Ceux d'entre nous qui ont vécu les événements du 11-Septembre ont assisté avec horreur au déclenchement du « Choc des civilisations » qui a plongé le monde occidental dans un « conflit » avec les valeurs du monde musulman, « justifiant » la torture, le terrorisme, les guerres d'agression, le pillage des trésors publics et la surveillance massive des États. Certains d'entre nous ont cru que le simple fait de démasquer les responsables des attentats et de la subséquente « guerre contre le terrorisme » nous permettrait d'éviter le désastre.
Mais il s'avère que cette entreprise nous dépasse. L'horreur du 11-Septembre a depuis « progressé », au point de provoquer un profond malaise économique en Occident et, plus récemment, d'englober (et de dévorer) la « guerre des civilisations » dans son sens le plus large. Ceux qui ont réagi au 11-Septembre en se réfugiant dans « nos valeurs occidentales » croyaient qu'au moins selon ce point de vue nous pourrions défendre l'Occident contre le reste du monde. Mais ces valeurs — reflétées dans ce qui était autrefois le « bon sens » — ont été détournées et corrompues de l'intérieur, puis se sont retournées contre tout et tous.
Des bains publics aux allées du pouvoir, la bataille médiatique fait désormais rage littéralement partout. Le chaos et la conspiration prospèrent, facilités par des manipulateurs et des faiseurs d'opinion qui utilisent les nouvelles technologies pour provoquer une guerre de tous contre tous et encourager les pires comportements chez les individus, soi-disant pour leur permettre d'« exprimer leur individualité », mais pour en fait euthanasier leur conscience et les soumettre de force. Le sort de l'humanité en dépend.
Bien que « la cabale » ne soit pas nécessairement le fait d'une seule organisation ou d'un seul groupe d'individus ayant un dessein commun en tête, une recherche honnête ne peut manquer de mettre en lumière les similitudes entre les élites passées et présentes, le caractère commun de leurs tactiques pour obtenir ce qu'elles veulent (pouvoir et argent), et la manière dont leurs intérêts a priori opposés ont tendance à fusionner et à mutuellement se renforcer. À bien des égards, la métaphore de la pieuvre est d'à propos, bien qu'elle ne soit pas à la hauteur parce qu'aucune organisation humaine en tant qu'entité unique ne semble — à ce jour — tout contrôler.
La tactique consistant à terroriser les populations par des attentats sous faux drapeaux, puis à manipuler leurs réactions émotionnelles pour finalement diriger l'action publique, est l'un des plus grands outils à la disposition des élites. Sans lui, il est peu probable que nous serions dans le pétrin dans lequel nous sommes. Même si les opérations sous faux drapeaux existaient avant le 11-Septembre, leurs dimensions historiques largement révélées à cette époque clarifie l'utilisation actuelle de cette stratégie par les pouvoirs en place.
Tout en incriminant les « communistes » pour les atrocités terroristes afin de tenir les pays d'Europe occidentale loin de la tentation de l'« influence » soviétique, les opérations Gladio ont été menées dans le but de rassembler les populations pour les persuader en masse d'exiger de leur État une plus grande sécurité. Comme l'a mentionné Vassilis Ephremidis, député européen grec, lors d'un débat du Parlement européen sur le Gladio le 22 novembre 1990 :
« Monsieur le président, le système GLADIO fonctionne depuis quatre décennies sous différents noms. Il a opéré de façon clandestine et nous sommes en droit de lui attribuer toute la déstabilisation, toute la provocation et tout le terrorisme qui se sont produits dans nos pays au cours de ces quatre décennies, et de dire que, activement ou passivement, ce système a dû être impliqué. Il a été créé par la CIA et l'OTAN qui déstabilisaient la démocratie tout en prétendant la défendre et utilisaient le GLADIO pour leur propres objectifs malveillants. »L'association entre la terreur et le communisme ou quoi que ce soit qui soit de « gauche » n'est plus ce qu'elle était auparavant, puisque nous ne vivons évidemment plus sous l'ère de la Guerre froide — encore que les tentatives actuelles d'en introduire une nouvelle version puissent nous faire croire le contraire. Après le 11-Septembre, les musulmans ont bien sûr été associés au terrorisme, et les mêmes manigances d'un système Gladio devenu indispensable ont gagné en intensité et en complexité, générant les industries mondiales en plein essor du « Djihad Inc. » et de la « sécurité antiterroriste ».
Mais il existe d'autres supercheries du même genre. En mars de cette année, la Nouvelle-Zélande a été frappée par une série d'attentats terroristes au cours desquels deux mosquées de Christchurch ont été la cible d'une frénésie meurtrière, apparemment commise par un seul individu, un « conservateur » autoproclamé et soucieux de préserver les « valeurs occidentales ». Ce fou a ensuite cité comme source d'inspiration le « croisé », celui-là même qui revendiquerait la responsabilité exclusive d'une série d'attentats terroristes commis en 2011, lorsqu'une fusillade de masse sur l'île d'Utoya détruisait la vie de dizaines d'enfants de l'élite libérale norvégienne au moment même où une bombe explosait au cœur d'Oslo.
Notez que ce même « croisé » a indiqué avoir commis ces attentats au nom de la protection de l'Europe contre l'immigration massive, en particulier celle issue des pays à majorité musulmane. Notez aussi qu'il les a commis des années avant que cette immigration ne devienne un problème en Europe.
C'est ainsi que les actes commis autrefois essentiellement à des fins géopolitiques — « conserver les faveurs de l'Europe » contre les Soviétiques — s'inscrivaient dans ou s'étendaient à quelque chose de similaire sans réelle opposition, mais dont les conséquences étaient plus terribles. Aujourd'hui, les auteurs de ce « scénario » attribuent les atrocités du terrorisme alternativement à « l'islamisme » ou à « l'extrême-droite », ce qui signifie que « l'ennemi » se trouve aussi bien à l'extérieur avec « le musulman » qui nous attaque, qu'à l'intérieur avec les « hommes qui nous défendent » — des nationalistes qui en Occident, sont généralement blancs. L'insidieuse manipulation des récits a placé les Occidentaux dans une terrible impasse ; selon le sempiternel « nous contre eux » — respectivement associés avec « le bien contre le mal » [en référence à l'expression « axe du mal », employé pour la première fois par le président George W. Bush le 29 janvier 2002 - NdT] — , désigner le musulman comme étant « l'autre » revient à justifier le « mal parmi nous », une situation fâcheuse qui suscite confusion et haine, dissension civile et conflits sociaux majeurs.
Les efforts de la cabale pour créer, financer et armer les « rebelles » au Moyen-Orient et au-delà ont fondamentalement provoqué la crise de l'immigration, ouvrant les frontières à tous les arrivants qui souhaitent les traverser sans aucun effort sérieux pour éliminer les radicaux, tout en soutenant en même temps les djihadistes en Syrie et ailleurs. Même si l'on peut débattre de la question de savoir dans quelle mesure il s'agit d'un résultat escompté a priori, ce sont des faits incontestables. Étant donné que ces faits sont aussi concrets qu'ils peuvent l'être, on ne peut qu'en déduire que — victimes de chantage et corrompus a minima — les responsables gouvernementaux se livrent délibérément à un double jeu qui introduit en permanence des changements de populations au sein des États et modifient sans cesse les normes culturelles de l'Occident, et ce, au mépris flagrant des souhaits de leurs propres citoyens.
Les organisations internationales financées par George Soros incitent activement certaines populations — principalement issues de l'Afrique — à rompre le lien qui les attachent à leur patrie pour la quitter et venir en Europe. Elles sont dupées par des mensonges, de fausses promesses d'une vie meilleure à même de leur procurer plus d'argent et des conditions de vie plus favorables. Si les conditions de vie en Europe sont en effet — pour l'instant — potentiellement supérieures d'un point de vue financier pour ces populations abusées, quel sera le prix à payer pour elles comme pour les populations natives ?
Les médias sont indubitablement et dans une très large mesure responsables de cette folie. D'une part, les journalistes adorent faire état des fonds issus des gouvernements et des « ONGs » perçus par les migrants et — souvent — des inhabituels traitements préférentiels que certains d'entre eux reçoivent — comme un hébergement dans des châteaux alors que des citoyens français vivent dans la rue. Ce qui ne manque bien sûr pas de susciter l'irritation des gens honnêtes et travailleurs qui se demandent pourquoi leur gouvernement choisit d'aider l'« Autre » plutôt que son propre peuple.
D'autre part, les médias rapportent peu ou dissimulent complètement les histoires d'agressions et de viols commis par des migrants, ce qui ne fait qu'attiser encore davantage la colère des populations. Celles qui s'opposent aux migrations de masse, voire les remettent en question, sont immédiatement stigmatisées et catégorisées comme des tenants de la « suprématie blanche » d'extrême droite. C'est peut-être le cas pour une minorité d'entre elles, mais la majorité est désespérée et s'accroche aux dernières choses qui leur semblent réelles et justes au milieu de tout ce chaos — à savoir leur identité nationale et leurs racines dans la communauté locale.
La colère et le mécontentement des populations sont apparemment deux des clés du dessein de cette cabale. Ils sèment des graines qui pourraient mener à une forme de guerre civile.
L'entrée en jeu de la politique identitaire
Si la seule source de division sociale était la question des migrations massives, les gens prendraient parti en conséquence, les élections refléteraient les souhaits de la majorité et la question serait probablement résolue ou ses effets au moins atténués. Mais les conséquences directes du 11-Septembre ont eu pour effet indirect d'accentuer la guerre des civilisations dans ce qu'elles ont de plus profondément culturel à d'autres sphères de nos existences.
Histoire d'ajouter un peu plus d'huile sur le feu, la mise en œuvre et la promotion généralisées et réitératives de la politique identitaire ainsi que les campagnes de « justice sociale » et les nouvelles idéologies étranges censées être motivées par un désir de RÉDUIRE les divisions dans la société, les ont en fait AUGMENTÉES, affaiblissant ce qui aurait autrement formé la résistance populaire contre les élites corporatives bien établies et leur projet d'une hégémonie mondiale.
Mark Crispin, professeur d'études des médias à l'université de New York fait la remarque suivante :
Il est intéressant de noter que les fondations Ford et Rockefeller — et d'autres — ayant de solides liens avec la CIA ont commencé au début des années 70 à accorder des subventions pour l'étude des races et des sexes [ou en d'autres termes, les études de genre - NdT] . Il s'agissait de la part de ces organisations d'une évolution soudaine vers une politique identitaire et la raison théorisée pour laquelle elles ont agi ainsi, était de faire éclater la gauche pour l'empêcher de poursuivre toute forme d'analyse de classe ou d'analyse économique.La politique identitaire a été introduite pour s'assurer que la polarisation de la société dans sa configuration naturelle en temps de crise ne pourrait jamais « s'installer » : dans ce cadre, la grande majorité des populations plus ou moins unies par une compréhension commune s'allient contre une élite pathologique dont le temps est révolu. Ce que nous constatons plutôt, c'est que la grande majorité s'est polarisée contre elle-même, de multiples façons.
La race, la sexospécificité, la sexualité, la justice sociale, « MON groupe »..., ce qu'on appelle l'intersectionnalité et « les avantages que je peux en retirer » — et non la responsabilité personnelle — sont les critères qui déterminent le degré de confiance que je reçois du gouvernement et le nombre de lauriers qui me sont attribués par mes « amis » à travers les médias sociaux. TOUS vos malheurs existent à cause de cet « Autre » là-bas (on vous regarde, blancs-becs), alors ne pensez même pas à trouver un terrain d'entente et à analyser les causes réelles des bouleversements sociaux.
La politique de gauche qui, d'une façon générale, bénéficie actuellement d'une certaine ascendance alors que la politique de droite est vilipendée, a pour coutume de mettre les bouchées double et de devenir encore plus extrême dans sa rhétorique et ses choix politiques. Ce comportement influence inévitablement la politique de droite qui devient elle-même plus extrême dans sa réponse. Poussez les gens contre le mur et certains d'entre eux se révolteront.
Qui plus est, les populations blanches semblent en général être la cible première de cette politique identitaire. À en croire les média, seules les minorités sont susceptibles d'être « offensées » et les blancs ne peuvent être que coupables de discours et de crimes haineux. Sarah Jeong, du Comité de rédaction du New York Times, peut ouvertement se vanter d'éprouver du plaisir à « être cruelle envers les vieux blancs », à comparer les « enfoirés de blancs » à des chiens, et à souhaiter qu'ils « disparaissent tous bientôt ».
Une députée musulmane peut ouvertement suggérer aux citoyens d'avoir « plus peur des hommes blancs » que des djihadistes radicaux, et proposer le profilage racial de TOUS les hommes blancs. La BBC refuse ouvertement les candidats parce qu'ils sont blancs et que seule l'embauche des « minorités ethniques » est autorisée.
Dans toute la société, les gens s'inspirent des élites et imitent ce racisme « antiraciste ». Dans cette vidéo [en anglais - NdT], une foule d'étudiants noirs en colère à l'université de Californie à Berkeley a ramené de force la ségrégation — « Journée interdite aux Blancs » — empêchant les blancs d'accéder au campus. C'est d'ailleurs devenu une pratique courante dans d'autres universités des États-Unis.
La politique identitaire est fondamentalement incompatible avec une société réellement tolérante ; c'est la raison pour laquelle la cabale préconise toujours plus de diversité et de multiculturalisme, semant ainsi les graines du chaos qui consolidera leur contrôle pour l'éternité — du moins, c'est ce qu'ils croient. Si cette idéologie est appliquée jusqu'à sa conclusion, elle détruira la politique centriste et conduira à l'anarchie. Édité pour la première fois en 1988, Cyberpunk 2020 est un jeu de rôle qui prédit avec une précision déconcertante le paysage sociopolitique actuel :
Voici la description du monde d'après Cyberpunk 2020, dans un livre de règles supplémentaire écrit au milieu des années 90. C'est presque à la limite de la prophétie.Plus récemment, l'armée des États-Unis a publié une vidéo [en anglais - NdT] sur la façon dont elle se prépare à protéger les quelques privilégiés de cette société anarchique dans un proche avenir (par exemple d'ici 2030). L'auteur John Whitehead la décrit comme suit :DIVERSITÉ ET UNITÉ
Il est aujourd'hui admis par les historiens que dans les décennies qui ont précédé l'Effondrement, l'Amérique a souffert des maladies du racisme et de l'« identité culturelle ». Tout le monde voulait être perçu comme quelqu'un de spécial. Chaque groupe devait être « égal » ou de préférence meilleur que ses voisins, et se battait pour protéger ses droits « spéciaux ». Si quelqu'un avait quelque chose que quelqu'un d'autre voulait, il était présenté comme raciste, sexiste, élitiste ou pire. Cette attitude a fini par déchirer le tissu social de la culture américaine et l'a amenée à s'autodétruire dans une explosion d'idéologies concurrentes, dont aucune ne reconnaissait vraiment le bien-fondé des autres. La diversité a inexorablement conduit à l'anarchie.
La troublante vidéo d'entraînement de cinq minutes, obtenue par « The Intercept » sur demande de la FOIA [« Freedom of Information Act », loi américaine signée en 1966 - NdT] et disponible en ligne, brosse un tableau inquiétant de l'avenir — un avenir auquel l'armée se prépare. Un avenir en proie à « des réseaux criminels », « des infrastructures inférieures aux normes en vigueur », « des tensions religieuses et ethniques », un avenir plongeant dans « l'appauvrissement et les bidonvilles », « les décharges à ciel ouvert et les égouts surchargés », enlisé par « une masse croissante de chômeurs » et un paysage urbain où la florissante élite économique doit être protégée de l'appauvrissement des plus démunis.Il faut beaucoup de lucidité mentale et de stoïcisme pour faire échec à la tendance polarisatrice d'une population dominée et à sa colère mal informée qui se trompe subséquemment de cible, tout comme pour voir le tableau d'ensemble et le jeu de la cabale : inciter les populations à choisir leur « camp » et ainsi les diviser entre elles.
Quand tout le monde est « obligé » de choisir son camp, tout le monde se retrouve de facto polarisé et chacun devient une marionnette au service de la cabale dont le dessein est de « diviser pour mieux régner ». C'est leur jeu. Tôt ou tard, nous, les citoyens, devrons prendre conscience que notre combat ne se mène pas entre nous, mais contre les psychopathes au « sommet du pouvoir ». Nul doute que pour se soustraire à la pleine exposition publique de leur expérience dépravée en ingénierie sociale, ils seraient ravis de nous voir nous étrangler les uns les autres — métaphoriquement, voire même de façon très littérale.
Commentaires des Lecteurs
C'est en ce sens que la guerre qui est actuellement en cours est "une guerre spirituelle" parce qu'elle est d'abord intérieure... Voir, comprendre, intégrer, pacifier et guérir ses alter prédateurs cachés dans notre psyché, transformera de facto le monde extérieur dans lequel nous avons l'illusion de vivre...Tout procède d'une démarche spirituelle donc, et elle commence maintenant, puisque seul ce moment existe ! Nos émotions sont créatrices, il suffit de se rappeler l'effet d'une colère sur notre état intérieur. Chaqu'UN d'entre nous doit apprendre/réapprendre à maîtriser ces/ses émotions de façon à maintenir l'homéostasie de son monde intérieur... monde qu'il projette vers l'extérieur !
Ce n'est que mon point de vue, et c'est surtout ce que j'expérimente au quotidien !
Cordialement
Dans ce sens je refuse tout aveuglement ou conduit cette forme de quete seulement interieure sur differents points :
D'abord en ce moment meme il y a une veritable proliferation de sites de blogs qui veulent exprimer la meme chose mais en d'autre terme la tete dans le sable pendant qu'une partie du cancer s'etend autour et meme en eux memes .
Cela a conduit a ces guerres qui sevissent a tous les ages en tout lieu decoulant de cette confusion de la fin et de moyens tout en renoncant aux deux ce qui est pire en croyant faire le mieux .
Ou maintenant les graves mefaits d'une pretendue poncée positive , bien etre en perfu , instructions superficielles spiritruelles en batterie et en abonnement avec gourou-goulou pour rassurer le tiroir caisse a deux sens ... Ces pseudo demarches visant toutes a vivre encore plus exclusivement dans sa bulle meme si tout le monde en creve y compris l'adepte ivre mort de ses hormones endorphines .
Ces adeptes s'ils ne sont pas a priori sociopathesmais font presque la meme chose:ils vivent a coté du monde refugiés dans ce semblant de demarche qui leur tient cette si douce tiedeur d'une couche souillée par leurs dejections comme moyen de cohesion de ces groupes disparates assez nocifs dont les tenebres s'epanchent , ceci des que le moins mauvais instructeur s'est eloigné comme dans des Auroville bien plus similaires aux centre de training pour maigrir ou un parc asterix que de la vraie vie .
Comme vous le savez pour ceux qui me lisent , l'art de la dentelle est une merveille , pour cet art , il faut aussi disposer d'aiguilles d'acier tres acérées et quelques lames comme des rasoirs avec toute la finesse et le sourire reservée d'une brodeuse antique .
Pour en avoir cotoyé un certain nombre de ceux qui abborent la dentelle ou la cuisine a cause de ces drames moderne de superette ; j'ai sans cesse pu constater cette hypocrisie qui permet au pires de sevir en toute impunité, dans ce groupe autant qu'en dehors , comme meme a n'importe quelle maladie de se repandre et de se propager sans aucune réaction de ces adeptes de la zenitrude suffisante et souvent meme permissive des pires travers sans le savoir bien entendu .
Les endorphines secreté autant en meditation qu'aou moment ou une bete meure , en tant qu'auto addiction ne font pas des bouddhéités , des sanctifiés du periné , emerveillé devant leurs chackras sans constater la moindre reponse autour d'eux , sont plus proche de l'hysterie et du deni que de ce qui conduit et maintient l'harmonie dont tout ceux qui parlent le moins pratiquent le plus .
Ceci est mentionné par divers enseignements antiques si on pousse leur examen plus attentif notamment l'un des premier yoga selon Patanjali conduisant en un tout indivisible culminant avec le raja yoga qui implique l'engagement exterieur mais evidemment de preference apres les autres voies soient suffisament harmonisés , je vous le concede c'est rare , c'est tout le probleme il faut deja etre un adepte tres avancé pour oser agir en acceptant le resultat sur soi meme pour commencer a l'exemple de Milarepa quitte en a payer un prix terrible pour soi meme ...
[Lien]
D'une part reglé en partie de premier point d'ascesce je n'ai pas observé de coherence synchrone avec le monde autour resultant de cette seule approche interieure exclusive qui contient manifestement en elle meme des contradictions que d'autres grands anciens ont observé il me semble a juste titre .
Cette voie interieure somme toute doit considerer egalement la necessité pour cette discipline de suivre une part d'engagement terrestre contre les vices qui atteignent les autres creatures de maniere a les preserver dans la difficulté extreme et la longueur de cette demarche
Par ailleurs Anwen , j'ai lu une de vos intervention sur un autre site ou je n'ai pas pu repondre sur les métaux et une voie integrale qui se rattache a cet Art Royal et qui sont dans ces observations :
certaines informations que vous avez communiques sont exactes mais pas toutes.
Le travail du seul fourneau interieur ( confusion recente du XVIII des lumieres ) ne doit pas faire oublier le jardin ou les fruits du quotidien doivent etre entretenus, arrosés et preservés avec soin . L'art de preparer les plats de les presenter pas plus que la plus edifiantes des livres de sagesse ne peuvent etre un bon aliment que pour quelques larves d'insectes sans s'occuper des pattes de mouches qui en rendent une partie indigeste . La matiere peut evoluer ou involuer selon les degrés et la qualité du feu, du fourneau et surtout du savoir faire et les elements notamment ceux classés comme metaux n'y echappent en aucune facon pas plus que l'eveil du feu qu'ils contiennent aussi .
[Lien]
Extrait: Cette proximité avec le champ lexical du désordre tient, dans les discours politiques dominants, d'une nécessité positive du principe fondamental d’autorité : dans ce sens anarchie sert à désigner une situation de désordre, de désorganisation, de chaos, sur la base de l’hypothèse implicite que l’ordre nécessiterait une hiérarchie. C'est ainsi que l'on trouve déjà dans le Littré (le mot est très peu usité avant le XVIIe siècle) la définition de l’anarchie comme « absence de gouvernement, et par suite désordre et confusion »16. Par extension ce sont toutes les formes de trouble et de désordre qui sont appelées anarchie ; c’est cette façon d’employer le mot qui prévaut dans l’usage courant, comme dans la plupart des dictionnaires.
En 1869, l'Encyclopédie générale rédigée sous la direction de Louis Asseline précise : « Pour les uns, c'est l'absence de gouvernement, d'autorité, de principe, de règle, et par conséquent c'est le désordre dans les esprits et dans les faits. Pour les autres, c'est l'élimination de l'autorité sous ses trois aspects politique, social et religieux, c'est la dissolution du gouvernement dans l'organisme naturel, c'est le contrat se substituant à la souveraineté, l'arbitrage au pouvoir judiciaire, c'est le travail non pas organisé par une force étrangère mais s'organisant lui-même, c'est le culte disparaissant en tant que fonction sociale et devenant adéquat aux manifestations individuelles de la libre conscience, ce sont les citoyens contractant librement non pas avec le gouvernement mais entre eux, c'est enfin la liberté, c'est l'ordre3. »
L'anarchie n'y existe que temporairement dans ses manifestations les plus mouvementées notamment dans ses reactions de defense comme tout etre vivant .
Pour la nature l'ordre selon telle creature perturbatrice de son harmonie doit etre remis en harmonie le plus tot possible et sinon la creature en question doit etre incitée a soit retrouver cette notion soit d'abord tomber malade collectivement ce qui entraine son extinction en masse , les lemmings ou les criquest migrateurs sont les plus connus alors qu'il y a des milliers .
Quelle est l'espece la plus nefaste sur terre ?
Les 20 et 21 septembre, plusieurs centaines de personnes sont attendues pour un week-end « féministe et antinucléaire » à Montiers-sur-Saulx (Meuse), près de Bure [lieu du projet Cigéo d’enfouissement des déchets nucléaires]. Un rassemblement en mixité choisie, « entre femmes, meufs, gouines, personnes trans, intersexes, non binaires… sans hommes cisgenres (cisgenre signifie être en accord avec le genre qui nous a été assigné à la naissance) », [...] car « Le nucléaire est un monstre du patriarcat ». [Lien]
Diviser pour mieux régner, vous dites ?
Pres de la ville d Angers lors de travaux de renovation , des centaines de squelettes de bébé furent trouvés sans sepulture ceci dans les catacombes de couvent féminin dediés donc a la contemplation de quel mysteres , ou bien comme fabrique de petits saints a la chaine .?
le chaos n'a plus besoin d'etre divisé il est en phase ultime selon ses nombreux théoriciens, et puisque on ne veut pas voir que la sociopathie enseignée , n'est pas/plus de loin celle seulement dune elite sorti de la multitude qui voudrais faire pareil ou pire . Mais c'est devenue la norme et c'etais meme prevu dans ces propheties qui bien souvent se realisent quand on s'y applique et qu'on ne veut pas voir , - c'est toujours les autres ?