Selon Valeurs actuelles, une étude, publiée le 5 janvier dernier, signée par un grand épidémiologiste de Stanford, établit que le confinement n'est pas d'une plus grande utilité que les gestes barrières.
Confinement rues vides
© Nicolas Messyasz - Sipa
Alors que le conseil de défense sanitaire s'est réuni ce vendredi pour décider et annoncer dans la foulée des restrictions sanitaires plus strictes, une étude publiée par la revue scientifique European journal of clinical investigation critique sévèrement l'impact du confinement.

Le confinement aurait-il aggravé la situation sanitaire ?

L'étude menée par John Ioannidis, un des plus grands experts en épidémiologie au monde et l'un des scientifiques les plus cités dans le monde, dit en substance la même chose que le Professeur Raoult dans son interview donnée à Sud Radio.

Cette étude souligne que le confinement et la fermeture des lieux culturels, bars et restaurants n'a été d'aucune utilité. Il n'aurait pas eu d'impacts sur le nombre de cas de contaminations et c'est même tout l'inverse. L'effet escompté par le confinement n'est pas là, comme le révèlent les chiffres analysés par l'équipe de John Ioannidis.

Le confinement a favorisé les contaminations à l'intérieur des foyers

Toujours selon Valeurs actuelles, pour arriver à ces conclusions, l'équipe de John Ioannidis a mis en place un protocole. Parmi les dix pays analysés par l'équipe : la France. Les scientifiques ont mis le nombre de contaminations dans l'hexagone — à partir du moment où le confinement a été déclaré- et les entreprises fermées, en face de celles de pays où le confinement n'a pas été prononcé. Comme cela a été le cas en Suède ou en Corée du Sud. Le résultat est sans appel. L'effet des mesures restrictives n'a presque pas apporté d'avantages en termes de contaminations.

En revanche, ce qui est certain, c'est que le confinement coûte très cher à l'économie française. Selon Capital qui se fait l'écho de l'AFP, un confinement d'un mois amputerait le produit intérieur brut d'environ un point. La France perdrait en l'espace de quatre semaines de restrictions strictes et avec la fermeture des entreprises la bagatelle de 20 milliards.

Le but de cette dette qui s'accumule est peut-être de faire passer le décret qui manque à la France pour que l'État devienne propriétaire de tous les biens immobiliers, pour cause « de crise majeure », une crise complètement créée et qui irait dans le sens de la Grande réinitialisation de Schwab et du Forum économique mondial : « L'État pourrait-il devenir copropriétaire de tous les biens immobiliers français ? ». Selon Schwab, dans dix ans
« Vous ne posséderez rien » - Et « vous en serez heureux ».
Dans dix ans, c'est l'aboutissement de l'Agenda 2030. Voir aussi Le Monde en 2030 vu par la CIA, aux Éditions des Équateurs en 2013. En fait, effectuer une recherche rien que sur Sott avec juste « Agenda 2030 » en dit long sur ce que cette année comme date « butoir » représente dans des tas de domaines... Ou serait-ce une façon de l'intégrer dans nos inconscients collectifs comme une année « inoubliable » ?

Selon un article de Armonstrong Economics partagé par Lew Rockwell :

« C'est le vrai danger auquel nous sommes confrontés — le Forum économique mondial et sa vision d'un nouvel ordre mondial vert communiste. La presse ne fera pas son travail. Car si elle le faisait, elle dévoilerait le fait que le Forum économique mondial a vendu tous ses investissements juste avant le krach. Klaus Schwab est le nouveau Karl Marx. C'est la plus grande conspiration organisée de l'histoire de l'humanité et la presse l'accueille à bras ouverts. Vous ne posséderez rien dans dix ans, mais vous n'aurez pas non plus de droits. — Vos papiers, s'il vous plaît ! »

À propos des travaux sur la science en général effectués par le Professeur John Ioannidis, voir nos articles :