Avant de développer le sujet, une mise au point s'impose. Depuis quelque temps, on voit fleurir de-ci, de-là, des articles vantant le fait qu'un bon nombre de gens ne veulent plus de la mondialisation, avec des remarques du genre « Est-ce que la mondialisation va survivre après le coronavirus ? »
Ne confondons pas « le gouvernement mondial », et le commerce international appelé à tort mondialisation. Le flou entretenu tend à induire en erreur et à rendre confus. De la pure propagande déguisée et diffusée par les vrais mondialistes.
Car en effet, si peut-être la mondialisation - le commerce international - ne survit pas au coronavirus, ce qui reste à prouver, les gens vont oublier le vrai cauchemar oeuvrant dans l'ombre qui est le gouvernement mondial.
Pour clarifier, le leitmotiv principal des mondialistes est une planète entièrement régie par un seul gouvernement. Si les nations n'existent plus, les guerres non plus. Dans l'absolu, ça peut sembler humaniste. Mais pour ça, il faudrait que le gouvernement mondial soit composé de gens éclairés et altruistes. Et là, patatras. Quand j'étudie les buts et objectifs de la famille Rockefeller, de George Soros et de quelques banquiers, puis que je jette un oeil à leurs portraits, j'en ai presque la chair de poule. Au secours. Je n'ai pas envie de les inviter à dîner...
Cette supercherie de mondialisme humanitaire mise en évidence démontre qu'ils poussent et pousseront toujours pour accroître leur puissance. Ils veulent l'asseoir en organisant une troisième guerre mondiale. Mais comment le faire sans bombarder toute la planète ? En effet, la destruction totale de la terre par quelques bombes nucléaires semble passée de mode. Et puis ça fait désordre. Tous ces décombres, ces morts, ces ruines. Inexploitable tout ça. Comment vivre dans un tel décor ? Quel intérêt pour les ultras riches mondialistes de festoyer au milieu de cette dévastation ? Rendez-vous compte braves gens ! Pas de domestiques, pas de cuisiniers personnels, personne pour tailler les haies, ni pour nettoyer les restes de leurs fastes quotidiens. Impossible à imaginer. Que la guerre se fasse dans des pays non-alignés, c'est loin et puis ça fait fonctionner les usines d'armement. Les pays « civilisés » méritent mieux, quand même...
Le 18 octobre 2019 a eu lieu l'exercice fictif de Pandémie intitulé « Event 201 ». C'était une simulation de haut niveau qui a eu lieu au Pierre, un hôtel de luxe de Manhattan à New York. Vous retrouverez la liste de participants dans le lien (1) en bas de page. Parmi les 16 participants, Ryan Morhard attire l'attention. Il est chef de la Sécurité sanitaire mondiale du Forum économique mondial, IGWELS*, et analyste juridique au centre de biosécurité de l'UPMC (centre médical de l'université de Pittsburgh). Ce qu'on appelle vulgairement une tronche. *IGWELS, et c'est là que ça commence à devenir intéressant, signifie en français - c'est un acronyme anglais - « Rassemblements informels des leaders économiques mondiaux ». Réunions fermées de très haut niveau, réservées aux Premiers ministres, ministres des Affaires étrangères et des Finances et aux gouverneurs des banques centrales.
L'un des principaux objectifs de la simulation était d'illustrer l'affaiblissement des alliances internationales - et le potentiel des gouvernements en plein effondrement - dans le but de valoriser les partenariats public-privé. Ils ont aussi étudié comment remédier aux fausses informations allant contre les politiques gouvernementales, les messages à diffuser pour les employeurs/employés, et comment noyauter les réseaux sociaux.
Trente jours après cette « sauterie », le premier cas documenté du coronavirus COVID-19 est apparu en Chine. La suite, vous la connaissez. Le 11 mars 2020, l'OMS a déclaré la Pandémie mondiale, et depuis, toute la planète est partie en vrille confinatoire.
Une question se pose : pourquoi et comment en arrive-t-on à un consensus mondial concernant une épidémie, qui pour l'instant a fait 59 000 morts annoncés. - comptage inexact d'ailleurs, car bon nombre de décès ont été imputés au coronavirus, sans que beaucoup de patients aient été testés pour savoir si c'était bien ledit virus -
La grippe saisonnière tue chaque année entre 290 000 et 650 000 personnes dans le monde. (2)
Les activités planétaires ne s'arrêtent pas chaque année avec la grippe saisonnière. Heureusement d'ailleurs, car sinon tous les ans, nous aurions droit au confinement et au flicage. Mais alors, pourquoi tout ce tin-touin ? Parce que vous êtes les bienvenus dans un gouvernement sanitaire mondial. Vous êtes d'office membre du club. Profitez-en, l'adhésion est gratuite.
La troisième guerre mondiale est bel et bien en cours.
Analysons un peu plus loin. L'OMS est financée par les cotisations que chaque état membre verse. Mais aussi par de grands laboratoires pharmaceutiques et des fondations, dont la fondation Bill et Melinda Gates. - grand promoteur des OGM dans le monde -. (3)
Budget de l'OMS 2016 et 2017 : 4,4 milliards de dollars. 880 millions fournis par les 193 Etats membres que ces derniers financent via leurs fonds souverains. - fonds d'investissement détenus par les gouvernements -
C'est énormément d'argent. Rien que le fonds souverain norvégien approche les 1000 milliards d'euros. Oui, vous avez bien lu.
En parallèle des fonds souverains, il existe des :
- Fonds d'investissement. - Terme financier qui désigne une société financière dont l'objectif consiste à investir dans des sociétés sélectionnées pour leurs opportunités d'évolution
- Fonds de pension - Terme générique recouvrant les organismes gérant collectivement les retraites et l'épargne salariale.
- Fonds de gestions d'actifs - le plus gros : BlackRock (4) , 7 000 milliards de $ - Gestion de portefeuilles, gestion de capitaux confiés par des investisseurs. But : obtenir le meilleur rendement.
Tous ces fonds investissent dans des actions, des obligations et dans des fondations. BlackRock est par exemple l'actionnaire principal du CAC-40. Une partie de Total ou d'Airbus lui appartient. On commence à entrevoir que toute cette masse énorme d'argent fait la pluie et le beau temps sur cette planète. Tous ces fonds sont imbriqués les uns dans les autres, brassent des milliards de dollars, et interviennent dans tous les marchés internationaux. Comment voulez-vous que des gouvernements soient indépendants ? Ils ne sont en fait, que des « hommes de paille », grassement payés pour appliquer à la lettre les ordres qu'ils reçoivent d'en haut.
Les actionnaires de certains fonds ont décidé, via cette pandémie factice, la chute de l'économie mondiale en ordonnant un blocus virulent afin d'asseoir le gouvernement mondial. Bien calculé le coup du virus, car la bulle financière était sur le point d'exploser.
Mais si les actionnaires de ces fonds étaient vraiment humanistes et altruistes, ils ne nous auraient pas imposé un confinement imbécile en nous laissant nous débattre avec des enfants cloîtrés à la maison, en nous forçant à ne pas rendre visite à nos anciens dans les EHPAD, et en nous imposant une inflation des prix des denrées alimentaires de base. (5) Si les actionnaires de ces fonds étaient vraiment humanistes et altruistes, ils n'auraient pas cassé l'économie, et ils n'auraient pas précipité encore plus de gens au chômage. Les chaussures André (6) ne déposeraient pas le bilan, et la myriade de petits commerçants, artisans, vignerons et agriculteurs ne seraient pas en train de se ronger d'inquiétude, quant à leur devenir. Hong Kong (7) n'a pas ordonné un confinement strict. Leur économie n'a pas été ratatinée et leur nombre de morts, pour 7,5 millions d'habitants est de 4. En revanche, le port du masque est obligatoire à chaque sortie, et les contrôles de température et les tests sont omniprésents.
Ne pas bouger, ne pas sortir, montrer patte blanche. Nos gouvernements auraient pu aussi permettre à chacun de pouvoir porter un masque dans la rue, de tester les gens massivement, et de soigner ceux qui étaient contaminés. Mais non, ils sont aux ordres. Ce petit monde répugnant et abject de financiers sans scrupules n'est ni humaniste, ni altruiste. La clique des mondialistes est à vomir.
Les bras armés de ces fonds sont les organisations mondiales soudoyées depuis longtemps, ainsi que les gouvernements appuyés par leurs forces de police et militaire. Ce virus, peut-être fabriqué, pas pire que les précédents, est l'aubaine rêvée pour tout remettre à plat, s'enrichir au passage et aussi habituer un maximum de gens à adopter une forme d'esclavage des temps modernes. Et ça fonctionne, même au-delà de leurs espérances. Le futur proche s'annonce confinatoire. Vous êtes peut-être déjà résignés.
Cette planète est régie par une masse d'argent incalculable. Vertigineux ! Pendant que des gens crèvent de faim sur cette terre, des milliards et des milliards de dollars circulent et vont dans la poche de quelques-uns. Voilà le fond du problème. Le délirium impérial ne fait que commencer à moins qu'une majorité d'entre nous ne soit pas en accord.
Claude Janvier
Notes :
1) https://urlz.fr/cinh
2) C.News 18 mars 2020. La grippe saisonnière, est-elle plus dangereuse que le coronavirus
3) Le point 4 avril 2017. L'OMS dans les griffes des lobbyistes
4) BlackRock : Le Temps 30 mars 2020. Après cette crise, « le mode sera différent ». https://urlz.fr/cinl
5) https://urlz.fr/ckQu
6) L'OBS L'enseigne de chaussures André placée en redressement judiciaire à cause du coronavirus https://urlz.fr/cinr
7) https://urlz.fr/ciOV
Documents : https://urlz.fr/cio0 ; https://urlz.fr/cint ; https://urlz.fr/cinz ; https://urlz.fr/cinD ; https://urlz.fr/cinE ; https://urlz.fr/cinH ; https://urlz.fr/cinJ ; https://urlz.fr/cinK ; https://urlz.fr/cinO ; https://urlz.fr/cinT
1) Quinze leaders mondiaux participaient à cet exercice, dont voici la liste exhaustive :
1- Latoya Abbott, responsable des risques du groupe hôtelier états-unien Marriott International
2- Sofia Borges, vice-présidente de la Fondation des Nations Unies
3- Brad Connett, président du groupe Henry Schein (premier producteur de matériel médical au monde)
4- Christopher Elias, responsable du développement global à la Bill & Melinda Gates Foundation
5- Tim Evans, ancien directeur du département Santé de la Banque mondiale
6- George Gao, directeur du Centre chinois de contrôle et de prévention des maladies
7- Avril Haines, ancienne directrice adjointe de la CIA et ancienne conseillère de Sécurité nationale du président Barack Obama.
8- Jane Halton, ancienne ministre australienne de la Santé, administratrice d'ANZ (banque d'Australie et de Nouvelle-Zélande).
9- Matthew Harrington, directeur d'Edelman, la plus importante firme de relations publiques au monde
10- Martin Knuchel, directeur des situations de crise du groupe de transport aérien Lufthansa
11- Eduardo Martinez, conseiller juridique de la plus importante société de logistique postale au monde, UPS, et directeur de l'UPS Foundation.
12- Stephen Redd, directeur adjoint des US Centers for Disease Control and Prevention
13- Hasti Taghi, vice-présidente du groupe de communication, NBCUniversal
14- Adrian Thomas, vice-président du géant de la pharmacie Johnson & Johnson
15- Lavan Thiru, gouverneur de la Banque centrale de Singapour
Source : Réseau voltaire
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