le système immunitaire était beaucoup plus complexe que nous ne le soupçonnions, lors des premiers pas de la vaccination entre Pasteur (1880) et la mise au point du vaccin polio (1950). Les chercheurs parlent maintenant de l'axe Psycho-Neuro-Immunologique.

Les vaccinologistes, quant à eux, en sont toujours au premier étage. Ces découvertes laissent donc entendre que toute perturbation du système immunitaire peut influencer tout le système nerveux, mais aussi tout l'espace psychique des personnes. Une zone d'ombre inattendue et inquiétante dans la compréhension simplificatrice de la vaccinologie. Quand cet assemblage diaboliquement complexe se dérègle, les conséquences peuvent être lourdes et graves. Il semble que cela ait échappé aux recherches à court terme de la vaccinologie.

IV - Il y a lieu de se pencher et de réfléchir au grave problème posé par le franchissement de la barrière des espèces.

Cette situation est en train de prendre une tournure qui semble peu angoisser les chercheurs, les politiques et les populations.

Mais on est obligé de constater que les vaccins ont été et restent un des plus grands acteurs de ce franchissement de la barrière des espèces. Toute la vaccinologie repose sur des mécanismes de transfert, qui au fond ne sont que des franchissements de la barrière des espèces. Ces mécanismes ont été de plus en plus élaborés, à partir du moment où on a commencé à comprendre l'interrelation entre les virus et les noyaux cellulaires. Ces premiers transferts ont été utilisés pour la mise au point du vaccin contre la polio. On s'est alors aperçu, tardivement, que ces vaccins étaient contaminés par le virus SV 40 du singe. Ce virus est, de façon surprenante, un cousin proche du virus du SIDA, dont les chercheurs estiment qu'il vient du singe, lui aussi.

Si on se penche sur les premiers OGM, dans l'industrie biomoléculaire, on constate que la première filière mise au point a été élaborée par la vaccinologie avec la production des vaccins contre l'hépatite B. C'est ce que décrit le professeur François Gros, ancien directeur de l'Institut Pasteur, qui rapporte l'épopée de la découverte du code génétique et de ses applications industrielles, dans un livre synthétique, Les secrets du gène. De façon surprenante, les français qui semblent un des peuples le plus opposés aux OGM, sont cependant ceux qui ont été les plus vaccinés par ce premier vaccin OGM. Ce serait peut être l'explication de la polémique, spécifiquement franco-française paraît-il, qui persiste toujours concernant l'innocuité et la sûreté prétendue de ce vaccin.

V - Et nous voici au niveau des lois, de la justice et de l'éthique.

Là un petit détour historique semble nécessaire pour éclairer notre lanterne. Il s'agit de se pencher sur la situation juridique des experts scientifiques et donc aussi souvent médicaux. En France, nous avons un lourd héritage de ce côté, si on regarde ce qui est advenu dans l'affaire du sang contaminé. Tout en se souvenant que la France, parmi les pays avec un développement comparable, a été le pays le plus gravement atteint par l'ampleur considérable de la contamination, et même si d'après l'OMS, nous avons la meilleure qualité de soins au monde.

Les principaux acteurs ont été poursuivis et condamnés à la prison. Notamment le Dr GARETTA avec 3 ans de prison. Les politiques à leur tour ont été poursuivis par la justice, mais tous sauf un ont été blanchis après 10 ans de procédure. Qu'est-il arrivé aux experts-conseillers de ces ministres ? 15 ans de procédure ont abouti à un non lieu général, le 18 juin 2003.

Ainsi les experts scientifiques n'ont pas de compte à rendre de leurs agissements.

Une réussite exceptionnelle de la démocratie, sans doute ?

Or, dans la longue polémique qui entoure le vaccin contre l'hépatite B, une conférence de consensus a été organisée rapidement, au mépris des règles de constitution de telles conférences, pour quelle se tienne dans les trois mois, soit le 11 septembre 2003. Elle a conclu que les avantages du vaccin contre l'hépatite B l'emportaient sur les risques d'effets secondaires.

Les experts en vaccin avaient compris la leçon délivrée 3 mois plus tôt. Ils n'ont pas de compte à rendre. Ne sont-ils pas au-dessus des lois ?

Conclusion : les vaccins sont au dessus des règles et des lois de la logique, de la biologie et de l'éthique !

Les vaccins sont un véritable défi au bon sens et aux règles touchant tous ces domaines. La vaccination est parvenue à s'imposer au point qu'elle a réussi ce qu'aucune religion ou idéologie n'avait réussi avant elle : d'être acceptée non seulement par toute l'humanité (aucune religion ou idéologie n'a réussi à convaincre tous les humains !) mais bien plus, à être injecté à tous les humains.

Un triomphe de la rationalité, de la science, de la technologie ? Un défi au bon sens ? Une mystification planétaire ?

Un mystère confondant en tout cas, où la peur et la manipulation ont réussi à contaminer tout un chacun au point de rendre incontestable une fausse réussite construite sur un aveuglement ou un mensonge collectif prolongé.