Le ministère de l'Intérieur a publié un appel d'offre de marché public afin d'équiper les forces de l'ordre en armes et munitions anti-émeutes pour une durée de quatre ans. Une commande qui s'élève à 22 millions d'euros, hors taxes.
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Le gouvernement sentirait-il qu'il y a de l'eau dans le gaz, à la veille d'une rentrée sociale s'annonçant plus que mouvementée, sur fond de
réforme de code du travail par ordonnance ou encore de hausse de la CSG ?
Le ministère de l'Intérieur a en tous cas décidé de sécuriser son stock d'armes non-létales destinées aux forces de l'ordre en passant commande le 5 août sur le site officiel des marchés publics pour des grenades lacrymogènes, des grenades assourdissantes et leurs lanceurs. Les munitions de lanceurs de balles de défense (LBD, communément appelé flashball) sont exclues de l'appel d'offre, consultable par tout un chacun sur le
site officiel du Bulletin officiel des annonces des marchés publics.
Capture d'écran du site www.boamp.fr
Il faut dire que le stock d'armes anti-émeutes avait été éprouvé durant le mandat de François Hollande,
marqué par de très nombreuses manifestations et mouvements sociaux, sans compter la crise migratoire et les multiples affrontements avec les forces de l'ordre à Calais ou encore les évacuations de campements sauvages de migrants. Dernière ligne droite pour les ordonnances sur le code du travail Ce 22 août démarre l'ultime round de concertation entre gouvernement et partenaires sociaux autour des ordonnances réformant le code du travail, à dix jours de leur présentation officielle.
Les représentants des syndicats et du patronat ont été convoqués par Antoine Foucher, directeur de cabinet de Muriel Pénicaud, et ancien cadre du Medef. C'est d'ailleurs l'organisation patronale qui ouvrira le bal en étant reçue au ministère du Travail à 14h. L'U2P (artisanat, profession libérale, commerce) le clôturera le 25 août. Entre les deux, seront reçus, le 23 août, la CFTC, la CFDT et la CGT, puis le 23 août la CPME et FO, avant la CFE-CGC, le 25 août au matin.
Les musulmans violent, tuent... en toute impunité mais si le français par malheur ose rouspéter dans le calme on lui balance des grenades (+) en pleine figure.
Dans la presse d' hier : un français a pris 18 mois de prison fermes pour avoir tagué une mosquée. Un musulman a agressé une vieille dame, 6 mois de prison avec sursis.