Cet article vise à répondre à ces questions, mais surtout à décrypter les véritables motivations cachées derrière le show planétaire du coronavirus.
Les pouvoirs publics et la vie
Toutes les mesures prises par les pouvoirs publics en rapport avec la pandémie de Covid-19 se sont articulées autour d'une seule motivation : « sauver des vies ». Cette motivation est conforme à leur principal mandat qui est de nous protéger, du moins c'est ce que nous avons été amenés à croire.
Cette motivation caractérise la pensée progressiste, année après année, grâce aux droits de l'homme, à la démocratie, à l'humanitarisme et au progrès technologique, dans laquelle la barbarie et la mort appartiennent au passé. Nous sommes maintenant « plus affables et plus dociles », comme le dit Steven Pinker :
La cruauté en tant que divertissement, le sacrifice humain pour satisfaire aux superstitions, l'esclavage en tant que mécanisme permettant de réduire la main-d'œuvre, la conquête en tant que profession de foi gouvernementale, le génocide en tant que moyen d'acquérir des biens fonciers, la torture et les mutilations en tant que châtiment ordinaire, la peine de mort pour les délits et les divergences d'opinion, l'assassinat comme mécanisme de succession politique, le viol en tant que butin de guerre, les pogroms en tant que moyen de frustration, l'homicide en tant que principale forme de résolution des conflits — tous ces éléments ont été sans exception des caractéristiques de la vie pendant la plus grande partie de l'histoire de l'humanité. Mais aujourd'hui, ils sont rares, voire inexistants en Occident, bien moins fréquents ailleurs qu'autrefois, dissimulés lorsqu'ils se produisent et largement condamnés lorsqu'ils sont révélés.Le problème avec cette interprétation idyllique c'est qu'elle ne résiste pas aux faits concrets et tangibles. Extrait du livre de David Berlinski, The Devil's Delusion [« L'illusion du diable », ouvrage non traduit en français - NdT], le tableau ci-dessous énumère les conflits du XXe siècle et le nombre de victimes pour chacun d'entre eux. Le tableau original fait trois pages, je l'ai donc limité aux conflits qui ont fait plus d'un million de morts.
~ Steven Pinker, A History of Violence
Même avec cette limitation, le nombre total de morts s'élève à plus de 177 millions. En outre, Devil's Delusion a été publié en 2008, il ne répertorie donc pas les conflits récents dans des pays comme l'Irak, la Libye, l'Ukraine ou la Syrie.
Comment concilier les prétendus progrès avec ces millions de morts évitables ? Pour maintenir l'illusion d'un comportement « plus affable et plus docile », les pouvoirs publics tentent de donner une tournure positive aux guerres, en les qualifiant de « guerre pour la paix », « guerre pour la démocratie », « guerre contre le communisme », « guerre contre le terrorisme ».
Mais ces guerres n'ont rien à voir avec les slogans trompeurs. Elles ont tué des millions d'innocents, elles étaient injustes et ont souvent conduit à des régimes pires que ceux qu'elles ont remplacés. Vous souvenez-vous des armes de destruction massives irakiennes, du 11-Septembre et de Ben Laden conspirant depuis sa grotte afghane isolée, des attaques contre Kadhafi et Assad alors que les dirigeants de l'Arabie Saoudite et du Qatar — deux des régimes les plus régressifs au monde — sont protégés depuis des décennies, des tireurs d'élite à Maïdan, du faux incident dans le golfe du Tonkin, de l'anthrax qui a servi à justifier la première guerre en Irak, de l'anthrax qui provenait en fait de Fort Detrick ?
Le XXe siècle raconte l'histoire de millions d'innocents sacrifiés par les autorités publiques sur l'autel de la cupidité, du mensonge, de la propagande et de l'imposture. Les faits sont là, ils sont têtus et ils hurlent « Non, les pouvoirs publics ne se soucient pas de sauver des vies ! ».
Il en va de même dans le domaine humanitaire. La faim tue neuf millions de personnes chaque année. C'est trente fois plus que le Sras-Cov-2 et ses trois-cent soixante-cinq mille morts présumés — le nombre de décès dus au coronavirus est grossièrement exagéré, et nous traiterons ce point plus loin. L'éradication de la faim coûterait entre sept et deux-cent quarante-neuf milliards de dollars. Entre-temps, les États-Unis ont déjà consacré plus de six mille milliards de dollars à la crise du coronavirus, soit vingt-quatre fois l'estimation la plus élevée du coût de l'éradication de la faim dans le monde entier.
La sphère officielle de l'épidémiologie raconte la même histoire. Depuis des décennies, le paludisme tue environ cinq cent mille personnes chaque année — principalement des enfants — alors que des médicaments efficaces et bon marché sont disponibles. Résoudre le problème du paludisme coûterait environ quatre milliards de dollars par an. En trois mois seulement, le gouvernement américain a dépensé mille cinq cents fois plus pour le coronavirus que le coût de la lutte contre le paludisme.
Dans le même ordre d'idées, la grippe saisonnière tue chaque année entre trois cent mille et cinq cent mille personnes sans que les pouvoirs publics ne s'en alarment.
Que ces pouvoirs publics se moquent des millions de personnes qui meurent chaque année à cause du paludisme, de la faim ou de la grippe est une évidence. Alors pourquoi cette soudaine préoccupation quant au fait de « sauver des vies » ? Quel en est la véritable motivation ?
Les pouvoirs publics et le contrôle
Si la préoccupation majeure des pouvoirs publics de « sauver des vies » est pour le moins douteuse, leur soif de contrôle est évidente. Les années passées ont révélé une augmentation stupéfiante des caméras de surveillance, des radars de vitesse, de l'espionnage de masse des citoyens, des applications de traçage, de l'accès aux téléphones personnels et aux données de messagerie électronique, de l'utilisation accrue des micropuces électroniques sous-cutanées, des identités biométriques, des technologies de reconnaissance faciale, des procédures de « sécurité » interminables dans les aéroports, de l'interdiction de l'argent liquide dans l'intérêt du suivi financier, etc. Toutes ces mesures se sont accompagnées d'une réduction proportionnelle des libertés individuelles.
La surveillance n'est qu'une partie du programme de contrôle. La pression juridique en est une autre, par la prolifération des normes, règlements, traités, lois, décrets, certifications et amendements promulgués aux niveaux local, étatique, fédéral et supranational, le tout conduisant au contrôle de chaque détail de notre vie. L'Union européenne est célèbre pour avoir promulgué certaines des réglementations les plus absurdes :
- l'interdiction des sèche-cheveux, des grille-pain et des bouilloires ;
- l'illégalité de manger des chevaux de compagnie, mais il est toujours permis de manger d'autres types de chevaux ;
- l'impossibilité pour les enfants de moins de huit ans de gonfler des ballons ;
- l'interdiction de vendre des ampoules à incandescence parce qu'elles sont considérées comme insuffisamment efficaces sur le plan énergétique ;
- l'illégalité de fabriquer le fromage Stilton dans le village de Stilton ;
- l'interdiction pour les fabricants de boissons de prétendre que l'eau peut prévenir la déshydratation.
La pression juridique s'accompagne d'une bureaucratie écrasante qui se manifeste par une multiplication d'organismes [payés par l'argent des contribuables - NdT] qui exigent des montagnes de papier pour pouvoir simplement posséder une maison, une voiture, une arme, une entreprise.
L'augmentation de la surveillance, de la réglementation ou de la bureaucratie sont les symptômes d'un même contrôle croissant exercé par les pouvoirs publics, ce qui entraîne parmi les masses un sentiment d'oppression, qui, tôt ou tard, finit par déclencher une rébellion.
Les pouvoirs publics sont parfaitement conscients des insurrections en devenir et les craignent. Tout mouvement populaire qui menace leur pouvoir sera stoppé par l'infiltration, la subversion, la propagande, l'attrition et, si nécessaire, par la violence pure et simple et les assassinats. Ce dernier point démontre la volonté des pouvoirs publics à maintenir leur emprise, et en dépit de leur prétendue préoccupation majeure de « sauver des vies », ils sont en fait prêts à faire le contraire et à sacrifier la vie d'innombrables citoyens.
Les véritables soulèvements populaires ont toujours été réprimés avec violence par les pouvoirs publics, qu'il s'agisse du « Bloody Sunday » irlandais lors duquel des soldats de l'Armée britannique ont tiré sur vingt-six civils non armés au cours d'une marche de protestation contre la détention sans procès, ou du mouvement des droits civils de Martin Luther King dans lequel les États-Unis ont dû faire face au long et chaud été de 1967 lors duquel des policiers ont tiré sans discernement sur des civils noirs et autres suspects, faisant quarante-trois morts.
Mais c'était il y a des décennies, et depuis lors, les pouvoirs publics ont grandement amélioré leurs méthodes de répression ; c'est la raison pour laquelle nous avons assisté ces dernières années à une militarisation des forces de police, à coups d'hélicoptères, de chars, de mitrailleuses et de tireurs d'élite. La mission des forces de police est de « servir et protéger », non pas les citoyens, mais l'intérêt des pouvoirs publics. Et ne vous y trompez pas, leurs intérêts sont généralement en conflit avec les intérêts des peuples.
Il n'est toutefois pas nécessaire de remonter des décennies en arrière pour trouver des exemples de violence d'État. En France, le mouvement des Gilets jaunes dure depuis dix-huit mois. Il a débuté par une opposition populaire à une taxe supplémentaire sur le carburant — le carburant est déjà taxé à plus de 60 pour cent en France. Des millions de personnes ont rejoint les manifestations et une majorité de citoyens soutiennent le mouvement. Les pouvoirs publics ont répondu comme à leur habitude, avec des balles en caoutchouc, des gaz lacrymogènes, des grenades assourdissantes, des matraques et des canons à eau. Jusqu'à présent, vingt-quatre mille Gilets jaunes ont été blessés, vingt-quatre ont perdu un œil, cinq ont perdu une main, et l'un d'entre eux est mort. Quatre mille Gilets jaunes ont été arrêtés, trois mille ont été poursuivis, et des peines de prison ont été prononcées pour mille d'entre eux.
Ce type de tactique anti-insurrectionnelle de l'État constitue cependant une approche risquée en ce qu'elle est susceptible de créer des héros et des martyrs et de galvaniser le peuple. Quelques véritables soulèvements populaires ont été couronnés de succès, par exemple le contre-coup d'État qui a ramené Hugo Chavez au pouvoir en 2002. La violence physique ne peut pas dépasser un certain seuil. Au lieu de contrôler les corps, il est bien plus efficace de contrôler les esprits qui lui-même induit un contrôle indirect des corps. Ainsi, les citoyens perdent toute idée de rébellion.
Le contrôle mental de toute la population constitue le rêve ultime des pouvoirs publics. Une humanité composée d'esclaves, complaisants, accrochés à chaque discours gouvernemental, qui accepte tout, même l'inacceptable. Un peuple de robots qui s'est débarrassé de tout vestige de ce qui faisait sa véritable personnalité et son indépendance de pensée ou d'action.
Abrutir la population
Les pouvoirs publics ont par diverses techniques tenté et souvent réussi à façonner l'esprit humain. L'un des moyens de contrôler les esprits est l'information — mensonges et récits — qui est distillée dans l'esprit des citoyens : une surexposition des grands médias de la presse écrite et audiovisuelle, une corruption profonde du monde universitaire et de la recherche scientifique et, enfin et surtout, une baisse du niveau d'éducation scolaire combinée à une propagande croissante de plus en plus adaptée aux jeunes.
Les produits chimiques sont un autre moyen de réduire la population. Par exemple, la fluoration de l'eau potable, dont on sait qu'elle fait baisser le QI des enfants. Dans le même ordre d'idées, on assiste à une épidémie d'autisme associée à des campagnes de vaccination — on estime que 10 pour cent des enfants naîtront autistes d'ici 2040. En dépit du fait que sa toxicité cérébrale soit connue depuis des siècles, le plomb entraîne 10 pour cent des handicaps intellectuels et on en trouve encore aujourd'hui dans les plombages dentaires, la plomberie intérieure, la nourriture, l'essence et l'eau, comme à Flint, dans le Michigan.
Et n'oublions pas le boom des drogues « récréatives » qui n'a pu exister qu'avec le consentement des pouvoirs publics. La soi-disant « guerre contre la drogue » n'est qu'une simple campagne de relations publiques visant à maintenir l'illusion d'un « pouvoir public » bienveillant et à exclure les trafiquants qui ne se conforment pas à la doctrine gouvernementale :
Pour un Américain moyen qui assiste au spectacle lugubre du trafic de stupéfiants qui se joue dans la rue, il doit sembler inconcevable que le gouvernement puisse être impliqué dans le commerce international de la drogue. Malheureusement, les diplomates américains et les agents de la CIA ont été impliqués dans le trafic de stupéfiants à trois niveaux :Néanmoins, les méthodes de contrôle de la population énumérées ci-dessus ont des limites. La propagande finit par s'effondrer sous le poids de ses propres contradictions, et les substances chimiques peuvent généralement être évitées — filtrage, protection — ou atténuées dans une large mesure — détoxication, antioxydant.~ Alfred McCoy, La politique de l'héroïne, l'implication de la CIA dans le trafic de drogues
- une complicité fortuite en s'alliant à des groupes activement impliqués dans le trafic de drogue ;
- un soutien au trafic en protégeant des trafiquants d'héroïne connus et en tolérant leur implication ;
- un engagement actif dans le transport d'opium et d'héroïne.
Ainsi, pour les pouvoirs publics, la question fondamentale demeure la suivante : comment mettre en œuvre un contrôle mental profond et irréversible de la population ? Alors que la propagande ou les produits chimiques peuvent avoir une influence significative sur l'organisme humain, il existe une chose bien plus fondamentale qui, aujourd'hui, est à la portée du bras puissant des gouvernements : notre propre code génétique. Notre esprit et notre corps sont, dans une très large mesure, le produit de notre ADN. En modifiant de façon adéquate le code génétique d'une personne, on peut transformer, « à la source » pour ainsi dire, sa façon de penser. Et l'un des meilleurs moyens de modifier profondément et durablement l'ADN humain, ce sont les virus.
La véritable nature des virus
Les virus figurent parmi les plus anciens organismes dont la présence sur Terre est attestée depuis plus de cinq cent cinquante millions d'années. Ils constituent en outre les organismes les plus nombreux de notre planète, et de loin, avec environ 1031 virus dans les seuls océans. C'est mille milliards de plus que le nombre d'étoiles estimé dans l'Univers — 1021.
Les virus sont aussi, et de beaucoup, les organismes les plus divers sur Terre, avec environ cent millions de types de virus différents. À titre de comparaison, il existe environ cinq mille cinq cents espèces de mammifères connues sur notre planète. Parmi ces cent million de types de virus, seulement 200 types (soit 0.0002%) peuvent parfois être pathogènes chez l'homme.
En dépit de leur stupéfiante ancienneté, de leur grande diversité, de leur générale bénignité et de leur abondance, les virus ont jusqu'à récemment été catalogués dans un rôle exclusivement pathogène qui répandent la maladie, la souffrance et la mort — attribué notamment par le scientifique Louis Pasteur, à l'origine de la théorie microbienne à la fin du XIXe siècle, qui a limité les germes (y compris les virus) à ce rôle.
Cette théorie fallacieuse a prévalu jusqu'à l'avènement de la recherche génétique, laquelle suggère aujourd'hui que le véritable rôle des virus pourrait bien être presque à l'opposé de ce que Pasteur prétendait :
La publication de la séquence du génome humain fut l'un des documents les plus marquants de ce siècle. Environ la moitié, peut-être même les deux tiers de la séquence sont composés de rétrovirus endogènes (ERVs) plus ou moins complets et de rétroéléments (REs) apparentés [...]. L'origine des rétroéléments est actuellement considérée comme résultant de vestiges d'anciennes infections germinales rétrovirales qui se sont fixées dans le génome au cours de l'évolution.Notre code ADN est littéralement constitué de séquences virales. Cette prévalence des séquences virales dans l'ADN humain est stupéfiante, même lorsque seules les séquences virales connues sont prises en compte. Cette omniprésence est confirmée par les nombreuses copies de la même séquence virale que l'on trouve dans tout le génome humain :
Environ 450 000 éléments des rétrovirus endogènes humains (HERV) constituent approximativement 8 pour cent du génome humain et sont composés d'éléments rétroviraux caractéristiques comme les gènes GAG, POL, ENV, et les longues répétitions terminales (LTR) qui agissent comme promoteurs. Howard Temin, l'un des découvreurs de la transcriptase inverse, décrivait déjà en 1985 les éléments endogènes de type rétrovirus, qu'il avait estimé à environ 10 pour cent de la séquence du génome humain et de la souris.
Le nombre réel est d'environ 45 pour cent, selon les estimations qui en sont faites aujourd'hui. Dans certains gènes comme le gène de l'inhibiteur de la protéine kinase B (PKIB), nous avons déterminé qu'environ 70 pour cent des séquences sont liées aux rétrovirus. Y a-t-il une limite ? Pourrait-elle être de 100 pour cent ?
~ Karin Moelling, « Virus et évolution - Les virus d'abord ? Un point de vue personnel » [article en anglais publié en 2019 - NdT]
[...] étant donné la vaste prolifération de sites d'insertion impliquant ces 30 à 50 familles de virus, et les quelque 200 sous-groupes. Si l'on prend, par exemple, le clone HERV 4-1 de la famille HERV-E qui a été étudié par Sekigawa en relation avec le SLE [lupus érythémateux systémique - NdT], le génome humain contenait 85 copies du virus à différents sites d'intégration au sein de différents chromosomes.En outre, la plupart des séquences virales sont intégrées dans nos gènes non codants. Les gènes codants sont comme des musiciens qui, au lieu de produire du son, produisent des protéines, et qui constituent les éléments fondamentaux de toutes les formes de vie. Les gènes non codants jouent un rôle encore plus fondamental ; ils sont en quelque sorte un chef d'orchestre qui module l'expression des gènes codants.
~ Frank Ryan, Virolution
Les nombreuses séquences virales présentes dans notre ADN ne relèvent pas d'un archaïsme génétiquement neutre ; il est maintenant prouvé que les virus endogènes ont des effets bénéfiques sur l'hôte :
En 1996, Roy J. Britten, de l'Institut de technologie de Californie, a pu citer dix types dans lesquels des séquences rétrovirales endogènes ont contribué à réguler l'expression d'un gène utile. Sept de ces dix types étaient humains.Non seulement les virus endogènes ont des effets bénéfiques, mais il semble même que leur présence soit nécessaire à l'existence des formes de vie :
~ Frank Ryan, Virolution
[...] lorsque Corrado Spadafora, le chercheur italien qui a réalisé ces travaux pionniers dans la recherche sur le cancer, a appliqué un médicament anti-transcriptase inverse à ce stade très précoce de l'embryogenèse chez la souris, tout développement a cessé au stade quatre cellules. Il semblerait que les rétrovirus endogènes jouent à ce stade précoce de l'embryogenèse des mammifères un rôle très fondamental, bien que totalement inconnu.Le rôle des virus dans l'ADN humain est tellement remarquable que certains scientifiques se demandent si « les virus ne sont pas nos plus lointains ancêtres ».
~ Frank Ryan, Virolution
À propos du terme « endogène » utilisé dans la citation précédente, nos ancêtres ont été exposés à un nouveau virus — exogène = virus transmissible — et ont intégré le code de ce virus dans leur propre ADN — endogène = virus héréditaire.
Pour établir une analogie, les virus qui infusent de nouvelles informations dans notre code génétique s'apparentent à une mise à jour de logiciel. De ce point de vue, les maladies causées par des virus exogènes sont la manifestation physique des luttes du porteur pour s'adapter à cette « mise à jour ». Dans de rares cas, la mort s'ensuit — l'ordinateur est trop vieux, n'est pas prêt pour le changement, ou est incapable de phagocyter la mise à jour. Mais comme le dit le proverbe chinois, « un arbre qui tombe fait plus de bruit qu'une forêt qui pousse ». Dans la plupart des cas, la mise à jour est réussie et totalement asymptomatique :
Nous avons exploré les données de séquences non humaines provenant du séquençage du génome entier issu du sang de 8 240 individus, dont aucun n'a été soumis à une quelconque maladie infectieuse. [...] nous avons cartographié chez 42 % des participants à l'étude, les séquences de 94 virus différents, y compris les séquences de 19 virus à ADN humain, du provirus et des virus à ARN — herpèsvirus, anellovirus, papillomavirus, trois polyomavirus, adénovirus, VIH, HTLV [Virus T-lymphotropique humain - NdT], hépatite B, hépatite C, parvovirus B19 [ou Erythrovirus B19 - NdT] et le virus de la grippe.Habituellement, l'exovirus est désactivé et intégré dans notre ADN sans douleur ; c'est à présent un virus endogène. Les nouvelles informations virales sont stockées sur notre « disque dur » — notre génome. Ces nouvelles informations — des séquences de virus endogènes intégrées dans notre ADN — nous apportent une complexité et une fonctionnalité accrues.
Ce qui précède illustre la prévalence des virus dans notre code génétique et le rôle essentiel qu'ils occupent. Cette perspective donne une autre tournure au débat en cours sur la question de savoir si les virus sont des formes de vie ou pas. En fait, les virus semblent plus fondamentaux que la vie elle-même ; ils sont les supports d'information — codes génétiques — dont découle la vie biologique. Les virus sont plus que la vie : ils sont la source même de la vie ; ils sont les précurseurs de l'information, les initiateurs des formes de vie.
Les virus qui altèrent l'esprit
Ce qui précède met en évidence le rôle fondamental joué par les virus dans le développement et l'évolution de la vie, y compris la vie humaine. Ils ont façonné notre corps, nos organes et même notre esprit. De ce point de vue, il n'est pas surprenant que les virus endogènes, et même les virus exogènes, aient une influence sur le comportement de l'hôte.
Il existe un certain nombre de virus connus pour modifier le comportement des hôtes animaux. Le virus de la rage « prend possession » du cerveau et rend l'hôte agressif. Les virus de la famille des Baculoviridae induisent chez leurs hôtes des modifications à la fois dans le comportement alimentaire et dans la sélection de leur milieu environnemental. Chez les chevaux, le Bornavirus est connu pour provoquer la stupeur, l'hyperexcitabilité, la peur et l'agressivité.
Les virus altèrent également le comportement des êtres humains :
On observe de profonds changements de comportement consécutivement à l'infection du système nerveux central par certains virus. Irritabilité, insomnie, hyperactivité et difficultés d'apprentissage sont quelques-uns des troubles du comportement qui ont été décrits chez les humains et les animaux atteints d'une infection du système nerveux central.Par exemple, l'encéphalite virale est couramment causée chez l'homme par des arbovirus, dont le virus du Nil occidental, des herpèsvirus et des entérovirus. Les symptômes comprennent l'irritabilité, la léthargie et les crises d'épilepsie. Chez l'homme, le virus de la rage provoque un délire, un comportement anormal, des hallucinations. Des traces du Bornavirus ont été trouvées chez un nombre important de patients dépressifs et schizophrènes. La panencéphalite sclérosante subaiguë est causée par des virus mutants de la rougeole qui envahissent le cerveau. Les symptômes comprennent un comportement bizarre, des secousses musculaires et des crises d'épilepsie.
Mais il n'est pas nécessaire de recourir à des virus exotiques rares pour identifier des effets qui altèrent le comportement, voire même qui l'altèrent de façon positive. En 2010, Chris Reiber a découvert des preuves selon lesquels un virus aussi banal que celui du virus de la grippe modifie le comportement des individus en les rendant plus sociables.
Puisque les virus constituent la composante active des vaccins, il n'est pas surprenant que des changements dans le comportement social humain aient été observés en réponse à un vaccin commun.
Les virus d'origine humaine
La première molécule d'ADN modifiée fut fabriquée en 1972 par Paul Berg. Berg a combiné l'ADN du virus simien SV40 avec celui du virus phage lambda. C'était il y a presque cinquante ans.
L'ingénierie des virus est depuis des décennies une pratique courante. L'ingrédient actif de la plupart des vaccins modernes provient d'une séquence génétique extraite d'un virus — la séquence considérée comme immunogène mais non pathogène. Un document de 2001 décrit la manière dont les virus génétiquement modifiés peuvent être utilisés pour développer des vaccins.
Dans le même ordre d'idées, la thérapie génique utilise des virus génétiquement modifiés pour délivrer des gènes à même de guérir des maladies génétiques. Le premier cas de thérapie génique réussie sur des humains a été réalisé par Martin Cline en 1980. Plus récemment, en 2004, un virus génétiquement modifié a été conçu pour exploiter le comportement égoïste des cellules cancéreuses et traiter le cancer.
Les virus artificiels sont également employés chez les mammifères, avec par exemple la protection contre la myxomatose chez les lapins, dans les plantes, pour entre autres améliorer la résistance aux maladies comme celles qui affectent les orangers, et chez les insectes qui transmettent des virus conçus pour modifier les gènes des cultures dans les champs déjà ensemencés. Ce dernier type de virus transforme par défaut les cultures non OGM déjà plantées en cultures OGM.
Ce qui précède témoigne du recours aux virus d'origine humaine, devenu aujourd'hui banal, et de la capacité des virus naturels à modifier les comportements. Mais les virus peuvent être créés par l'homme ET modifier le comportement. C'est le sujet d'un article publié en 2011 par un laboratoire de Rostock :
En modifiant les paramètres comportementaux par des interventions au niveau moléculaire et cellulaire, les approches de la thérapie génique produisent un effet sur les modèles animaux qui regroupe plusieurs troubles psychiatriques, notamment la toxicomanie, les troubles affectifs, les psychoses et la démence. [...] des virus génétiquement modifiés sont utilisés par injection intracérébrale stéréotaxique.Le Sras-Cov-2 d'origine humaine
Bien que l'hypothèse selon laquelle le Sras-Cov-2 se soit « échappé » d'un laboratoire ait pu de prime abord sembler étrange, elle a progressivement pris de l'ampleur en raison de preuves déroutantes. Au point qu'un certain nombre de communiqués issus des médias grand public [1], [2], [3] ont confirmé que les services de renseignement américains étudiaient la piste d'un virus issu d'un laboratoire.
Luc Montagnier est un scientifique français à la retraite. Il a reçu le prix Nobel de médecine en 2008 pour sa découverte du virus VIH. Le fait d'être un prix Nobel à la retraite le rend moins sensible aux diverses pressions — annulation de subventions, mauvaise presse et pression des pairs. Contrairement à la plupart de ses collègues, il peut émettre des opinions, et il le fait.
Montagnier a décrit le Sras-Cov-2 comme un « virus Frankenstein » créé par l'homme qui combine différents types de virus. Selon Montagnier, ce virus Frankenstein a été fabriqué à partir d'un coronavirus naturel, provenant d'une chauve-souris, mais à ce modèle ont été ajoutées des séquences très similaires au VIH-1 et au parasite Plasmodium falciparum, lui-même responsable du paludisme. Cet élément pourrait expliquer pourquoi l'hydroxychloroquine — un médicament antipaludéen — est efficace contre le Sras-Cov-2.
À la question : « Le coronavirus n'est-il pas naturel ? », Montagnier a répondu : « Non, il ne l'est pas, c'est le fruit d'un travail de professionnels, de biologistes moléculaires, il s'agit d'un travail très précis, que l'on pourrait qualifier de travail d'horloger ».
Les affirmations de Montagnier sur les insertions techniques de séquences du VIH dans le Sras-Cov-2 ont été confirmées par une étude intitulée « Étrange similitude d'insertions uniques dans la protéine Spike du 2019-nCoV avec celles de la GP120 et du Gag inhérents au VIH-1 », qui a dû être rétracté en raison d'une « pression trop forte ». Deux autres éminents virologistes, à savoir Ruan Jishou de l'université de Nankai et Li Huan de l'université de Huazhong, sont indépendamment arrivés à la même conclusion.
Notes du traducteur — la GP120 est une glycoprotéine exprimée par le VIH-1 et le précurseur Gag est la protéine virale et principal composant du VIH-1. Voir le résumé en français de cette publication scientifique ICI.Judy Mikovits était directrice de laboratoire à l'Institut national américain du cancer, et faisait partie de l'équipe qui fut la première à isoler le rétrovirus murin XMRV [virus xénotrope apparenté au virus de la leucémie murine de Moloney - NdT]. Elle a également œuvré pendant plusieurs années à Fort Detrick, le plus célèbre laboratoire de recherche sur les armes biologiques de l'armée américaine. Mikovits est l'une des rares personnes à avoir osé dénoncer le scandale des vaccins, ce qui lui a coûté sa carrière, ses économies et sa réputation. Elle a déclaré publiquement que, vu le nombre stupéfiant — 1 200 — de mutations entre le nouveau Sras-Cov-2 et le virus source de la chauve-souris, le premier devait avoir été modifié :
Et voici l'interview du professeur Montagnier :
Intervieweur : Pensez-vous que ce virus [Sras-Cov-2] a été créé en laboratoire ?Bruno Coutard est chercheur à l'IHU Méditerranée-Infection, l'un des plus grands centres de recherche sur les virus au monde. En avril 2020, Coutard et al. ont publié dans Antiviral Research une analyse détaillée du Sras-Cov-2 :
Mikovits : [...] Il n'a pas pu apparaître de façon naturelle. Le virus n'a pas pu passer directement à l'homme depuis une chauve-souris achetée au marché par un individu. Ça ne fonctionne pas ainsi. Il s'agit d'une évolution virale accélérée. S'il s'agissait d'un phénomène naturel, il faudrait jusqu'à 800 ans pour que le virus évolue de cette manière.
En 2019, un nouveau coronavirus (2019-nCoV) infectant les humains est apparu à Wuhan, en Chine. Son génome a été séquencé et les informations génomiques ont rapidement été publiées. Malgré une grande similitude avec la séquence du génome du Sras-Cov-2 et des CoV de type SRAS, nous avons identifié un site de clivage particulier de type furine dans la protéine Spike du 2019-nCoV, absent des autres CoV de type SRAS [...] Ce site de clivage de type furine [...] pourrait fournir un gain de fonction au 2019-nCoV pour une propagation efficace dans la population humaine.En clair, « gain de fonction » signifie « créé par l'homme ». Selon Coutard, c'est cette intervention humaine qui a permis à un virus zoonotique [en tant que zoonose parce que provenant de la chauve-souris - NdT] de « passer rapidement » chez les humains.
Notes du traducteur — La furine est une enzyme protéolytique de la famille des proprotéines convertases, impliquées dans la transformation de proprotéines en protéines actives. — Un gain de fonction est un processus qui consiste à ajouter une fonction spécifique à une cellule via une mutation de la structure moléculaire. Il est bien entendu que ce gain de fonction peut être soit bénéfique, soit néfaste.
Fang Chi-tai, professeur d'étiologie à l'université nationale de Taiwan, a déclaré que le Sras-Cov-2 était probablement d'origine humaine. Dans la séquence génétique du Sras-Cov-2, il existe quatre acides aminés supplémentaires qui n'existent pas dans les autres coronavirus. Selon Fang, les mutations naturelles des virus n'entraînent que de petites modifications singulières, il est donc suspect qu'un virus qui aurait muté naturellement acquière soudainement quatre acides aminés. Ces acides aminés pourraient avoir été ajoutés artificiellement pour faciliter la transmission du virus.
Le Dr Soňa Peková, biologiste moléculaire tchèque, a expliqué que le Sras-Cov-2 a été créé par l'homme en raison de son « centre de contrôle » profondément modifié :
[...] si la nature avait créé de manière chaotique et aléatoire les modifications génétiques massives et les transcriptions, insertions, délétions et autres changements complexes d'une ampleur propre à modifier le centre de contrôle de l'ARN Sras-Cov-2, le virus aurait simplement péri, parce qu'il n'aurait pas pu fonctionner de manière ordonnée.Le scientifique norvégien Birger Sorensen et les scientifiques australiens d'Adélaïde et de Melbourne sont arrivés indépendamment à la même conclusion : le Sras-Cov-2 est d'origine humaine pour la simple raison qu'un virus qui n'a jamais été observé auparavant chez les humains ne peut pas s'y adapter aussi parfaitement :
Il s'agit d'un nouveau virus qui n'existait pas chez l'homme auparavant, mais qui se lie de façon extraordinairement élevée aux récepteurs humains, ce qui est très surprenant. Il est presque parfaitement adapté à l'homme, et il ne pourrait l'être plus.L'adjonction artificielle de séquences de VIH et de paludisme, la création d'un site de clivage de type furine, l'introduction de quatre acides aminés supplémentaires, la modification d'un centre de contrôle, une adaptation extraordinaire à l'être humain... Tous ces éléments prouvent qu'il s'agit d'un virus conçu par des êtres humains. Et n'oubliez pas qu'il ne s'agit là que des preuves présentées par les rares scientifiques qui ont osé s'exprimer.
Conçu dans quel le but ?
Si le Sras-Cov-2 a été créé par l'homme, la question suivante est : « quelles sont les propriétés apportées dans la fabrication du Sras-Cov-2 par rapport à celles qui existent chez ses ancêtres naturels ? »
Pour répondre à cette question, comparons le Sras-Cov-2 à ses apparentés naturels, le SRAS — syndrome respiratoire aigu sévère — et le SRMO [ou MERS selon l'acronyme anglais plus utilisé - NdT] — syndrome respiratoire du Moyen-Orient — qui sont deux des quelques rares coronavirus à même d'infecter les humains. Nous inclurons également dans cette comparaison la grippe saisonnière (virus Influenzae).
Transmissibilité
Le taux de transmission (R0) mesure le nombre moyen de personnes contaminées par un seul porteur. Le R0 pour le Sras-Cov-2, est compris entre 3 et 5. C'est plusieurs fois supérieur au SRAS, avec un R0 égal à 1,8 et au MERS dont le R0 est inférieur à 1. De même, la grippe saisonnière est modérément contagieuse avec un R0 d'environ 1,3.
Pathogénicité
Des tests de masse effectués en Islande ont révélé que 50 pour cent des porteurs du Sras-Cov-2 sont asymptomatiques. Ce chiffre est conforme au cas du Diamond Princess où 75 pour cent des porteurs étaient asymptomatiques. Le SRAS et le MERS sont nettement plus pathogènes, avec respectivement seulement 7 à 13 pour cent et 25,4 pour cent de porteurs sains. La grippe saisonnière présente un pouvoir pathogène tout aussi élevée avec une fraction asymptomatique comprise entre 4 et 28 pour cent.
Mortalité
Les pays qui n'ont pas effectué de tests massifs fournissent un taux de mortalité artificiellement gonflé parce que le nombre de personnes infectées a tendance à être sous-évalué étant donné la forte proportion de porteurs asymptomatiques décrite ci-dessus.
L'Islande fut l'un des rares pays à effectuer des dépistages massifs et elle affiche un taux de mortalité de 0,5 pour cent, soit exactement le même nombre que celui observé à bord du Diamond Princess. Néanmoins, ce pourcentage a tendance à être surestimé parce qu'il amalgame « mort avec le Sras-Cov-2 » et « mort à cause du Sras-Cov-2 », malgré des facteurs de comorbidité évidents.
En outre, les incitations financières accordées pour les décès dus au Covid-19, les décès dus à la grippe saisonnière presque inexistants cet hiver (comptés plutôt comme des décès dus au Covid-19) et les faux certificats de décès ont tous contribué à surestimer encore plus le taux de mortalité dû au Covid-19.
En dépit de ces chiffres surestimés, le SRAS affiche un taux de mortalité beaucoup plus élevé avec 9,5 pour cent, et le MERS est 68 fois plus mortel avec un taux de mortalité de 34 pour cent. En général, la grippe saisonnière présente un taux de mortalité de 0,1 pour cent, ce qui est comparable au taux du Sras-Cov-2 une fois les chiffres surgonflés mis de côté.
Effets neurologiques
Le Sras-Cov-2 présente un pourcentage étonnamment élevé d'effets neurologiques. Selon les sources, entre 36 pour cent et 84 pour cent des patients atteints du Covid-19 présentent des effets neurologiques.
Par ailleurs, le Sras-Cov-2 induit un large éventail de symptômes neurologiques : vitesses cognitives plus lentes que la normale, pertes de mémoire, troubles de la concentration, confusion, agitation grave, encéphalite, convulsions, engourdissements, accidents vasculaires cérébraux, vertiges, thromboses des sinus veineux cérébraux, hémorragies cérébrales, maux de tête, pertes de goût et/ou pertes d'odorat.
Le SRAS présente également des effets neurologiques, mais leur occurrence est rare avec environ 2,5 pour cent, et leur portée est étroite. Entre 8 pour cent et 24 pour cent des porteurs du MERS présentent des symptômes neurologiques, principalement des confusions et des convulsions. La grippe provoque également chez 5 pour cent des patients quelques symptômes neurologiques comme les encéphalopathies et les convulsions.
Une étude publiée le 4 juin révèle qu'une hypoperfusion fronto-temporale a été constatée sur toutes les IRM cérébrales améliorées réalisées chez des patients atteints du Covid-19. Ce résultat suggère que le Sras-Cov-2 pourrait particulièrement affecter cette région spécifique, dont la pathologie la plus fréquente est connue sous le nom de démence fronto-temporale, l'un de ses principaux symptômes étant l'obéissance automatique. De même, chez les personnes en bonne santé soumises à des expériences de type Milgram, l'obéissance aux autorités est associée à une moindre activité de la région fronto-temporale. Dans le même ordre d'idées, lorsqu'on demande aux sujets de prendre une décision ayant un contenu moral, c'est le lobe temporal qui devient actif.
Le tableau ci-dessous récapitule nos principales conclusions :
À ce stade, nous connaissons certaines des spécificités d'un probable Sras-Cov-2 d'origine humaine par rapport à ses apparentés que sont le MERS, le SRAS et, dans une moindre mesure la grippe saisonnière. Nous pouvons peut-être alors en déduire les objectifs des concepteurs du virus.
Le Sras-Cov-2 n'était assurément pas conçu pour tuer ; bien au contraire, les porteurs devaient rester en vie — faible taux de mortalité. Qui plus est, les porteurs devaient rester indiscernables — faible pathogénicité — et le virus devait se propager largement — haute transmissibilité.
Le Sras-Cov-2 a été conçu pour se propager de manière étendue et silencieuse et pour atteindre le cerveau dans le but d'affecter la région relative aux décisions fondées sur la morale et l'obéissance. Quelles sont les modifications cérébrales visées par les concepteurs ? La finalité du virus était-elle d'accroître l'obéissance ?
Laissons ces questions en suspens un instant et examinons de plus près la Mecque des virus artificiels et du contrôle mental : Fort Detrick.
Fort Detrick et les virus
À l'aube de la Seconde Guerre mondiale, les États-Unis détenaient déjà le leadership en matière de production d'armes biologiques et chimiques avec Edgewood Arsenal, la plus grande infrastructure au monde dotée d'un effectif de mille deux cents chercheurs [c'est aussi la plus ancienne, utilisée dès la Première Guerre mondiale dans le développement des armes chimiques - NdT].
En 1943, le développement d'armes biologiques et chimiques fut transféré à Fort Detrick. Afin d'acquérir encore plus de connaissances sur les armes biologiques, les États-Unis ont accordé l'immunité à d'éminents scientifiques Nazis comme Erich Traub, un virologue spécialisé dans la fièvre aphteuse, la peste bovine et la maladie de Newcastle. Il dirigeait sur l'île de Riems [en mer Baltique - NdT] le laboratoire de la plus importante infrastructure d'armement biologique du Reich.
Plusieurs mois après le début de son contrat établi dans le cadre de l'Opération Paperclip, Traub fut invité à rencontrer des scientifiques américains de Fort Detrick [...]. Traub y discuta du travail effectué pour les nazis sur l'île de Riems à l'Institut de recherche des Maladies virales animales du Reich pendant la Seconde Guerre mondiale, et du travail qui y fut effectué pour les Soviétiques après la guerre. Traub donna une explication détaillée de l'opération secrète menée à l'Institut, comme des travaux qu'il y conduisait. Ces informations ont permis de fournir le cadre initial des travaux entrepris sur Plum Island par le laboratoire de recherche bactériologique sur les maladies animales du Centre de recherches de Fort Detrick.En échange du transfert à Fort Detrick des connaissances sur les armes biologiques, les États-Unis ont également accordé l'immunité aux dirigeants de la tristement célèbre Unité 731 — une unité militaire japonaise de recherche bactériologique secrète — qui pratiquait la vivisection [sans anesthésie sur des cobayes humains et effectuaient des recherches sur diverses maladies comme la peste, le typhus et le choléra en vue de les utiliser comme armes bactériologiques - NdT]. Ces expérimentations bactériologiques ont entraîné la mort de plus de 300 000 citoyens chinois [dont des femmes et des enfants, tous prisonniers de guerre - NdT].
~ Michael C.Carroll, Lab 257: The Disturbing Story of the Government's Secret Germ Laboratory [« Lab 257 : l'histoire troublante du laboratoire gouvernemental de recherches secrètes en bactériologie de Plum Island », ouvrage non traduit en français - NdT] - pages 7 - 8 - New York : Harper Collins Publishers, 2004
Dans les années 1950, Fort Detrick expérimentait déjà un grand nombre de virus et autres germes :
L'Opération Harness, un programme expérimental qui n'a pas connu le succès escompté, impliquait des équipes de microbiologistes américains, britanniques et canadiens qui ont pulvérisé des agents virulents comme l'anthrax, la brucellose et la tularémie sur les Bahamas, Antigua et les Nouvelles-Hébrides. [...] D'autres projets moins connus de lutte contre les maladies sexuellement transmissibles entrepris avant l'officialisation d'une collaboration avec la CIA consistaient à tester les effets de l'empoisonnement à la salmonelle, de pulvérisations de la toxine botulique, du kala-azar (une maladie parasitaire [la leishmaniose viscérale aussi appelée fièvre noire - NdT]), du lymphogranulome inguinal (un virus semblable à l'herpès), du pian et, ce qui est peut-être le plus inquiétant, à développer « la capacité d'induire le cancer par des moyens furtifs ».Les expériences de guerre bactériologique ont été menées sur des sujets non consentants et ont causé un certain nombre de morts dans des pays « ennemis », des pays du tiers monde, des pays « alliés » comme la France [comme à Pont-Saint-Esprit - NdT] et les États-Unis — et pas seulement sur des prostituées, des détenus ou des malades mentaux, mais sur des « citoyens normaux » — comme lors de l'exposition de 800 000 habitants de San Francisco à des Serratia marcescens.
~ Hank Albarelli, A Terrible Mistake
En 1969, au milieu d'énormes manifestations contre la guerre du Vietnam et des révélations croissantes de l'utilisation contre les populations civiles de l'agent orange — créé par les biochimistes de Frederick Hoffman et de Fort Detrick — et du napalm, le président Nixon annonçait une prétendue interdiction de l'utilisation des armes chimiques et biologiques. Il s'agissait cependant d'une fausse interdiction, comme le montre la convention signée en 1972 :
Les États-Unis limiteront leur recherche biologique à des mesures défensives telles que l'immunisation et les mesures de sécurité.Fondamentalement, le seul changement apporté à la situation précédente fut que les États-Unis n'avaient dès lors plus qu'à pointer du doigt un prétendu bioterroriste pour poursuivre — ou plus tard « justifier » — ses recherches sur une arme biologique en particulier. Et c'est exactement ce qu'ils ont fait avec l'histoire de l'anthrax en Irak. L'Irak développait prétendument des armes biologiques à l'anthrax, et ce fut une des excuses invoquées pour lui faire la guerre. C'est le même bacille du charbon qui a été envoyé par courrier par des « bioterroristes » quelques semaines après le 11-Septembre — moment opportun s'il en est pour stimuler la frénésie du « méchant terroriste musulman ».
Finalement, les enquêtes ont révélé que l'anthrax ne venait pas d'Irak mais de Fort Detrick. Un fait bien embarrassant. Mais un bouc-émissaire fut commodément vite trouvé. Selon le FBI, les lettres à l'anthrax avaient été envoyées par un employé fou : Bruce Edwards Ivins, un microbiologiste primé qui avait travaillé à Fort Detrick pendant dix-huit ans.
Dix ans plus tard, une analyse scientifique des souches d'anthrax menée par la National Academy of Science a conclu que le FBI avait surestimé la force de l'analyse génétique reliant l'anthrax envoyé par la poste à un stock conservé par Bruce E. Ivins. L'anthrax provenait de Fort Detrick, mais Ivins n'était probablement pas le coupable. Ivin est mort en 2008, prétendument d'une overdose de tylénol. Aucune autopsie n'a été pratiquée, et le corps a été rapidement incinéré. Quand on est mort, on ne peut rien raconter.
Aujourd'hui, les scientifiques de Fort Detrick mènent toujours des recherches intensives pour concevoir des armes biologiques en général, et d'autres pour développer des virus artificiels plus particulièrement. Par exemple, en 2016, Fort Detrick a participé à des recherches relatives à l'utilisation de chauves-souris et des virus dont elles sont porteuses pour la fabrication d'armes biologiques. En 2018, Fort Detrick a mené des recherches sur le coronavirus MERS, un proche parent du Sras-Cov-2.
Fort Detrick utilise également une technologie avancée appelée CRISPR-Cas9 pour extraire des virus certaines séquences génétiques bien précises. Selon un article publié en 2017 dans Nature, les équipes de Fort Detrick ont utilisé cette technologie pour extraire des séquences virales codant pour un « site de clivage de la furine ». Coïncidence ou pas, il s'agit selon certains chercheurs de l'inattendu site de clivage de la furine trouvé dans le Sras-Cov-2 qui lui confère sa virulence exceptionnellement élevée et prouve qu'il est d'origine humaine.
Ce qui précède concerne l'étendue des recherches accessibles au public qui émanent de Fort Detrick. Étant donné qu'il s'agit d'un site militaire étroitement lié à la CIA où le secret est primordial, Fort Detrick et les laboratoires qui lui sont associés dans le monde entier opèrent au sein de réseaux fermés de communication et de publication.
Fort Detrick et le contrôle mental
Parallèlement à la recherche et à la conception d'armes biologiques, Fort Detrick est fortement impliqué dans le contrôle mental. Après la Seconde Guerre mondiale, les méthodes utilisées comprenaient l'utilisation de diverses drogues — héroïne, mescaline, LSD, MDMA, THC synthétique et morphine — mais aussi l'usage du polygraphe, de l'électrochoc, d'« aides mécaniques », de la lobotomie, de l'hypnotisme, de la fatigue, de l'isolement, de la privation sensorielle et de la torture.
MK-Ultra est le programme de contrôle mental le plus connu en raison des révélations sur les horribles expériences menées par Sydney Gottlieb, chimiste de la CIA et responsable de certaines expériences de contrôle mental à Fort Detrick, et par le Dr Ewen Cameron de l'Institut Allan Memorial de Montréal. Mais ce n'était que la partie émergée de l'iceberg ; les expériences qui ont été divulguées ne constituaient qu'une partie du sous-projet 68, l'un des 144 sous-projets contenus dans MK-Ultra.
MK-Ultra s'est ramifié en de nombreuses autres « voies de contrôle du comportement humain, y compris les radiations, les électrochocs, divers domaines de la psychologie, de la psychiatrie, de la sociologie, de l'anthropologie et de la graphologie, ainsi que l'usage de substances [psychoactives à des fins de] harcèlement [sexuel], et des dispositifs et matériels paramilitaires [disponibles - Notes du Traducteur] ».
Suite aux révélations du sous-projet 68, MK-Ultra a officiellement été arrêté en 1964. À vrai dire, il n'a pas pris fin en 1964 ; il a simplement été rebaptisé « Projet MK-Search ».
En outre, MK-Ultra n'était qu'un des nombreux programmes consacrés au contrôle mental ; les autres programmes connus sont Artichoke, Bluebird, QK-Hilltop, Chemical Corps, MK-Naomi, MK-Shade. Tous étaient consacrés à la compréhension de l'esprit humain et à la découverte de toutes les méthodes possibles pour le contrôler.
Le but ultime des expériences de manipulation mentale menées à Fort Detrick et dans ses innombrables organisations satellites — laboratoires, hôpitaux, sociétés de biotechnologie, sociétés pharmaceutiques et prisons — fut parfaitement résumé en 1952, lorsque Paul Gaynor, chef du Service de recherche sur la sécurité de la CIA, décrivit l'objectif d'Artichoke :
[Gaynor] a posé au chef du bureau médical de la CIA la question ultime relative au projet : « Pouvons-nous contrôler un individu au point qu'il se soumettra à nos ordres contre sa volonté et même contre des lois aussi naturellement fondamentales [que] l'auto-préservation ? »Les deux principaux axes de recherche effectués à Fort Detrick — à savoir les armes biologiques et le contrôle mental — n'étaient pas cloisonnés. De l'aveu même de la CIA au ministère américain de la justice lors de l'enquête de 1975, MK-Ultra, centré sur Fort Detrick, a associé les matières biologiques et le contrôle mental :
Les activités [MK-Ultra] qui concernaient la recherche et le développement de matériaux chimiques, biologiques et radiologiques pouvant être utilisés dans des opérations clandestines pour contrôler le comportement humain.Cette association est confirmée par la documentation des expériences combinant maladies infectieuses et comportement humain qui ont été menées dès 1959 :
Milwaukee (AP) — La CIA a recruté des scientifiques de l'université du Wisconsin pour deux expériences entre 1959 et 1962, rapporte le Milwaukee Journal dans son édition d'aujourd'hui. Les documents obtenus par le journal indiquent que les administrateurs de l'université n'ont peut-être pas été informés de l'implication de la CIA dans les projets de recherche. Cependant, les documents montrent que les scientifiques connaissaient le parrainage de la CIA et les objets de la recherche. Les expériences portaient sur les maladies infectieuses et le comportement humain.Sydney Gottlieb [le chimiste de la CIA, comme vu quelques paragraphes au-dessus - NdT] était doctorant sous la direction d'Ira Baldwin à l'université du Wisconsin. Le Dr Ira Baldwin a fini par diriger le département de bactériologie de l'université avant de devenir le directeur de la recherche scientifique de Fort Detrick [en 1943 - NdT].
~ Glenn E. Tagatz, ENIGMA: A Veteran's Quest for Truth [« ÉNIGME : la quête de vérité d'un ancien combattant », ouvrage non traduit en français - NdT]
Ce qui précède montre que la convergence entre les maladies infectieuses et la recherche sur le comportement humain a commencé il y a plus de soixante ans. Depuis lors, ces deux domaines de recherche ont fait d'énormes « progrès ».
Un document mentionné ci-dessus décrit les virus génétiquement modifiés pour modifier le comportement, dans une étude publié en 2011 par une équipe de Rostock. Si un modeste laboratoire de Rostock pouvait publier en 2011 un document sur un virus génétiquement modifié pour modifier le comportement, vous pouvez imaginer ce que Fort Detrick est capable de créer secrètement aujourd'hui.
Aujourd'hui, Fort Detrick est la principale base de l'armée américaine pour la recherche biologique et le contrôle mental. Elle emploie près de huit mille personnes au sein de six cents bâtiments sur un terrain de cinq mille deux cent cinquante hectares. Au cours des soixante-dix dernières années, elle a investi des milliards de dollars dans le contrôle mental et la création de virus.
Conçu en Chine ou conçu aux États-Unis ?
Le laboratoire de niveau 4 de Wuhan est une installation civile qui recherche des traitements contre les virus existants, tandis que Fort Detrick est la plus grande installation militaire de fabrication d'armes biologiques au monde, et l'une de ses activités principales consiste à créer de nouveaux virus d'origine humaine. Le Sras-Cov-2 est un nouveau virus et, comme indiqué ci-dessus, il est probablement d'origine humaine.
Le laboratoire de Wuhan créé en 2015 ne pèse pas bien lourd face aux décennies d'activité dans le domaine des armes biologiques et du contrôle mental de Fort Detrick. Le seul argument en faveur d'un Sras-Cov-2 créé à Wuhan se résume à un « patient zéro » supposément localisé sur un marché de Wuhan en décembre 2019. Cette allégation a rapidement été démentie par un article [se référant à une étude publié dans The Lancet - NdT] suggérant que le marché de Wuhan n'était pas le lieu d'origine de l'épidémie.
Alors qu'il n'y a aucun patient zéro à Wuhan, une série d'épidémies mystérieuses près de Fort Detrick précèdent de plusieurs mois celle de Wuhan.
Le 2 juillet 2019, une mystérieuse épidémie respiratoire s'est déclarée dans la maison de retraite Greenspring Senior Living Community, située à Springfield en Virginie, à seulement quatre-vingts kilomètres de Fort Detrick. Rétrospectivement, les symptômes décrits sont très proches de ceux associés au Sras-Cov-2. Les statistiques épidémiologiques — pour les personnes âgées — sont également similaires à celles du Sras-Cov-2 ; parmi les deux cent soixante-trois résidents, soixante-trois sont tombés malades et trois sont morts.
Les tests de laboratoire effectués par le CDC n'ont pas permis d'identifier une cause spécifique à cette mystérieuse maladie respiratoire. Rappelons qu'à l'époque, le Sras-Cov-2 était inconnu — et donc indétectable — puisque sa découverte officielle fut annoncée par l'OMS le 9 janvier 2020.
Springfield n'était pas un cas isolé. Une augmentation inhabituelle de maladies respiratoires situées au sein de seize foyers infectieux distincts qui s'est étendue au moins jusqu'en décembre 2019 fut signalée par la Virginie. Ces maladies respiratoires ont atteint des patients présentant des troubles typiques à ceux du Covid-19 :
La plupart des signalements ont été effectué dans des établissements de vie assistée et de soins de longue durée et concernaient des adultes âgés et des personnes souffrant de maladies chroniques.Le 26 juillet, vingt-quatre jours après l'épidémie de Springfield, un autre mystérieux syndrome respiratoire — rapidement attribué à la cigarette électronique — est apparu dans l'Illinois et le Wisconsin, avec huit personnes hospitalisées en raison de symptômes qui rappellent, une fois de plus, le Covid-19 :
Les scanners et les rayons X ont montré une inflammation ou un œdème dans les deux poumons [...] La gravité de l'état de santé a varié, certains patients ayant besoin d'une assistance respiratoire.Les scanners pulmonaires des patients révélaient un des aspects typiques du Covid-19 nommé « infiltrat en verre dépoli » [aspect de halo aux limites floues, focalisé ou diffus, sans systématisation - NdT].
Dans les mois qui ont suivi, le « syndrome de cigarette électronique » s'est rapidement étendu à d'autres États américains. Il atteignait au 20 septembre neuf cent huit cas et trois décès. L'augmentation exponentielle des cas est clairement évocatrice d'une maladie contagieuse.
Si cette mystérieuse maladie respiratoire est due à la cigarette électronique, comment expliquer qu'elle ait commencé dans le nord-est des États-Unis et ne se soit produite qu'aux États-Unis, alors que le nombre de « vapoteurs » dans le monde entier dépasse en 2018 les quarante millions ? À propos de ce « syndrome de cigarette électronique », John Britton, professeur britannique de médecine respiratoire, a déclaré :
Ce qui se passe aux États-Unis ne se passe pas ici (en Grande-Bretagne), ni dans aucun autre pays où l'usage de la cigarette électronique est répandu.Britton ajoute que vapoter est bien moins dangereux que de fumer, que les affirmations sont complètement fausses et que le syndrome n'est pas causé par les vapoteuses. Au moment du début officiel de la pandémie de Sras-Cov-2, le mystérieux syndrome de cigarette électronique qui avait alors nécessité deux mille huit cents hospitalisations et causé soixante-dix décès, disparaissait comme par magie — bien qu'un grand nombre de personnes aux États-Unis continuent de vapoter.
Vers la fin 2019, les États-Unis ont également connu la plus précoce épidémie de grippe depuis 2002-2003. La « grippe » était en avance de quinze jours par rapport à la normale. Selon l'Asahi News Report, certains des quatorze mille Américains qui sont morts « de » — ou avec — cette « grippe précoce » pourraient avoir contracté le Sras-Cov-2 sans le savoir.
C'est dans ce contexte de mystérieuses épidémies respiratoires frappant les États-Unis en général, et les environs de Fort Detrick en particulier, que trois cents soldats américains sont arrivés à Wuhan, en Chine, pour les 7e Jeux mondiaux militaires d'été qui se sont tenus du 18 au 27 octobre 2019. Juste avant le voyage, certains de ces soldats américains s'étaient entraînés à Fort Belvoir, situé à quatre-vingt kilomètres de Fort Detrick et à neuf kilomètres de Springfield, en Virginie — le premier foyer infectieux de la mystérieuse maladie respiratoire.
L'équipe américaine a séjourné à l'hôtel Wuhan Oriental, qui se trouve à seulement trois cents mètres du marché Huanan de Wuhan.
De manière surprenante, l'équipe des États-Unis ne fut lors de ces jeux militaires pas très performante :
L'équipe américaine, connue pour ses capacités compétitives, a réalisé des performances déplorables ; seulement cent soixante-douze athlètes militaires étaient présents [sur les trois cent soixante-neuf initiaux - NdT] et presque la moitié d'entre eux n'ont même pas participé aux épreuves.Bien qu'ils possèdent une des plus grandes armées du monde, les États-Unis sont arrivés en 35e position derrière des nations comme l'Iran, la Finlande et la Slovénie.
Il semble que la mystérieuse épidémie infectieuse qui s'est produite autour de Fort Detrick quelques semaines auparavant ait pu infecter des participants à ces Jeux mondiaux militaires. Cinq athlètes « étrangers » ont été hospitalisés pour une infection indéterminée. De nombreux athlètes étrangers venus de France, de Belgique, d'Allemagne, d'Italie, de Suède, ou du Luxembourg ont révélé qu'ils étaient tombés malades lors de ces Jeux et ont pensé, rétrospectivement, qu'ils avaient contracté le Covid-19.
Le premier vrai cas de Covid-19 parmi les habitants de Wuhan est apparu le 2 novembre, six jours seulement après la fin des jeux militaires. Coïncidence ou pas, quarante-deux employés de l'hôtel Oriental — lieu de séjour de la délégation américaine — ont été en novembre diagnostiqués positif au Covid-19, constituant ainsi le premier foyer infectieux de Wuhan.
Comme par hasard, Fort Detrick a reçu du CDC une ordonnance de cessation et d'abstention et fut fermé le 15 juillet 2019, treize jours seulement après le début de la mystérieuse épidémie respiratoire à Springfield, en Virginie. Un scientifique chevronné a décrit l'atmosphère de Fort Detrick d'alors comme étant « marquée par la peur et la suspicion ». Fort Detrick a ouvert à nouveau en avril 2020, alors que la pandémie était en déclin.
Un vaccin favorisant l'obéissance a-t-il muté en virus qui favorise la désobéissance ?
Jusqu'à présent, les données suggèrent que Fort Detrick a mis au point le Sras-Cov-2. Contenu dans un vaccin, il pourrait avoir ciblé les fonctions cérébrales, en particulier les régions associées à la prise de décision en matière d'obéissance et de morale. Mais si le Sras-Cov-2 a été conçu pour accroître l'obéissance de ceux qui y sont exposés, comment expliquer les mesures sans précédent prises au niveau mondial pour minimiser sa propagation ?
Eh bien, parfois les choses ne se passent pas comme prévu, surtout avec les virus.
Les vaccins sont censés contenir des virus « morts », mais cette désactivation virale ne fonctionne pas toujours et des virus « vivants » peuvent s'en affranchir. C'est exactement ce qui s'est produit avec le vaccin contre la polio de Salk qui a provoqué [aux États-Unis - NdT] la pire épidémie de polio de l'histoire en infectant deux cent mille personnes avec des souches vivantes de poliovirus, dont quarante mille ont développé la maladie [qui a paralysé à des degrés divers deux cents enfants et en a tué dix - NdT].
En plus d'échapper aux vaccins, les virus ont une considérable aptitude à muter. Il est intéressant de noter que les mutations peuvent totalement inverser les effets « originaux » ou « voulus » d'un virus :
[...] un virus non muté était plus susceptible de produire beaucoup d'ARN viral et moins susceptible de déclencher l'alarme cellulaire. Les virus mutés avaient généralement l'effet inverse.Le Sras-Cov-2 a-t-il suivi la séquence des événements décrits ci-dessus ?
- Le virus est créé ;
- Le virus est incorporé dans un vaccin ;
- Le virus s'affranchit du vaccin ;
- Le virus mute et inverse ses effets.
1 — Le virus est créé
En dépit du secret inhérent à ce type d'activité, plusieurs éléments de preuve suggèrent que Fort Detrick était impliqué dans des recherches étroitement liées à l'ingénierie du Sras-Cov-2.
- En 2016, Fort Detrick a participé à des recherches sur les armes biologiques impliquant l'utilisation de chauves-souris et des virus dont elles sont porteuses ;
- En 2017, le gouvernement américain a levé l'interdiction de développer des virus mortels dans le but de les rendre transmissibles entre humains. Cet article mentionne spécifiquement l'ingénierie du SRAS et du MERS — proches parents du Sras-Cov-2 — afin qu'ils se propagent plus facilement ou deviennent plus mortels ;
- Fort Detrick utilise également une technologie avancée appelée CRISPR-Cas9 pour extraire des virus des séquences génétiques spécifiques. Selon une étude publiée en 2017, les équipes de Fort Detrick ont utilisé cette technologie pour l'extraction de séquences virales codant pour un « site de clivage de la furine » ;
- En 2018, des recherches ont été menées à Fort Detrick, axées sur le coronavirus MERS, un proche parent du Sras-Cov-2.
Depuis plus de deux siècles, les soldats américains sont utilisés comme cobayes pour les vaccins. Chaque année, de nouveaux vaccins sont testés sur les troupes. L'une des nombreuses inoculations administrées vers 2018 pourrait avoir contenu le Sras-Cov-2, y compris le vaccin annuel obligatoire contre la grippe, ou l'un de ces nouveaux vaccins à base de coronavirus :
En 2018, la CEPI a financé à hauteur de cinquante-six millions de dollars le programme d'Inovio pour le développement d'un vaccin à ADN contre le coronavirus responsable du MERS. L'USAMRIID — Fort Detrick — était partenaire de ce programme.Toujours en 2018, un brevet — déposé en 2015 — a été accordé pour un vaccin contenant un coronavirus artificiel. Ce vaccin a été financé par l'OMS et la Fondation Bill & Melinda Gates :
La présente invention fournit un coronavirus vivant, bien qu'atténué, comprenant une variante d'un gène de réplicase codant pour des polyprotéines comportant une mutation au sein d'une ou de plusieurs protéines non structurelles [...] Le coronavirus peut, chez un sujet, être utilisé comme vaccin pour traiter et/ou prévenir une maladie, telle que la bronchite infectieuse.3 — Le virus s'affranchit du vaccin
Le virus s'est probablement affranchi du vaccin vers le début de l'été 2019, comme le suggère l'apparition d'étranges maladies respiratoires qui ont commencé près de Fort Detrick et se sont propagées au reste des États-Unis en quelques mois. Jusqu'alors, le virus était contenu dans le vaccin.
4 — Le virus mute et inverse ses effets
Entre la première inoculation du vaccin, probablement en 2018, et la fin de l'année 2019, le Sras-Cov-2 a muté. Les tests de masse effectués en Islande ont révélé quarante mutations du virus. Une étude publiée en mars 2020 est allé plus loin en identifiant cent quarante-neuf sites de mutations et deux souches distinctes : la lignée L et la lignée S.
La lignée L présente un nombre nettement plus élevé de mutations, tandis que la lignée S est davantage liée aux coronavirus présents chez les animaux. Ce qui suggère que la lignée S est la souche contenue à l'origine dans le vaccin — obéissance — tandis que la lignée L est la souche apparue après la mutation — désobéissance.
En septembre 2019, avant l'épidémie de Wuhan, mais après les mystérieuses maladies respiratoires aux États-Unis, le président Trump signait un décret exécutif « d'urgence » qui donnait cent vingt jours pour développer un nouveau vaccin contre la grippe, « juste au cas où ».
Confiner pour réduire la propagation, pas la mortalité
Nous avons assisté à deux « confinements » très distincts. Le premier à Wuhan fut décidé face à un virus encore inconnu, du moins pour les scientifiques chinois. Le second fut mondial — bien que principalement occidental — et imposé par quiconque contrôle l'OMS, après qu'il ait été établi que le Sras-Cov-2 n'était pas plus mortel qu'une grippe ordinaire.
Les pouvoirs publics de Wuhan ont pris une décision logique. À l'époque, le virus était inconnu et aucun traitement n'avait encore été mis au point. Les responsables chinois ont identifié un groupe infectieux dont la date et le lieu correspondent à la période où les soldats américains étaient à Wuhan. Ils soupçonnaient à juste titre une arme virale potentiellement mortelle fabriquée aux États-Unis — comme ils l'ont déclaré dès le mois de mars.
Comme au Moyen-Âge lors de la peste noire, le confinement était la seule solution. En l'absence de remède, il s'agit d'une tentative de minimiser la propagation du virus en évitant tout contact social.
Mais les virologistes chinois ont rapidement déterminé que le Sras-Cov-2, bien que mis au point aux États-Unis, n'était pas pire qu'une grippe saisonnière et que des traitements efficaces étaient disponibles. Le confinement fut rapidement levé. Remarquez qu'en Chine, Wuhan ne constitue qu'une minuscule région géographique. Le reste de la Chine ne connaît qu'un confinement limité, voire aucun. La Chine et les pays voisins ont rapidement adopté une approche de dépistage-traitement qui fut couronnée de succès : le taux de mortalité en Chine est estimé à 0,6 pour cent.
Le confinement imposé en Occident était une tout autre histoire. À cette époque, il était clair que le Sras-Cov-2 ne représentait pas le nouveau fléau annoncé ; en outre, des kits de dépistage et des traitements efficaces — association d'hydroxychloroquine, d'azytromycine, et de zinc [pour son pouvoir anti-viral - NdT] — étaient disponibles. Il existait donc une meilleure solution pour « sauver des vies » que les mesures de confinement [qui ont été prises par les Occidentaux - NdT].
Le confinement total imposé à des milliards d'individus incarne la ligne de force développée dans cet article. Plutôt que de « sauver des vies », les pouvoirs publics choisiront toujours d'exercer leur contrôle. Si nécessaire, ils sacrifieront des vies pour le préserver ou l'accroître. C'est exactement ce qui s'est produit avec le confinement occidental, qui a non seulement augmenté le taux de mortalité du Covid-19 (pas d'immunité collective, pas de dépistage, pas de traitement précoce), mais aussi le taux de mortalité global en raison d'une augmentation des suicides, des dépressions, de la pauvreté, et des soins médicaux retardés ou annulés.
Dans la perspective de « sauver des vies », les pouvoirs publics occidentaux ont délibérément choisi la pire solution parce que c'était la meilleure en termes de contrôle. Même s'ils étaient conscients qu'elle entraînerait un certain nombre de morts inutiles, les pouvoirs publics ont opté pour le confinement dans le but de minimiser la propagation de ce que je soupçonne être une mutation « bénéfique » de désobéissance.
Le confinement a reposé sur le postulat selon lequel « le Covid-19 est mortel », et nous devions donc rester chez nous pour sauver des vies. À dire vrai, le virus n'est pas du tout mortel, mais le confinement, lui, l'est. Une prophétie auto-réalisatrice, dans laquelle le remède — le confinement — a causé plus de morts que la maladie — le Covid-19. Un certain nombre de décès causés par le confinement ont été comptabilisés comme des décès dus au Covid-19, ce qui fait que l'affirmation initiale bidon selon laquelle le Covid-19 est mortel semble apparemment vraie.
Remarquez que trois des pays qui ont imposé un confinement total — France, Italie, Belgique — ont également interdit l'usage d'un médicament efficace, bon marché et sans danger : l'hydroxychloroquine. Il n'est pas surprenant que ces trois pays affichent des taux de mortalité parmi les plus élevés au monde comme indiqué dans le graphique ci-dessus.
Conclusion
Nous avons tout au long de cet article examiné les preuves suggérant que le Sras-Cov-2 a été fabriqué à Fort Detrick et qu'il a été incorporé dans un vaccin dans le but explicite de se propager à grande échelle et d'affecter les fonctions neurologiques associées à l'obéissance.
Il semble que ce projet ait toutefois échoué, d'abord parce que le « virus de l'obéissance » a muté en un « virus de la désobéissance », ce qui a contraint les pouvoirs publics à prendre — à tout prix — des mesures hâtives en vue de limiter la propagation du mutant bénéfique.
Le confinement général fut une tentative désespérée de minimiser la propagation des effets potentiellement bénéfiques de la mutation du Sras-Cov-2. Mais il a une fois de plus eu l'effet inverse parce que le confinement semble avoir augmenté le taux de transmission :
Étude gouvernementale sur la séroprévalence du Covid-19 en Espagne : parmi les travailleurs, ceux qui exerçaient une « profession essentielle » et qui ont continué à travailler ont été moins contaminés que ceux qui sont restés chez eux. Ce constat devrait conduire à une réflexion sur le rôle du confinement général.Les pouvoirs publics n'ayant pas réussi à contenir la propagation du virus mutant bénéfique, l'une des seules options encore à leur disposition consiste à en annuler les effets bénéfiques. Ils préparent donc activement le public à ce qui va suivre ; depuis plusieurs mois, on ne cesse d'entendre parler de la « deuxième vague » et du « vaccin contre le Covid-19 ».
Ce qui suit n'est qu'une prédiction émise dans un contexte très chaotique. Il est probable qu'une épidémie de grippe apparaîtra d'ici la fin de l'année 2020, comme chaque année. Ce virus sera, comme par hasard, considéré comme un proche parent du Sras-Cov-2, qui présentera peut-être des « caractéristiques supplémentaires terrifiantes ».
Nul besoin toutefois de désespérer, car à ce moment-là, les pouvoirs publics auront préparé un vaccin. C'est l'une des raisons pour lesquelles l'hydroxycholoroquine a été interdite. Si un traitement sûr et efficace existe déjà, qui acceptera un vaccin précipité et inconnu ? Un vaccin qui protégera prétendument les gens contre le Covid-20, mais qui sera en réalité conçu pour « annuler » les changements bénéfiques induits par la souche mutée du Sras-Cov-2.
Fort Detrick, bien que prétendument fermé entre juillet 2019 et avril 2020, teste déjà un vaccin. N'est-ce pas un peu rapide ? Peut-être pas, étant donné que les apprentis sorciers de Fort Detrick en savent probablement déjà beaucoup sur le Sras-Cov-2 et ses effets neurologiques.
Il est probable que la vaccination ne sera pas obligatoire. N'oubliez pas que les pouvoirs publics sont devenus pour le moment « plus affables et plus dociles ». Au lieu de recourir à la force brute, ces autorités publiques sont plus susceptibles d'exercer un chantage moral : « Faites-vous vacciner pour protéger les autres ! », combiné à un chantage social : « Pas de vaccin = pas de travail, pas de shopping, pas de voyage, pas de socialisation ! ». En gros, vous êtes libre de choisir entre le passeport d'immunité ou une peine de prison à vie dans une cellule isolée.
En fin de compte, le message à retenir de cet article ne concerne pas tant le Sras-Cov-2 — qui ne constitue finalement qu'un chapitre supplémentaire dans le grand livre des mensonges proférés par les pouvoirs publics, et de la tragédie humaine qui consiste à croire à ces mensonges. Le message le plus important à retenir c'est que les pouvoirs publics ne sont pas là pour nous protéger. La connaissance constitue la seule protection dont nous disposons, y compris la connaissance viscérale que les autorités publiques ne nous protègent pas — en fait, c'est tout le contraire.
Cet article a initialement été publié en anglais le 26 juin 2020 : Sott.net
Et merci au traducteur.