OF THE
TIMES
« Ils appellent ça 'Le Rêve Américain' car vous devez être endormi pour y croire. »
C'est ça qui est problématique, c'est que selon les intérêts du moments, on va se baser sur le talmud qui est un écrit des hommes, ou sur la bible...
Là-dessus se greffe une situation climatique ancienne qui doit avoir un rôle à jouer malgré tout, c'est que durant la même période, au sud, le...
Il y a eu un monde sans ces religions dont on parle ici, il y aura à nouveau un monde sans elles et pour ma part, je pense que ça sera très bien...
un antivol ou un allume feu ! :-) Je ne savais pas que les Israélites étaient également voleurs de voiture :-) Les Scandinaves, je crois qu'ils...
Si l'on évoque toutes les époques et partout sur la terre, il faut distinguer la lettre et l'usage. Dans les faits, l'Islam se révèle assurément...
To submit an article for publication, see our Submission Guidelines
Les commentaires des lecteurs ne réflètent pas nécessairement l'opinion des bénévoles, contributeurs et responsables de Sott.net ou du Quantum Future Group
Certaines des icônes apparaissant sur ce site proviennent de : Afterglow, Aha-Soft, AntialiasFactory, artdesigner.lv, Artura, DailyOverview, Everaldo, GraphicsFuel, IconFactory, Iconka, IconShock, Icons-Land, i-love-icons, KDE-look.org, Klukeart, mugenb16, Map Icons Collection, PetshopBoxStudio, VisualPharm, wbeiruti, WebIconset
Powered by PikaJS 🐁 and In·Site
Contenu original © 2002-2025 par Sott.net/Signs of the Times. Voir : Clause d'utilisation équitable
Commentaires des Lecteurs
L'idée est cohérente. Cependant, sans critiquer l'idée, je dirais que si les médias et les gens le savaient, ils se seraient précipités sur l'argument pour rassurer. Mais là aussi je suis pas sûr.
Les abeilles, on a mis 5 ans je crois pour trouver. Il est peut être trop tôt. A suivre...comme dirait mknrhr. Wait and see. Abwarten und kalter Kaffee trinken.
la météo peut-être comme dans Magnolia avec Tom Cruise :
[Lien]
[Lien]
Les virus des abeilles se transmettent par le pollen:Le 3 janvier 2011 à 17h34
Les virus des abeilles pourraient être la cause de l'effondrement des colonies d'abeilles et infecter au moins 11 autres espèces d’hyménoptères, probablement par le biais de pollen infecté.
Les abeilles sont en danger et le syndrome d'effondrement des colonies d'abeilles ou CCD (en anglais Colony Collapse Disorder) est la cause majeure de disparition des abeilles à miel cultivées par l’homme. Si les causes de ce syndrome semblent être nombreuses, il est de plus en plus clair que des virus sont au moins en partie responsables de ce désastre écologique et apicole.
Les abeilles étant des insectes vivant en société très organisée, comptant environ 60.000 membres littéralement les uns sur les autres, elles sont particulièrement sensibles à des virus qui peuvent se transmettre facilement d’un individu à un autre, jusqu’à décimer toute la ruche. Ainsi, 18 virus sont déjà connus pour infecter les abeilles, dont certains sont des virus à ARN.
Cinq virus chez onze espèces d'hyménoptères
Récemment, un virus d’abeille avait également été détecté chez le bourdon, faisant suspecter une probable dissémination du virus chez l’ensemble de la communauté des hyménoptères. Et malheureusement, la cause du syndrome CCD pourrait donc aussi toucher les abeilles sauvages, qui semblaient épargnées jusqu’alors.
Afin de vérifier cette hypothèse, les scientifiques de la Penn State University ont collecté des abeilles domestiquées (Apis mellifera) et sauvages sur des plantes en fleurs de trois états des États-Unis (la Pennsylvanie, New York et l'Illinois), à la recherche de cinq virus d'abeilles parmi les plus courants (DWV, BQCV, SBV, KBV et IAPV).
Le pollen transporté par les abeilles peut contenir des virus dangereux pour les colonies. © Autan, Flickr, CC by-nc-nd 2.0
Connaissant la séquence génomique de ces virus, il est possible de détecter leur présence en utilisant la technique de RT-PCR, qui consiste en la multiplication d’une séquence d'ARN spécifique en l’ayant préalablement rétro-transcrite en ADN.
Grâce aux travaux de chercheurs ayant utilisé cette technique, il apparaît que les abeilles non domestiquées sont également porteuses des maladies virales. En effet, les 11 autres espèces d’hyménoptères testées dans l’étude ont aussi été retrouvées infectées par les cinq virus recherchés. Si ces résultats étaient inattendus puisque les virus ont généralement des spectres d’hôtes restreints, le plus inquiétant n’est pas là.
Le pollen contient du virus
Les virus ont été retrouvés chez les abeilles sauvages uniquement lorsqu’elles étaient proches des ruches également infectées par le même virus. Cela laissait fortement présager l'existence d'un moyen de contamination entre les différentes espèces d’une même région, hypothèse qui a été valisée en analysant un autre type d’échantillon : les grains de pollen transportés par les abeilles sauvages et domestiquées.
Les séquences virales ont également été retrouvées sur les grains de pollen, mais les virus retrouvés chez les abeilles et dans le pollen qu’elles transportent ne sont pas forcément identiques. Ainsi, une abeille peut être infectée sans que le pollen qu’elle transporte ne montre de trace du même virus, et un lot de pollen contenant du virus n’infecte pas nécessairement l’insecte qui le transporte.
Cela implique que le pollen peut être contaminé par des pollinisateurs extérieurs (probablement par défécation des insectes sur les grains de pollen des fleurs), pollen que des abeilles à miel peuvent transporter vers la ruche pour devenir la source de contamination de toute la ruche. Le pollen est donc une sorte de réservoir des virus des abeilles, d'autant qu'il peut contenir des virus qui gardent leur infectivité pendant plusieurs mois.
Mais il reste du travail si l’on veut tenter de sauver les abeilles. Selon les auteurs de l'article publié dans la revue Plos One, « la dynamique de cette transmission virale via le pollen doit être définie plus en détails pour comprendre comment les virus passent d’une espèce à une autre et pour déterminer si le pollen et sa plante ont un plus grand rôle qu’uniquement celui de transporteur physique de ces virus ».
Et comme elle vole y'en a des courants d'air :c)
S'applique aussi à l'homo sapiens.
C'est pas la peste qui tue, c'est pas la grippe espagnole qui tue, c'est pas le sida qui tue. c'est une mauvaise alimentation qui entraine un corps affaibli et plus fragile.