Alimentation : Du saumon transgénique dans les assiettes canadiennes

GMO salmon fish
Une société américaine affirme avoir mis sur le marché, pour la première fois, des poissons génétiquement modifiés.

Du saumon génétiquement modifié arrive dans votre assiette ! Du moins, si vous vivez en Amérique du Nord (1). "AquaBounty Technologies, l'entreprise de Maynard, dans le Massachusetts, qui a développé ce poisson, a annoncé le 4 août qu'elle avait vendu quelque 4,5 tonnes de son produit hautement débattu à des clients au Canada", dévoile la revue Nature.

Initialement développé par un scientifique canadien, selon un article du Toronto Star daté de 2015, ce poisson de type Salmo salar (saumon d'Atlantique) a été transformé pour grossir deux fois plus vite que les saumons d'élevages non modifiés, et atteindre la taille nécessaire à sa mise sur le marché en seulement dix-huit mois.

(...)

Les Canadiens, cobayes malgré eux

(...)

Pour lire la suite, cliquer ICI

Une actualité de courrierinternational.com , publiée par et relayée par Demain l'Homme ex SOS-planete

(1) Note de l'Association : Et bientôt en France, puisque l'Europe a signé l'an dernier l'accord transatlantique CETA

Du saumon OGM vendu au Canada, inquiétudes des écologistes

Avec l'arrivée au Canada des premiers saumons génétiquement modifiés dans les assiettes des consommateurs, les écologistes ont dénoncé lundi l'absence d'un étiquetage obligatoire en demandant aux supermarchés de les retirer de la vente.

"Le premier animal génétiquement modifié arrive sur le marché et les consommateurs canadiens deviendront, à leur insu, les premiers cobayes", a souligné lundi Thibault Rehn de l'organisation Vigilance OGM.

Le Parlement européen ratifie le très controversé Ceta

À l'extérieur de l'hémicycle, des manifestants hurlent que « le Ceta, ils n'en veulent pas ». À l'intérieur, une assemblée scindée délibère. À Strasbourg, le mercredi 15 février, 408 eurodéputés se sont exprimés en faveur du traité de libre-échange entre l'Union européenne (UE) et le Canada.

254 ont voté contre et 33 se sont abstenus. La majorité n'est pas écrasante, mais suffisante pour permettre la ratification du texte signé en octobre 2016.

Pour lire la suite