Alors que les médias multiplient les controverses avec des médecins en situation de conflit d'intérêts, le vrai débat scientifique a lieu loin des caméras. Alexandra Henrion-Caude revient pour TVLibertés sur les données dont on dispose à ce jour, sur les grands sujets qui occupent - et inquiètent souvent - les Français.
Commentaires des Lecteurs
Son long propos fondé est aussi surprenant qu'éclairant
Mais il faudrait le séquencer sous la vidéo ou en dernière image (scannable) pour donner envie aux élus de bonne volonté surchargés de se contre-informer
Grand merci madame
Vivement l' "épisode" suivant annoncée.
D’autant plus qu'elle subie des attaques sur sa personne qui est nnacceptable et brise son droit à la vie privé.
On nous rabache institutuionnellement : "faites le pour les autres", cette dame nous dit que l''injection des vaccins egenerale provoque (au-dela) des effets secondaires) chez le "v
Elle précise bien que ce vaccin génique expérimental (arn) va faire que nous produirons les protéines de ce virus, voici une chose tout à fait terrifiante...nous seront génétiquement modifié.
Elle précise qu'il n'est pas recommandé aux personnes: en bonne santé, futures femmes enceintes, futurs géniteurs...
Si cette vidéo passait sur les chaines télé aux heures de grandes écoutes je parie qu'il n'y aurait que très peu de crainte.
il serait interessant d’avoir sa réponse sur cet article....
[Lien]
Les tests PCR du Covid peuvent-ils être un moyen d'infecter ou d'implanter subrepticement des personnes ?
Les tests PCR du Covid sont administrés à l'aide d'un écouvillon de 15 cm de long qui passe par le nez et va jusqu'au fond de la gorge. Pourquoi ? Le coton-tige touche la plaque sensible du...Il y a aussi ceci :
TORONTO -- Une femme présentant une malformation crânienne non diagnostiquée a commencé à perdre du liquide cérébral par le nez après avoir subi un test COVID-19 administré avec un écouvillon nasal, selon un nouveau rapport de cas.J'ai lu ensuite (mais je n'ai pas le lien) qu'elle en était morte. Elle avait 40 ans.
[Lien]
Ailleurs :
Les risques associés à un prélèvement nasopharyngé sont faibles . La plupart des personnes, y compris les enfants, s'en sortent sans effets indésirables. Après le prélèvement, les voies nasales de certaines personnes peuvent être irritées ou saigner légèrement, ce qui est toutefois peu fréquent.[Lien]
Les risques sont faibles et les effets indésirables peu fréquents, mais donc pas inexistants.
Même si ce n'est pas fréquent, on peut quand même en conclure qu'ils touchent la plaque cribriforme... C'est d'ailleurs la raison pour laquelle ce test est considéré comme très désagréable par tous ceux qui dans mon entourage l'ont fait et ont pu en témoigner. Maintenant, il s'agit d'une manœuvre médicale très pointue, et c'est la raison pour laquelle seules les personnes déjà expérimentées devraient être autorisées à le faire. Pas celles qui sont formées à la va-vite... et ça semble malheureusement être le cas un peu partout.
Les mesures de confinement n'empêchent pas les décès, la transmission ne se fait pas par contact, les masques n'apportent aucun bénéfice, les vaccins sont intrinsèquement dangereux
Les mesures sans précédent de confinement universel, de confinement institutionnel strict des maisons de soins, de masquage universel de la population, d'obsession hygiénique des surfaces et des...Troisièmement, dans l'un des plus grands scandales de l'épisode COVID-19, un test d'amplification en chaîne par polymérase par transcription inverse (RT-PCR) a été mis au point à la hâte, dans des circonstances douteuses, qui n'est ni un diagnostic de la présence de virus infectieux, ni spécifique du SRAS-CoV-2, et déployé par les États pour la confirmation de l'infection chez les individus symptomatiques, et pour les tests de masse de la population générale asymptomatique.
(...)
À la lumière de notre réexamen du protocole de test pour identifier le CoV-2 du SRAS décrit dans le document de Corman-Drosten, nous avons identifié des erreurs et des failles inhérentes qui rendent le test PCR du SRAS-CoV-2 inutile. »
Commentaire : À lire aussi :