André Bercoff de Sud Radio recevait ce 28 janvier le Professeur Didier Raoult, auteur de Carnet de guerre COVID-19-Le plus grand scandale sanitaire du XXIe siècle (Éditions Michel Lafon).
Raoult invité de Sud Radio
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Le Professeur Didier Raoult répond à toutes les questions liées à la crise sanitaire : vaccination, variants, reconfinement.


Didier Raoult était par ailleurs invité jeudi 28 janvier — aussi — sur les antennes de Radio Classique, en partenariat avec Le Figaro. Il s'est élevé contre les restrictions sanitaires actuellement débattues au sein de l'exécutif :
« On ne va pas proposer à la population de vivre entièrement cloisonnée tout le reste de l'histoire de l'humanité ! [...] C'est mieux de ne pas confiner [les gens], on va rendre tout le monde fou ! »
Il déplore par ailleurs une « société d'obèses », régie par une « émotion disproportionnée ».

Interrogé sur les variants, l'infectiologue a tenu à tacler
« les gens du Conseil scientifique, issus du monde du Sida, qui doivent savoir que les virus mutent. Un virus, c'est vivant, ça s'adapte, ça essaye de se multiplier [...] C'est étonnant qu'ils aient oublié cette notion fondamentale. »
À propos des soi-disant « vaccins » à ARNm, le Professeur Raoult répond à la question de savoir s'ils seront toujours efficaces :
« Sur le plan scientifique, il est plus dangereux de faire un vaccin sur un seul peptide que sur l'ensemble du virus**. Les choix qui ont été faits sont ultra-scientifiques. Ils ne sont pas empiriques. Le vaccin qui a été choisi, c'est un vaccin hypertechnique, fait dans des conditions de vélocité franchement pas usuelles. »
** Les soi-disant « vaccins » Pfizer et Moderna ne cible que la protéine Spike du Sras-CoV-2. Voir notre récent Focus sur le sujet : « L'ineptie des « vaccins » à ARN pour « traiter » le Covid-19 ».

Le Professeur Raoult a par ailleurs salué la « stratégie des Chinois » qui « prennent un virus circulant et l'inactivent. »

Didier Raoult appelle finalement à laisser « les gens vivre » et à permettre aux médecins de « les soigner » :
« Avec le temps, on écrira l'histoire de cette maladie en disant : À l'époque, ils étaient fous. Au lieu de soigner les gens, ils leur disaient de rester chez eux sans se soigner, et c'est l'une des choses les plus étranges de l'histoire des pays modernes. »
Que du bon sens, mais l'exécutif en a-t-il quelque chose à faire ?