Le journaliste suédo-états-unien John P. Anderson a étudié pendant onze ans l'assassinat de 1963 de John Fitzgerald Kennedy, ainsi que les méthodes opérationnelles et l'histoire de la CIA. Il pense que le meurtre d'Olof Palme (premier ministre suédois, assassiné en 1986, ndt) était une opération de la CIA. Sa théorie est que le vice-président US de l'époque George Bush, ex-patron de la CIA, et le patron de la CIA d'alors, William Casey, se sont servis du président Ronald Reagan, en fonction à l'époque, comme outil malgré lui de mise en œuvre de l'opération contre Palme.

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© GoogleLe premier ministre suédois Olof Palme assassiné en 1986
La Commission Tower a investigué les opérations du National Security Council à la Maison Blanche. Ceci comprenait le scandale des Contras en Iran, qui a été rendu public en novembre 1986, et par la suite étoffé de jour en jour. La Commission fit la première d'une longue suite d'enquêtes qui, petit à petit, en dévoilèrent beaucoup plus. Cependant, elles laissèrent le goût de trop peu, comme si beaucoup de choses avaient encore été laissées cachées.

LR (Leopold Report, site source, ndt) a d'ores et déjà commencé une série d'articles qui, étape par étape, révèlent qu'effectivement, le meurtre de Palme était le plus secret des secrets du scandale des Contras iraniens. (Pour plus d'infos - en anglais, suivre ce lien, ndt) En fonction de ce qui est connu à ce jour, il y a de bonnes raisons d'accroire que le président Reagan ait aussi été maintenu dans l'ignorance de l'existence de l'opération Palme.

Le mobile de l'assassinat était très complexe, et relié aux nombreux domaines sur lesquelles les administrations Reagan et Palme se tenaient sur des trajectoires contraires. L'un de ceux-ci concernait les livraisons illégales par l'entreprise suédoise Bofors d'armements lourds et de munitions à l'Iran (en pleine guerre Iran/Irak - rappel, ndt), élément qui se révéla être partie prenante de l'affaire des Contras. À l'automne 1985, le médiateur de l'ONU pour la paix pour la guerre Iran/Irak et le premier ministre Olof Palme mirent fin aux livraisons après qu'il en eut pris connaissance.

John P. Anderson était l'un des contestataires qui prirent la rue aux USA pendant la guerre du Vietnam. Tout comme nombre d'agents de la CIA qui, sur les bases de leur savoir acquis ont exposé les agissements d'un supposé gouvernement de l'ombre aux USA, Anderson a choisi d'utiliser un nom d'emprunt, pour assurer sa survie.

LR connaît la réelle identité d'Anderson. Contrairement à d'autres médias, nous laissons Anderson exprimer librement ses opinions, comme nous croyons en sa crédibilité. Son travail est basé sur de la documentation qui ne peut pas être publiée sur LR, aux fins de protéger ses sources ainsi que sa sécurité et celle de sa famille aux USA.
(Mis à jour le 19 janvier 2013) Par John P. Anderson
La responsabilité pour l'assassinat de Palme réside chez la CIA et le réseau politique mondial contrôlé par l'appareil de renseignements états-unien. J'ai tendance à penser que la CIA et George Bush sont les « méchants » ici. Bush a poursuivi ses politiques de guerres à bénéfices, avec des livraisons d'armements à l'Iran, à l'Irak et aux Contras.

Le premier ministre de la Suède, Olof Palme, fut assassiné en 1986 alors qu'il sortait d'un cinéma, aux alentours de 10 heures du soir avec sa femme. Olof Palme était sans nul doute un politicien controversé en Suède, étant devenu, dans les décennies précédant son assassinat, fameux même au-delà des frontières de la Suède. Il est devenu premier ministre social-démocrate pour la première fois à la fin des années 60, et avait alors déjà gagné une réputation sur la scène politique suédoise et une certaine notoriété sur celle des USA. Alors que le bourbier vietnamien s'engluait, Palme prit une position forte contre les politiques états-uniennes et mena même des manifestations contre la guerre du Vietnam à travers les rues de Stockholm. J'ai moi-même pris part à certaines de ces manifestations, bien que je n'aie pas aperçu le célèbre politicien.

Olof Palme
© GoogleOlof Palme dans une manifestation en 1968 contre la guerre du Vietnam
L'assassin parvint à échapper de la scène du crime, courant par des petites rues jusqu'à un parc avoisinant. Dans les suites du meurtre, les autorités policières s'orientèrent vers la petite communauté kurde de Suède. Bientôt les journaux furent remplis d'histoires de menaces adressées à Palme par des extrémistes kurdes du fait de quelques actions menées par Palme ayant été considérées comme nuisibles à la cause kurde. Au bout du compte, ces soupçons ne menèrent à rien, et après quelques années, un voyou suédois local, Krister Pettersson, fut accusé du crime et par la suite en fut condamné. La sentence fit l'objet d'un appel devant la Cour Suprême suédoise qui ne tarda pas à libérer M. Pettersson du fait de manque de preuves. L'accusation tenta encore d'amener le suspect devant les tribunaux, mais en fut empêchée par la même Cour pour des motifs similaires.

De loin aux USA, je suivais à l'occasion les événements, notant les pistes foisonnantes qui semblaient s'orienter un peu n'importe où. Certains éléments de la police suédoise devinrent suspects du crime, puis à nouveau les Kurdes, suivis d'autres coupables possibles tels « l'Opération Condor » chilienne, l'organisation terroriste européenne P2, les services de renseignement sud-africains du régime en apartheid, sans oublier l'extrême-droite indigène suédoise.

Quand j'entendis pour la première fois parler de l'assassinat, j'étais sûr qu'il était politiquement motivé. Je savais que Palme était détesté comme quelques autres politiciens en Suède par ses opposants, pour une part pour sa compétence, mais surtout pour son style de débat tranchant et sarcastique qui laissait fréquemment ses adversaires en pièces. Mon propre père, un fermier, n'était pas fan de la sociale-démocratie en général, et Palme en particulier était pour lui comme une chemise rouge devant un taureau, le laissant souvent écumant d'indignation. Ce n'était pas tiré par les cheveux de croire qu'un Suédois fanatiquement politisé ait pu commettre cet acte. Mais je pensais que je savais que c'était atypique du comportement suédois que de perpétrer un tel crime politique brutal, les journaux se lamentèrent souvent, après coup, que la Suède avait désormais perdu son innocence, un peu comme avec la réaction US à l'assassinat de JFK.



Mes premiers soupçons se tournèrent inévitablement vers les services secrets US, puisque je savais qu'ils n'auraient aucun scrupule à se débarrasser de Palme si cela servait leurs intérêts. De mes études sur' l'administration Reagan, je savais qu'il était hautement probable que la CIA ait saboté la tentative de sauvetage par Carter des otages états-uniens en Iran. L'opération vira au désastre avec des hélicoptères et des avions entrant en collision les uns avec les autres avant même qu'une opération sérieuse soit mise en route. J'étais sûr que les rumeurs sur la « Surprise d'Octobre » étaient fondées, puisque même un proche de Reagan avait confirmé que la campagne Reagan avait conclu un accord avec les mollahs de Téhéran pour retarder la libération des otages US, de façon à ce que le président Carter ne puisse pas s'en donner le crédit et gagner les élections de 1980.


Un ami à moi, qui s'était lassé de mon intérêt pour l'affaire JFK, suggéra que les meurtres politiques aux USA n'étaient pas grand-chose, même la Suède avait des politiciens éminents qui se faisaient assassiner. C'était à l'époque où l'accusation poursuivait toujours Krister Pettersson, le suspect libéré. Je me souviens avoir dû me mordre la joue, puisque je voulais répondre que le meurtre de Palme pouvait certainement être remonté jusqu'à la CIA et consœurs.

Quelques années plus tard, mes soupçons avaient acquis une crédibilité considérable. Pendant mon survol des controverses politiques sur Internet, j'ai croisé un ancien agent de la CIA dont le nom est « Chip » Tatum, dont les révélations furent intéressantes, à tout le moins. Selon Tatum, les USA s'étaient vautrés dans les magouilles politiques pendant les années 80, la CIA avait financé les Contras avec des ventes de drogue dans des quartiers noirs ciblés et corrompu le Gouverneur de l'Arkansas d'alors, Bill Clinton, dans le même temps.

Toutes ces activités étaient chapeautées par George H.W. Bush, le vice-président. Tout individu se tenant sur le chemin de cette opération criminelle se faisait sommairement éliminer. Mon sang n'a fait qu'un tour quand Tatum révéla que le premier ministre suédois, Olof Palme, avait été assassiné pour le compte d'une organisation secrète, l'OSG, qui avait un certain colonel Oliver North dans un rôle directeur. L'ultime chef de North était le vice-président George Bush.

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© GoogleOliver Norht
J'ai rapidement tiré la conclusion que l'enquête sur l'assassinat de Palme était le même genre d'opération de cover-up que l'avait été la Commission Warren. Il me semblait que la portée des agences de renseignement US s'étendait jusqu'aux plus hauts échelons de l'élite politique suédoise et de ses forces de police. Dans mon esprit, j'imaginais des sites d'entraînement quelque part aux USA, où de naïfs politiciens suédois et des enquêteurs de la police étaient envoyés pour apprendre comment mener une enquête d'une telle façon que l'étouffement de l'affaire ait le moins de risque possible de se faire remarquer. J'ai le sentiment que leurs professeurs ont été quelque peu abasourdis de quelques déclarations hasardeuses d'élèves suédois éminents. Un enquêteur laissa échapper: « Si la vérité sur l'assassinat d'Olof Palme était jamais connue, elle secouerait la Suède jusqu'à ses fondations! » Un autre commenta: « Il vaudrait mieux que le meurtre de Palme ne soit jamais résolu. »

Un de mes soupçons autour des élections US de 1992, le fait qu'il avait dû y avoir quelque sorte de crapulerie politique derrière le retrait inexplicable du candidat Ross Perot à l'été 1992, s'avéra être fondé. « Salandria's Law » suggérait fortement qu'une quelconque action de la part de la campagne Bush avait causé la sortie dommageable de Perot, et Tatum le confirma, en fait il révéla que cet épisode avait été le facteur déterminant dans son choix de quitter les activités de renseignement.

Tatum avait été approché par l'OSG et Bush pour assassiner Perot, mais avait refusé, parce qu'il ne voulait pas être impliqué dans le meurtre de citoyens états-uniens, à l'inverse des citoyens étrangers. Il informa les officiels sous le choc qu'il avait amassé des preuves d'activités criminelles par les administrations Bush et Reagan dans au moins six pays, et que s'il ne pointait pas à certains moments prévus, ces récipiendaires devaient publier les documents. Il consentit à se laisser accuser de charges mineures de façon à obtenir un statut de délinquant qui puisse être utilisé contre lui si jamais il balançait ses infos, mais quand son épouse fut par la suite aussi emprisonnée, Tatum vida son sac quand même. Depuis quelques années, il a totalement disparu de la scène, certains disent qu'il a conclu un accord avec l'establishment pour rester coi et d'autres qu'il a probablement été mélangé à du ciment et repose sur le fond de l'océan.

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© GoogleBill Clinton & George Bush Sr.
Début 1999, j'avais réussi à obtenir un enregistrement figurant « Chip » Tatum, où il dévoilait comment Palme s'était fait piéger et assassiner, et je me posais la question de savoir si cela valait le coup d'essayer d'alerter les journaux suédois au fait que ce précieux enregistrement existait. Je décidai d'écrire un article au sujet des nouvelles preuves et l'envoyai par e-mail aux trois plus grand journaux suédois. Je me suis ensuite mis à attendre pour voir s'il y aurait une quelconque réaction. Je fus vite déçu, il n'y a eu aucune mention de cette nouvelle approche à l'enquête Palme, toujours en cours. En fait, d'autres points de vue cabotins apparaissaient fréquemment, mais la cassette de Tatum disparut dans les sombres recoins des journaux.

(Mais pas sur Leopold Report, où vous pouvez écouter la courte séquence où Gene Tatum parle du meurtre de Palme et pendant plus d'une heure sur son cadre: ici)

Une de ces histoires présentait le leader kurde, Ocalan, qui avec le concours de la CIA avait été capturé par les autorités turques et emmené en captivité en Turquie. Peu de temps après, des rapports depuis la Turquie disaient qu'Ocalan racontait à ses geôliers que son ex-femme était derrière l'assassinat d'Olof Palme. J'ai dû rire en moi-même, la CIA et sa consœur turque n'avaient assurément pas perdu de temps pour sortir de la désinformation.

Plus tard, je rencontrai un journaliste suédois à la retraite, qui avait monté un site web sur le meurtre de Palme. Ce journaliste, qui pendant sa carrière avait souvent rencontré Palme, était sur la bonne piste quand il pensait qu'il valait la peine de suivre l'approche de l'assassinat par la CIA. Je décidai de lui envoyer l'histoire que j'avais écrite pour les journaux suédois et visai juste. En l'espace de quelques jours, il avait posté une version abrégée sur son site web, où l'histoire s'éteignit rapidement. Pas un seul journal n'a repris les révélations. J'ai rapidement tiré des conclusions sur la portée des agences de renseignement US, ils avaient clairement des tentacules jusque dans les structures de direction des grands médias suédois. Voici toute l'histoire dont des extraits furent publiés:
« Mon nom est John Anderson, je suis né en Suède, j'ai migré vers les USA dans les années 70. Pendant ma jeunesse, j'ai pris part aux manifestations contre la guerre du Vietnam à Stockholm et je voyais Olof Palme comme mon héros politique. Comme nous le savons tous, Olof Palme fut assassiné en 1986 et l'affaire n'est toujours pas résolue, bien qu'il y ait une abondance de théories sur qui était derrière l'assassinat, et quoi. Depuis l'avènement d'Internet, j'ai pu suivre les nouvelles de Suède sur l'enquête en cours tout en vivant aux USA, y absorbant lentement la culture et les secrets politiques. Ce point de vue qui est le mien, acquis au cours des deux dernières décennies, m'a mené à une conclusion simple. La responsabilité pour le meurtre d'Olof Palme réside chez la CIA et le réseau politique contrôlé par l'appareil états-unien du renseignement. Entre mes mains, je dispose d'une cassette d'un agent de terrain de la CIA affirmant sa connaissance d'une décision du même appareil pour éliminer Palme en se servant d'un agent sud-africain. Je crois que cette personne dit la vérité. Comment en suis-je arrivé à une telle conclusion.

J'ai grandi avec une admiration juvénile pour toutes choses états-uniennes, phénomène courant à la fin des années 50 et au début des années 60. Alors que j'acquérais des connaissances, ceci fut refroidi par mon dégoût pour le soutien US à des « dictateurs en fer blanc » autour du monde et bien sûr à cause du Vietnam. Un moment crucial dans ma vie fut l'assassinat de JFK en 1963. Depuis mon arrivée aux USA, j'ai étudié cet assassinat en détail et ce faisant ai appris la vérité sur la démocratie états-unienne. Non seulement y a-t-il eu un coup d'état en 1963, mais l'histoire moderne des USA est fallacieuse, un mythe propagé par la maîtrise des « relations publiques » au service d'un « gouvernement de l'ombre » institué en 1947, sinon plus tôt.

Afin de comprendre ce qui s'est passé, nous devons remonter aux années 30. La Grande Dépression avait amené FDR (Franklin Delano Roosevelt, ndt) au pouvoir et avec lui des politiques honnies des pouvoirs en place aux USA. En moins d'un an de présidence de FDR, de grands pans de l'establishment conspiraient pour renverser FDR au profit d'un Etat fasciste. Ceci est de l'histoire vérifiable, le putsch a échoué parce que le général qui avait été choisi pour mener l'opération a hésité. Les médias ne voulaient pas révéler la tentative de putsch parce que l'élite économique en était responsable. Cette même élite observa Hitler mater la dépression en faisant se tourner ses compatriotes contre les Juifs et en établissant une économie de guerre pendant que les bénéfices au pays étaient toujours proches de zéro. Ils ont regardé Hitler descendre en flammes et ont décidé que ce qu'il fallait aux USA était une structure comme celle de Hitler mais dissimulée de telle façon que le peuple ne trouverait pas de raison de s'opposer à des politiques fascistes.

Et c'est exactement ce qu'ils ont créé dans les années suivant la Deuxième Guerre mondiale. L'ennemi était facile et juste au coin du bois, le communisme mondial, encore mieux que les Juifs, maintenant nous savons que l'économie de guerre a perduré pendant un demi-siècle, elle ne s'est pas encore réduite parce qu'il y a toujours un nouvel ennemi attendant au virage. Les relations publiques et d'autres aspects du système échurent à la toute nouvelle CIA, qui a placé ses agents dans toutes les grandes institutions médiatiques d'une façon si maline que la vaste majorité des gens n'ont aucune idée qu'ils ne se font donner, à la cuillère, que des informations censurées.

Voici enfin les raisons pour les politiques anti-démocratiques que les USA ont suivies depuis la Deuxième Guerre mondiale: l'establishment ne connaissait pas d'autre moyen de maintenir une économie moderne en marche que par la création d'une série de guerres soutenues par le peuple à travers une secrète manipulation.

George Herbert Walker Bush fut recruté par la CIA dans les années 50, il fut pleinement acteur de l'invasion de la « Baie des Cochons » en 1961, il devint directeur de la CIA en 1976 pour protéger l'agence, il dirigea les efforts pour battre le président Carter par des coups bas tel le sabotage de la mission de sauvetage de Carter à Téhéran en 1979, il conclut ensuite un accord avec les Iraniens pour retarder la libération des otages US pour que Ronald Reagan soit élu, après quoi il arracha la présidence à Reagan avec l'aide de la CIA. Il a poursuivi les politiques de guerres à bénéfices avec des livraisons d'armes à l'Iran, à l'Irak et aux Contras.

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© GoogleLa page couverture du Times du 17 novembre 1986
Au sujet de l'Iran par contre, il a eu un problème, ces livraisons devaient être gardées secrètes parce que l'Iran était un ennemi. Afin de réussir cela, il avait besoin de pays tiers pour se coopter avec lui en autorisant des « certificats de livraison » pour des armes devant transiter par leurs pays vers l'Iran. Et c'est là qu'Olof Palme a rencontré son destin, il fut approché pour laisser Bofors faire transiter des armes US vers l'Iran avec de faux « certificats de livraison », et il a refusé. À l'époque, les pouvoirs en place avaient des politiques en cours pour « aligner » les dirigeants faibles et pusillanimes des nations dans la sphère d'influence états-unienne. Donc Palme fut « aligné » par un agent sud-africain. Il n'y a pas de doute que des politiciens suédois influents savent ce qui s'est passé ainsi que des éléments de la police suédoise, mais ils sont empêchés de dire ce qu'ils savent à cause de menaces et de leur propre impuissance. Pour ce qui est de toutes les fausses pistes ne menant nulle part, c'est la spécialité de la CIA depuis le meurtre de JFK. Ils sont maîtres à ce jeu, leur façon de gagner est quand les gens sont si perdus qu'ils baissent les bras par dépit. Le nom de l'agent de terrain de la CIA est Dois Gene Chip Tatum.
Plus tard, j'ai envoyé le fichier audio avec Tatum commentant le meurtre, qui a fini sur la page web. Toujours pas un mot des médias suédois établis, bien que le site enregistre près de 50000 visites par mois. Récemment, ce site a reçu des visites de 34 pays en un seul mois spécifique, incluant des visites de militaires US et de fonctionnaires du gouvernement!

Source: http://www.leopoldreport.com/JohnA.html

http://www.wikileaks-forum.com/index.php/topic,18790.0/topicseen.html

Will Summer