La peur et l'incertitude dominent la couverture médiatique de l'épidémie de Covid-19. Le nouveau coronavirus est dépeint non pas comme un agent pathogène banal dont les miracles de la science moderne sont en passe de venir à bout d'un jour à l'autre, mais comme un mal invisible qui rôde partout, redoutable au point d'inspirer une terreur respectueuse même dans les hautes sphères de l'establishment médical. Et au cas où les Américains [tout comme les populations d'une grande partie des pays occidentaux - NdT] auraient des doutes sur la façon dont ils sont censés considérer cette nouvelle menace virale, les têtes pensantes de l'establishment qui délivrent sur un ton assuré leur dose quotidienne de news à un public acquis ont troqué leur habituelle morgue contre l'appréhension. Dans ce « vide de confiance », la réaction populaire à la pandémie a pris une tournure religieuse. Les mesures de protection, comme les masques, ont pris un caractère talismanique, le lavage des mains est devenu une performance rituelle, et une secte fondée sur la dénonciation et la mise au pilori des « hérétiques » a pris possession de l'esprit de nombre de gens, tandis qu'on les dépouille tranquillement de leurs droits, désormais remplacés par un État policier paternaliste.
Incapables de voir l'« ennemi » microscopique dont on leur dit qu'il menace leur vie et celle de leur famille, et privés d'un remède scientifiquement prouvé, les individus qui cherchent à être libérés du Covid-19 n'ont plus que leur foi dans l'efficacité des mesures de protection prescrites par les experts médicaux — notre caste de prêtres scientifiques — pour le tenir à distance. Si cela s'arrêtait là, la secte du Corona ne serait qu'une simple curiosité — après tout, les humains se sont toujours tournés vers la religion en période de trouble, et cela bien avant l'invention de l'écriture. Mais son côté obscur pointe déjà le bout de son vilain nez : ceux qui s'opposent à la nouvelle orthodoxie se voient accusés d'être responsables de ce « fléau ».
Nous sommes déjà passés par là. Au Moyen Âge, les paysans pieux étaient maintenus sur le droit chemin par des prêtres qui leur disaient que Dieu surveillait leurs moindres faits et gestes. Lorsqu'un fléau apparaissait, il était interprété comme un châtiment divin, la colère de Dieu s'abattant sur une population pécheresse. Ceux qui voulaient se distinguer par leur dévotion s'autoflagellaient en public, ou portaient des vêtements douloureux appelés « cilices » — dans les deux cas, dans le but de « mortifier la chair », littéralement de « mettre à mort » leur nature pécheresse.
Ce n'est pas un hasard si l'autoflagellation a atteint son apogée pendant la Peste noire. Ceux qui la pratiquaient pensaient que s'ils faisaient pénitence en s'infligeant des souffrances physiques, ils seraient épargnés par les souffrances de la peste envoyée par Dieu. Ceux qui refusaient publiquement de participer aux rituels religieux de l'époque étaient qualifiés d'infidèles, d'hérétiques, de sorciers ou autres serviteurs du Diable. Ils pouvaient être chassés de la ville ; beaucoup étaient torturés et même tués — souvent de façon atroce et choquante — au fil des siècles et de l'arrivée au pouvoir de l'Inquisition. On racontait régulièrement aux bigots que leurs malheurs étaient dus à la présence d'une influence satanique parmi eux, les problèmes complexes étant déclarés résolus par le simple bannissement de la présence outrageante.
La société occidentale peut toujours prétendre avoir laissé ces âges sombres loin derrière elle, mais il n'en reste pas moins que l'attrait des explications simplistes et le désir de trouver un accomplissement dans la souffrance partagée — infligée ou endurée — sont plus puissants que jamais.
Le Masque de la mort rouge
[Le Masque de la mort rouge est le titre d'une nouvelle d'Edgar Allan Poe - NdT]
Les masques sont devenus à la fois le symbole visuel de l'épidémie de Covid-19 et le fétiche religieux dominant de la secte du Corona. Alors que de New York à Laredo au Texas, des réglementations les rendant obligatoires dans les lieux publics ont été adoptées, et que les chaînes de magasins comme Costco ont interdit aux clients d'entrer sans masques dans leurs supermarchés, il est impossible de ne pas remarquer ces individus tellement dévoués au rituel du port du masque qu'ils les arborent jusque dans leurs propres voitures — toutes vitres remontées — ou lorsqu'ils traversent en toute hâte des rues désertées par l'épidémie. Une communication déplorable est en partie responsable de cette situation — les Centers for Disease Control ont à plusieurs reprises changé de discours lorsqu'il s'agissait de décider qui devait porter des masques : d'abord, les « malades », ensuite « uniquement les soignants », et enfin « tout le monde ». Cependant, l'idolâtrie du masque à laquelle s'adonne la secte du Corona va bien au-delà du simple suivi des recommandations d'une agence de santé publique.
Le masque a pris une signification surnaturelle qui éclipse largement son utilité protectrice face aux maladies. Même les masques N-95 recommandés par les autorités sanitaires pour protéger la société contre les personnes infectées se sont largement révélés inefficaces pour protéger les personnes saines des personnes infectées dans leur entourage, et les frêles masques chirurgicaux désormais omniprésents dans les rues constituent de bien piètres barrières de protection contre la transmission du virus. En effet, certains médecins attirent l'attention sur l'aspect contre-productif du masque , en raison du faux sentiment de sécurité qu'il procure, tandis que d'autres considèrent qu'il est en fait dangereux en raison du risque d'hypoxie — manque d'oxygène — et d'hypercapnie — excès de dioxyde de carbone. Pourtant, dans de nombreuses villes, il est impossible d'entrer dans un supermarché sans se couvrir la bouche et le nez — quel que soit l'accessoire utilisé — même si les yeux ne sont pas protégés, et sont donc vulnérables à toutes les particules virales potentiellement en suspension dans l'air. Les injonctions à porter un masque n'ont donc rien à voir avec la santé et tout à voir avec la foi religieuse. Elles permettent aux fidèles de transmettre à distance leur vertu et de se reconnaître instantanément entre eux, tout en signalant les non-conformistes comme autant de mécréants à fuir — comme la peste.
Tout comme l'ail et la croix étaient autrefois censés éloigner les vampires, le masque facial est censé conjurer l'« ennemi invisible » omniprésent. On peut se sentir un peu idiot en conduisant avec un masque, ou en accrochant une gousse d'ail à sa fenêtre, mais mieux vaut prévenir que guérir — et si vous n'avez pas été infecté, ou que des vampires ne se pas sont présentés à votre chevet, qui peut dire que ça ne marche pas ?
Rituel et mouchardage
Une foule de rituels a vu le jour chez les adeptes de la secte du Corona, du plus bénin, quoique excentrique — nettoyer toutes les surfaces exposées avec des lingettes Lysol — au plus sinistre — dénoncer les voisins « coupables » d'infractions supposées. La peur du virus leur insuffle une ferveur empreinte de terreur au point que même les mesures les plus simples et les plus scientifiquement fondées, comme se laver les mains, ont acquis un caractère hautement ritualiste. Le traumatisme épidémique nous incite à remettre en question des mesures considérées auparavant comme allant de soi ; comment expliquer autrement la popularité des dizaines d'« applications pour bien se laver les mains » disponibles sur les smartphones ? Tout comme les paysans de jadis auraient pu, effrayés par le spectre de la Peste noire, se rendre régulièrement à l'église, leurs descendants, déterminés à vivre une vie « plus propre », visionnent minutieusement les vidéos YouTube consacrées au sacro-saint lavage des mains.
Mais un autre vestige des âges sombres renaît de ses sinistres cendres. Alors que nos ancêtres dénonçaient comme « sorcières » leurs excentriques voisines après avoir vu ces vieilles filles joyeuses se livrer à des cabrioles avec Satan sous la pleine Lune, les mouchards des temps modernes se ruent sur leurs smartphones et composent des numéros de téléphone spécialement dédiés au signalement des transgressions faites aux commandements de distanciation sociale. Ces services sont d'une popularité inquiétante — le site de dénonciation néo-zélandais a planté plusieurs fois au cours de la première semaine de mars, tandis que plus de quatre mille personnes se bousculaient pour balancer leurs voisins coupables d'avoir violé les règles strictes de confinement établis dans le pays, des règles qui répartissent les gens dans des « bulles » établies en fonction de leurs conditions de vie, et leur interdisent d'interagir avec ceux qui se trouvent en dehors de leur « bulle ».
On trouve toutes sortes de mouchards. Il y a toujours eu des fouines qui appellent la police lorsque leur voisin met la musique trop fort, au lieu de frapper à leur porte et de leur demander poliment de baisser le son. Mais dans la secte du Corona, ces crapules sont rejointes par des personnes que la peur a rendues à moitié hystériques, et qui sont convaincues que le fait de dénoncer les contrevenants les protégera d'une manière ou d'une autre de la contamination par le virus. Ils ne diraient jamais une chose aussi absurde à haute voix, bien sûr — si on leur demande, ils prétendent simplement être inquiets pour la communauté, ou avoir peur que le comportement irresponsable de leur victime ne propage le Covid-19 bon gré mal gré. Peut-être même déclarent-ils que leur décision de dénoncer leur voisin était « pour leur propre bien ». Tout comme l'inquisiteur s'inquiétait pour ceux qu'il torturait sur le chevalet — pour « l'âme immortelle » de ses victimes — le mouchard moderne rationalise la trahison de ses voisins en affirmant que la brigade du virus s'intéresse à la santé des hérétiques qu'il balance, tout en poussant secrètement un grand ouf de soulagement parce que ce n'est pas lui qui se fait torturer — ou qui est placé sous respirateur artificiel... en tout cas, pas cette fois. Suivre les ordres devient une source de réconfort pour le mouchard privé des plaisirs normaux de la vie par le confinement — lui offrant la possibilité (illusoire) de passer du statut de victime à celui de héros.
Cette frénésie de Schadenfreude est alimentée par les Unes des médias qui célèbrent le châtiment karmique des réfractaires au confinement. Qu'il s'agisse de spring beakers (étudiants fêtards) testés positifs au Covid-19 après avoir bravé le danger et fait la fête sur la plage, ou de fanfarons qui se vantent sur les réseaux sociaux d'avoir défié les mesures de distanciation sociale, le lynchage public des hérétiques est un sujet populaire chez les adeptes de la secte du Corona confinés chez eux. John McDaniel, un habitant de l'Ohio qui avait critiqué son gouverneur pour avoir confiné l'État, est (apparemment) mort du coronavirus en avril dernier, et les médias sociaux ont dansé sur sa tombe et se sont servis de sa mort pour attaquer d'autres « sceptiques » — dont Donald Trump qui, parce qu'il ne s'agenouille pas devant l'autel du virus, continue de faire écumer les fanatiques de rage. Le journaliste de CNN Jake Tapper a déclaré que « pratiquement tous les jours », il lisait qu'un sceptique du Corona avait succombé au virus, et il met ces décès sur le dos des médias et des politiciens conservateurs — l'hérésie, apparemment, est aussi contagieuse que le virus. Le New York Post, qui a publié un article moralisateur sur un coiffeur anonyme de Kingston (New York) qui avait contracté le virus après avoir prétendument violé les mesures de confinement pendant plusieurs semaines pour couper des cheveux, s'est également empressé de faire le lien entre un pic de cas de coronavirus survenu dans le Kentucky et une manifestation contre le confinement quelques jours auparavant — même si la longue période de latence du virus (et le fait qu'une grande partie des nouveaux cas étaient apparus dans des maisons de retraite) rendait pratiquement impossible le lien entre les deux événements. Et la gouverneure du Michigan, Gretchen Whitmer, une des figures gouvernementales les plus fanatiques de la secte américaine du Corona, a laissé entendre dans une conférence de presse que les manifestations étaient plus susceptibles de contribuer à la propagation du virus que toute autre forme de « rassemblement ».
Le Premier ministre britannique Boris Johnson est peut-être l'exemple le plus médiatique du phénomène de « châtiment divin » — sa conversion à la secte du Corona (après quelques jours passés à suggérer timidement que l'immunité collective pourrait être une meilleure stratégie sanitaire) est arrivée trop tard pour empêcher son placement en soins intensifs aux mains du NHS (National Health Service) — celui-là même que son parti a tenté de privatiser. Après qu'il s'est rétabli, l'actrice Miriam Margolyes a déclaré qu'elle voulait qu'il meure, et certains médias ont applaudi, tout heureux de donner l'impression qu'ils étaient subversifs. Non seulement les adeptes de la secte du Corona font cause commune en acclamant le virus lorsqu'il pourfend les dissidents qui contestent leur vision du monde, mais leur propre adhésion à un dogme totalement schizophrène se voit confirmée, à leurs yeux, comme la voie à suivre, en témoigne l'infortune des hérétiques. Une austérité imposée a tendance à être impopulaire auprès de ses victimes, mais lorsqu'on présente ces privations comme un noble sacrifice auxquels tout le monde se plie — sauf les riches — dans l'intérêt général, il devient plus facile d'endurer la souffrance — et beaucoup plus difficile de tolérer ceux qui refusent de s'y soumettre.
Le véritable danger survient lorsque les fanatiques ressentent l'obligation d'« aider » le virus à frapper les hérétiques — bien sûr, ils pourraient attendre que Dieu punisse ces scélérats dans l'au-delà, mais pourquoi ne pas Le soulager en partie de cette tâche ? Le Daily Mail a acclamé une senior qui avait menacé de « botter le cul » d'un étranger simplement parce qu'il avait qualifié la pandémie de « canular ». Une patiente âgée est morte dans un hôpital de Brooklyn après qu'un autre patient l'a jetée à terre, lui fendant le crâne — soi-disant parce qu'elle « se tenait à moins de deux mètres de lui ». La violence n'est pas forcément physique — une Britannique a raconté sur SkyNews qu'elle avait été « dénoncée et humiliée » par ses voisins sur Facebook parce qu'elle s'était endormie, manquant le rituel hebdomadaire d'« hommage aux soignants et au NHS » de sa ville, rituel au cours duquel les participants se penchent à leur fenêtre et applaudissent à heure fixe, chaque semaine — véritable célébration chorégraphiée qui, selon eux, les protège du virus. Même les nombreuses vidéos virales de violences policières diffusées pendant la période de confinement, qui a permis aux pires éléments de la police de se lâcher, sont truffées de commentaires en soutien aux flics, certains affirmant que les hommes/femmes/enfants non armés arrêtés ou brutalisés par la police l'ont « bien mérité » parce qu'ils étaient sortis sans masque/avaient protesté/s'étaient tenus à moins de deux mètres de l'être humain le plus proche. Peu importe que sur ces vidéos, les flics ne portent pas de masques, ou qu'il soit impossible de maintenir une distance de deux mètres lors d'une arrestation — sans parler du paradoxe kafkaïen qui consiste à arrêter quelqu'un parce qu'il n'a pas respecté la distanciation sociale, pour ensuite le jeter dans une cellule où s'entassent plusieurs êtres humains par mètre carré. Non, qu'importe tout cela : ces âmes perdues ont péché, et il faut les punir. Vous n'êtes pas d'accord ? Attendez-vous à les rejoindre.
Garder la foi
Pour ceux dont la foi commencerait à vaciller après deux mois de confinement qui ont ravagé leurs comptes en banque et leur santé, les médias publient des sondages « confirmant » que plus de 80 % des Américains et près de 9 Britanniques sur 10 sont favorables à la poursuite des mesures de confinement, ce qui, allié à la censure croissante des discours anti-confinement sur les réseaux sociaux, donne l'impression erronée d'un consensus public universel sur le caractère populaire et salvateur des politiques gouvernementales. Seul le fanatisme religieux permet d'expliquer la croyance en une telle absurdité, au vu des antécédents lamentables des Grands Prêtres du Confinement. Le tsar du Corona, Neil Ferguson, de l'Imperial College, a été surpris en train de folâtrer avec sa maîtresse au mépris de ses propres recommandations, après avoir sermonné pendant deux mois les Britanniques sur l'importance de rester chez eux. Pourtant, sa modélisation épidémique incroyablement irresponsable — conçue à l'aide d'un programme informatique boiteux qui relève plus du bug que du code — a la vie dure, et hante les esprits des fanas du confinement qui hurlent contre Boris Johnson parce qu'il laisse les Britanniques sortir de chez eux trop tôt. Au vu de ses antécédents, Ferguson aurait dû être à tout jamais interdit d'accès aux politiques de santé publique. Ses effroyables erreurs de calcul concernant la fièvre aphteuse de 2001 ont entraîné la destruction inutile de plus de 6,5 millions de têtes de bétail, décimant l'industrie agricole du pays, tandis qu'en 2002, une prévision similaire — heureusement ignorée — selon laquelle la maladie de la vache folle tuerait jusqu'à 150 000 Britanniques, s'est vue infirmée par un total de 178 morts. Au fil des années, les visions apocalyptiques de Ferguson se sont intensifiées — en 2005, il a déclaré que la grippe aviaire tuerait quelque 200 millions de personnes dans le monde. La réalité : en tout, 455 personnes en sont mortes au cours des 15 dernières années, selon l'OMS. Sa prédiction hystérique de 2009 selon laquelle 65 000 Britanniques mourraient de la grippe porcine a convaincu le gouvernement d'adopter le dangereux vaccin Pandemrix de GlaxoSmithKline, qui a causé des lésions cérébrales permanentes chez des milliers de personnes (principalement des enfants, et un grand nombre de travailleurs du NHS qu'on a poussé à se faire vacciner en leur faisant croire que le vaccin était sûr et efficace) — bien plus que le nombre de victimes de la grippe porcine, qui se monte à 283.
Le Royaume-Uni n'est pas le seul pays à avoir adopté une politique de santé publique fondée sur la « foi ». Trump a même nommé l'homme qui dirigeait la division des vaccins de GlaxoSmithKline pendant la débâcle du Pandemrix à la tête de l'« Operation Warp Speed », un programme délirant dont l'objectif est de développer un vaccin d'ici la fin 2020 (un processus qui prend normalement cinq ans et qui, ici, s'étalera sur huit mois). L'homologue américain de Ferguson, Anthony Fauci - directeur du National Institute of Allergy and Infectious Diseases (NIAID - Institut national des allergies et des maladies infectieuses), n'a rien à envier à son collègue britannique, en matière de plantages « épidémiques ». À commencer par les milliers de séropositifs en bonne santé qui sont morts dans les années 1980 à cause de sa promotion éhontée de l'AZT, un médicament toxique — trop toxique pour les cancéreux en phase terminale — qu'il a fait passer pour une pilule miracle contre le sida. Fauci s'est également rendu coupable de parjure, niant que le vaccin ROR pouvait causer des encéphalites — avant de se « rappeler » qu'il était sous serment et de reconnaître qu'il s'agissait d'un effet secondaire « rare ». La cupidité et l'incompétence dont il fait preuve depuis des décennies sont si effroyables que sa présence à la tête du NIAID a fait reculer de façon significative l'espérance de vie aux États-Unis, une première dans l'Histoire du pays. Pourtant, à l'instar des adeptes d'une secte apocalyptique qui restent fidèles à leur gourou même lorsque ses prédictions de fin du monde ne se réalisent pas, les fidèles des prêtres de la santé publique ont peur d'ouvrir les yeux, préférant multiplier les prédictions apocalyptiques pour les pays hérétiques comme la Suède et la Biélorussie qui ont refusé de s'aligner sur la doctrine universelle du confinement.
Au-dessus des Prêtres de la santé publique, trône le milliardaire de Microsoft et Pape de la Pandémie, Bill Gates, dont l'absence de qualifications médicales ou même de diplôme universitaire n'empêche pas le monde de le saluer comme un prophète parce qu'il a « prédit » une pandémie en 2015 — et qu'il prétend avoir les solutions et les moyens de financer ces dernières. Les poches profondes de Gates — il est le premier financeur de l'OMS, depuis que Trump a suspendu le soutien des États-Unis - lui ont donné le pouvoir d'orienter presque à lui tout seul les politiques de santé mondiales, les dirigeant tout droit vers un iceberg pharmaceutique, alors même que de nombreux médecins — des vrais, ceux-là — l'accusent de multiples conflits d'intérêts. Depuis qu'il a plongé dans le gouffre financier de la « philanthropie », M. Gates a plus que doublé sa fortune ; sa fondation investit à hauteur de milliards de dollars dans les compagnies pharmaceutiques qui fabriquent les vaccins que les autres groupes qu'il finance achètent ensuite pour les livrer aux pays pauvres. Il est également très, très généreux avec les médias, achetant le silence d'organes de presse du monde entier — des grands noms comme The Guardian, Le Monde, Der Spiegel, The Financial Times et la National Public Radio. Si bien que leurs journalistes ne bronchent pas quand, interrogé sur les dommages économiques que ses politiques de confinement infligent aux malheureuses populations, il répond en bafouillant et en couinant — et se gardent bien d'enquêter sur la dévastation et les souffrances que sa fondation a infligées aux Pays du Sud.
Pourtant, même les pom-pom girls les plus enthousiastes du complexe de l'industrie pharmaceutique — les défenseurs des vaccins comme Peter Hotez, le spécialiste des maladies tropicales, omniprésent à la télévision lors de l'« épidémie de rougeole » de 2018 pour, au passage, attaquer les prétendus « anti-vaccins » — ont exprimé leur inquiétude face à la décision d'abandonner la phase d'expérimentation animale dans la recherche d'un vaccin censé sauver le monde du Covid-19, notant qu'avec les vaccins contre tout type de coronavirus « il existe un risque de sur-stimulation de l'immunité ». Au cours des essais sur les animaux dans la recherche d'un vaccin contre le SRAS, recherche qui fut abandonnée, les souris pour lesquelles le vaccin avait été administré ont développé une version sévère du virus lorsqu'elles y ont ensuite été exposées, tandis que les furets également soumis au même protocole ont subi « des dommages accrus au foie ». Pour contourner ces obstacles, le fabricant de médicaments Moderna, actuellement en tête du peloton dans cette recherche vaccinale, mise peut-être sur un tout nouveau type de vaccin, qui, plutôt que de stimuler légèrement le système immunitaire sous la forme d'une forme morte ou affaiblie du virus, tentera de reprogrammer notre matériel génétique pour qu'il produise lui-même les constituants du virus, afin que le système immunitaire puisse apprendre à les combattre. C'est du moins ainsi que Gates lui-même décrit cette méthode « prometteuse ». Avons-nous mentionné que Moderna n'a jamais auparavant mis un vaccin sur le marché ? C'est quoi le dilemme — vous n'avez pas confiance ?
Nous ne nous tournons peut-être pas vers le ciel ni ne prions pour notre salut, mais les dirigeants du monde occidental ont déclaré que la société ne pourrait pas complètement revenir à la normale avant la livraison ici-bas d'un vaccin mis au point par magie, une absurde solution tout-en-un qui fait écho au bourrage de crâne des gens pendant la Guerre froide pour qu'ils suivent les recommandations du type « tous aux abris » en vue de survivre à une explosion nucléaire. Le fait d'instiller une puissante capacité de dissonance cognitive — apprendre aux enfants à se cacher sous leur bureau alors même qu'on leur enseigne les lois de la physique qui leur permettent de comprendre que leur bureau n'offre aucune protection — a fait des Américains des médaillés d'or en matière de dissonance cognitive. S'il s'agissait d'un sport olympique, personne ne parviendrait à les talonner.
L'omnipotence et l'omniscience au 21e siècle
Les plateformes de recherche de contacts — numériques et humaines — déployées dans le monde entier puisent leurs racines philosophiques dans les rites religieux de la confession ; ils sont métissés d'une logique policière de l'Agence de sécurité nationale — « si vous n'avez rien fait de mal, vous n'avez rien à craindre » — et combinés à la notion religieuse d'une divinité omnisciente qui voit tout. Toute déviation du dogmatique confinement est enregistrée et communiquée, y compris le fait de fréquenter des hérétiques connus, et cette Panoptique — ce même contrôle totalitaire d'un État policier vilipendé lorsqu'il a débuté en Chine — est maintenant adoptée par les médias occidentaux comme l'œuvre de gouvernements bienveillants soucieux du bien-être de ses citoyens. Bien que cette transformation ait été présentée de façon effrayante dans « Lock Step » — un futur hypothétique décrit en 2010 par la Fondation Rockefeller et le Global Business Network dans les « Scénarios pour l'avenir de la technologie et du développement international » [PDF en anglais disponible ICI - NdT] — toute discussion sur la programmation prédictive est interdite. En effet, les adeptes de la secte du Corona sont encouragés à couper les ponts avec leurs proches « théoriciens du complot », car, selon les termes de la chaîne d'infos canadienne CBC, « les conspirations peuvent être tout aussi contagieuses, tout aussi dangereuses qu'un virus — il faut donc s'en prémunir ». Au Pays de Galles, les parents sont alertés sur le fait que les théoriciens du complot représentent une plus grande menace que les pédophiles sur Internet. Pour aggraver encore plus la menace que constituent les idées fausses, l'OMS a popularisé le terme « infodémie » — impliquant que les idées sont aussi dangereuses pour la santé que les agents pathogènes — et a recommandé un « vaccin contre la désinformation ».
Bientôt, l'adepte de la secte du Corona n'aura plus besoin de faire part de ses symptômes via un sondage Facebook ou de confesser ses péchés à un contact-traceur. Le Massachusetts Institute of Technology a mis au point des vêtements dotés de capteurs intégrés pour surveiller les signes vitaux du porteur. L'activation de ces capteurs étant rendue possible par le déploiement accéléré des réseaux 5G pendant que toute opposition potentielle est verrouillée, ils pourront communiquer en temps réel avec les réseaux intelligents de surveillance, localiser les délinquants, et inciter les autres à prendre avec eux plus de distance et à refuser de les aider, pour in fine les « neutraliser ». Leur compte bancaire pourra être gelé jusqu'à leur retour chez eux, ou même débité d'une certaine amende en fonction du degré de désobéissance — « ce sera 20 je vous salue Billet... ou 20 dollars par minute en dehors de la maison, à vous de choisir ». Ces capteurs seront finalement implantés dans le corps, dans ce qui ressemble au scénario d'une dystopie science-fictionnelle : Microsoft s'est procuré en mars un brevet pour un système basé sur des signaux physiologiques qui exploite la crypto-monnaie, et permettrait théoriquement à la société de « récompenser » les utilisateurs en fonction des réponses désirables à certains stimuli. Bien que l'exemple donné soit banal — une récompense pour avoir regardé une publicité — il n'est pas difficile d'imaginer des sanctions équivalentes pour ceux qui répondent avec dégoût à la propagande de la classe dirigeante. Le Dieu omniscient et qui voit tout micro-gestionne ses adeptes, dans un véritable stéréotype religieux utilisé pendant des millénaires pour garder au pas de larges populations, et finalement réalisé sous la forme de l'État policier Covid-19. Big Brother manie la technologie à la fois comme une carotte — qui conduit doucement son troupeau vers la perfection transhumaniste en offrant un fac-similé de liberté en échange du téléchargement d'une application, par l'acceptation d'un « tatouage à points quantiques » ou de la présentation sur demande d'un « certificat d'immunité » — et comme un bâton — qui emprisonne numériquement et littéralement ceux qui s'écartent de son brillant avenir.
Une coalition de milliardaires d'une richesse à couper le souffle et leurs toutous à la tête des États se sont arrogés un droit divin en se nommant eux-mêmes agents de Big Brother sur Terre. Depuis la présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, et son attitude messianique lorsqu'elle sollicite des fonds auprès des nations européennes sur-endettées, en passant par le susmentionné Gates-et-ses-chandails qui entre en communication avec Nostradamus et prédit la « Pandémie 2 », jusqu'au gouverneur de New York deux fois élus Andrew Cuomo — dont les relations publiques ont été marquées par des hashtags comme #Cuomosexual et #CuomoForPresident alors même que son État est le premier au monde en termes d'infections et de décès et que sa politique consistant à obliger les maisons de retraite à accepter les patients testés positifs au Covid-19 « tue littéralement grand-mère » — Cuomo, donc, qui symbolise parfaitement « l'Esprit de New York » en faisant semblant d'opposer une #resistance à Trump alors même que son frère aurait été terrassé par le virus, la classe dirigeante Heroes™ n'a pas fini de savourer l'admiration des adeptes de la secte du Corona, qui sacrifient sur l'autel leurs droits — et ceux de tous les autres — qu'ils ne reverront plus jamais.
Une surveillance constante peut-elle arrêter le virus ? Pas plus que les trottoirs à sens unique, javelliser la plage [à Zahara de los Atunes, près de Cadiz - NdT] ou dénoncer votre voisin. Il n'y a rien de mal à s'accrocher à un rituel en période d'incertitude — le lavage des mains ne pose certainement pas d'inconvénient, à condition de s'arrêter avant que la peau des mains se ratatine. Mais ce rituel doit être remis en question lorsqu'il nuit à autrui. Les fanatiques du Covid-19 diront qu'ils ont la science de leur côté, mais la science est loin d'être convaincue de l'efficacité de la distanciation sociale et des arrêts généralisés de l'économie.
La pseudo-science se déchaîne
À mesure que les censeurs des médias sociaux resserrent les vis sur les informations autorisées à entrer dans la sphère publique, il devient de plus en plus difficile de prétendre que la secte du Corona se base sur la science. La science réelle repose sur des enquêtes, des expériences et des hypothèses menées de façon constante, et même les déclarations généralement attestées par ses praticiens sont considérées comme des « théories » par opposition à des vérités immuables. À l'inverse, la science élevée au rang de religion dénonce comme hérétiques les tenants de théories dissidentes, utilisant des insultes comme « imposteur », « charlatan » et « anti-vaccin » pour, par exemple, marginaliser les médecins qui guérissent leurs patients sans utiliser de médicaments pharmaceutiques. La décision des plateformes de médias sociaux de « déplateformer » unilatéralement les contenus qui contredisent le discours de l'OMS est extrêmement anti-scientifique, sacrifiant l'esprit d'enquête aux contraintes de la pensée de groupe. Cette décision est d'autant plus kafkaïenne que le discours de l'OMS varie constamment au fur et à mesure que les connaissances sur le virus évoluent — tout comme la compréhension qu'en ont les scientifiques.
L'idée que les modérateurs de contenu de YouTube savent mieux qu'un médecin comment traiter le Covid-19 aurait été considérée comme risible il y a tout juste six mois. Pourtant, la plateforme vidéo de Google a supprimé à plusieurs reprises des vidéos de cliniciens licenciés et en exercice discutant de leurs expériences. Un couple de médecins « voyous » de Bakersfield, en Californie, qui a tenu une longue conférence de presse — diffusée sur une chaîne de télévision locale — pour présenter ses conclusions et remettre en question le bien-fondé des confinements prolongés est devenu viral, mais YouTube a supprimé quasiment toutes les copies, tandis que des commentateurs dénonçaient le couple comme des « sceptiques du coronavirus ». Leur vidéo ne cherchait pas à présenter au monde leurs propres expériences, puisque lorsqu'ils ont cité les statistiques existant en dehors de Bakersfield — pour appuyer leur affirmation selon laquelle le taux de mortalité était considérablement surestimé au motif que la plupart des cas étaient asymptomatiques — ils ont utilisé les chiffres « officiels » des autorités sanitaires, en Suède et ailleurs. Leur vidéo a été littéralement diffusée sur les « grands médias », une « source faisant autorité » aux yeux de Susan Wojcicki, PDG de YouTube. Mais son incompatibilité avec le dogme dominant du coronavirus a tout de même nécessité sa suppression.
Le récit orthodoxe se débarrasse également de la science longtemps acceptée sur l'immunité. La vitamine D — obtenue à partir du rayonnement solaire absorbé par la peau — s'est avérée, étude après étude, indispensable à un système immunitaire sain, et plusieurs études récentes ont démontré son importance pour résister à l'infection du Covid-19. Tout comme la solitude a été liée à une diminution de la fonction immunitaire et à une mauvaise santé en général, notamment chez les personnes âgées — c'est-à-dire les plus sensibles au Covid-19. Et même chez celles qui préfèrent être seules, la stimulation immunitaire diminue par manque d'interaction avec d'autres personnes. Le lien entre l'isolement et la mauvaise santé est si fort qu'il a même été reconnu comme tel par l'establishment des médias, et l'isolement est considéré dans de nombreux pays comme une punition cruelle et inhabituelle. Le Forum économique mondial — co-organisateur de la fameuse simulation de l'« Event 201 » qui a servi de répétition générale pour le Covid-19 — a lui-même qualifié les mesures de confinement à domicile pour plus de la moitié de la population mondiale de « plus grande expérience psychologique au monde ». Le conclave de la classe dirigeante — dont les membres qui ont lourdement investi dans les sociétés pharmaceutiques sont parmi les plus grands gagnants de la pandémie — a averti que « nous en paierons le prix » par une épidémie secondaire de maladies mentales, une épidémie qui remplit leurs coffres avec la vente à gogo d'antidépresseurs, de benzodiazépines et d'antipsychotiques. Néanmoins, remettre en question le bien-fondé d'un isolement prolongé en confinant toujours plus est toujours considéré comme un anathème.
La déprogrammation
Pour commencer à libérer l'humanité de l'influence de la secte du Corona, il est important de comprendre les modalités de son implantation. La culpabilité — culpabilité environnementale, culpabilité raciale, culpabilité de classe — constitue le principal angle d'attaque. L'establishment médiatique a d'abord tenté de faire le lien entre l'épidémie du coronavirus et le changement climatique, et bien qu'aucune base scientifique n'existe pour le confirmer et que ce lien ait été quelque peu minimisé depuis, même le Pape s'est joint au récit. Les hérétiques sont constamment accusés de privilégier leur propre confort au détriment de la santé de la société tout entière, en particulier de ses membres les plus vulnérables — les personnes âgées, les malades, voire les populations pauvres et non blanches. Selon le public visé, les hérétiques anti-confinement sont considérés comme des « covidiots » scientifiquement illettrés ou des monstres sans cœur qui condamnent les défavorisés à mourir au nom du capitalisme. La culpabilité et la honte sont de puissants outils de conversion, et même ceux qui n'y sont pas sujets ont tendance à se taire dans un phénomène sociologique connu sous le nom de spirale du silence.
En même temps, les tendances religieuses innées de l'humanité — présentes même chez les athées parce que des millénaires de programmation ne disparaissent pas juste parce qu'une personne se met à penser qu'elle vit dans un Univers sans Dieu — ont été détournées. Ce n'est pas une coïncidence si les gouvernements qui imposent des mesures de confinement ont ciblés les lieux de culte pour lesquels ils ont une certaine animosité — on suppose que toute personne assistant à un service religieux est suffisamment satisfaite de son ou de ses dieux pour qu'il soit peu probable qu'elle abandonne sa foi en faveur d'une nouvelle secte qui vénère un virus. Constamment bombardés de messages d'incertitude et empêchés de communier avec leur foi habituelle, même les personnes normalement très confiantes dans leur religion rechercheront la stabilité que leur procure l'État policier du Corona — la contrepartie de l'autoritarisme réside dans le paternalisme, et le confort se trouve dans les bras de Big Brother. Les populations non religieuses, libérales et libertaires sont visées par la militarisation du jargon médical — un simple « Que se passe-t-il, vous ne croyez pas en la science ? », plonge dans un silence honteux les adeptes de la pensée de groupe, tandis que leurs libertés sont méthodiquement amputées.
Il est suprêmement ironique que dans cette Inquisition, la « vraie » église ait été mise à l'écart. Outre le Pape, qui a embrassé de tout cœur la nouvelle normalité, un groupe de dirigeants catholiques a récemment publié une déclaration appelant les gouvernements, les médias et les experts de la santé publique à dénoncer le récit du Covid-19 comme étant un prétexte pour « attenter aux droits de millions de personnes dans le monde ». Des universitaires de l'histoire religieuse pourraient cyniquement suggérer qu'ils sont motivés par la jalousie — « arrêtez d'utiliser le dogme pour contrôler les gens, c'est notre mission ! » — mais leurs préoccupations ne sont pas moins valables, et le sentiment d'envie va dans les deux sens. La détermination de la police à interrompre même les services religieux qui observent scrupuleusement la distanciation sociale avec des fidèles isolés dans leur voiture ne peut s'expliquer que par une jalousie eschatologique. Pour que la secte du Corona puisse véritablement être imposée au peuple, la concurrence doit être éliminée, qu'il s'agisse de la religion « traditionnelle » ou de la logique, de la raison et de la — vraie — méthode scientifique.
Déprogrammer le monde de la secte du Corona ne peut se faire par la force — ses partisans ont trop de pouvoir, y compris le contrôle total de l'establishment et des médias sociaux. Elle doit être abordée de manière stratégique. Tout comme les « déprogrammeurs » traditionnels isolent du groupe les membres d'une secte — estimant qu'il y a de bien meilleures chances de réveiller la personnalité originale lorsque la personne ne subit pas les pressions de la pensée de groupe — il est plus efficace de déprogrammer les adeptes de la secte du Corona en tête-à-tête, en gardant à l'esprit que les sectes défendront férocement leur dogme avec des techniques de réflexion qui peuvent être extrêmement irritantes pour les personnes extérieures qui tentent de transmettre des informations dissidentes. Le modèle BITE de l'ancien « Moonie » Steven Hassan [de la secte Moon ou Église de l'Unification - NdT], tel que présenté dans le visuel ci-dessus, décrit comment les sectes exercent une influence indue, et s'avère pertinent pour aborder la déprogrammation.
L'idée de déprogrammer des sociétés entières peut sembler titanesque, mais c'est la seule chance dont dispose l'humanité pour conserver un semblant de liberté et se détourner du sombre chemin emprunté par notre espèce. La classe dirigeante impose une grille de contrôle globale et multicouche en cours d'élaboration depuis des décennies, et lorsqu'elle sera achevée, la révolution ne sera plus une option. Un tel avenir doit être évité à tout prix.
À propos de l'auteurHelen Buyniski est une journaliste et commentatrice américaine qui se concentre sur l'analyse et le démantèlement des récits de propagande utilisés pour vendre aux citoyens ordinaires les concepts de guerre perpétuelle et d'État policier. Vous pouvez faire un don ici, et la suivre sur Twitter.
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Source de l'article initialement publié en anglais le 17 mai 2020 : Helenofdestroy
Traduction : Sott.net
Commentaires des Lecteurs
les Dems confinent tant et plus, ce qui est terrible pour l'economie, le chomage, les difficultes pour le peuple
mais les Dems de Californie, les riches, ceux qui menent la danse, s'en fichent du peuple
ils veulent poignarder Trump....
Lol
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