Généticienne, spécialiste de l'ARN et ancienne directrice de recherche à l'Inserm, elle nous apporte un éclairage édifiant sur la gestion de la crise sanitaire et une compréhension plus large de ce que l'on sait de ce coronavirus. Elle a également fondé l'institut Simplissima.
« Je préfère agir pour trouver une solution plutôt que d'attendre d'être en difficulté. Mais pour y répondre, il est indispensable de cerner les liens, actuels et futurs, qui unissent science et société. »Sans surprise, l'Inserm s'est désolidarisé de son ex-chercheuse.
Dans les vidéos qu'elle a mises en ligne depuis le début de la « crise », Alexandra Henrion-Caude aborde une multitude de sujets relatifs au Covid-19. Réticente au port du masque et au confinement, qu'elle a notamment estimés difficiles à concilier avec l'entretien de notre système immunitaire, elle a aussi évoqué une « manipulation » humaine du virus.
Voir notre Focus « Les preuves irréfutables de l'origine humaine du Sras-Cov-2 »
Alexandra Henrion-Caude émet par ailleurs des doutes sur les vaccins en cours de développement. Et porte sur eux « un regard terrifié ».
Voir notre Focus « Les critères de référence des tests des vaccins anti-Covid sont truqués et les effets secondaires sont désastreux »
Elle s'est aussi étonnée de la longueur des écouvillons utilisés au sujet des tests PCR réalisés par voies nasales.
Voir notre Focus « Les tests PCR du Covid peuvent-ils être un moyen d'infecter ou d'implanter subrepticement des personnes ? »
Points majeurs de l'interview :
- 23:40 Présentation des graphiques
- 33:55 Test PCR naso-pharyngés et oraux-laryngés
- 50:10 Masques
- 1:00:00 Vaccins
Concernant la courbe des décès en France et l'étiquetage « mort du covid-19 » collé sur des patients hospitalisés (parfois décédés) pour une autre raison médicale, le Dr Alexandra Henrion-Caude a été recontactée par Nexus et a partagé le lien suivant : EUROMOMO.
Tout en bas de cette page dans la section « Z-scores by country », vous y trouverez l'excès de mortalité des pays européens depuis 2017, dont la France qui, après l'épidémie de la semaine 17 (mars/avril 2020) reste dans une oscillation habituelle pour la saison.
Source de la vidéo : YouTube Magazine Nexus
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