Des chercheurs du Pentagone ont présenté à CBS une micropuce qui détecte[rait] le Covid-19 dans l'organisme avant l'apparition de symptômes, ainsi qu'un filtre qui pourrait extraire le virus du sang d'une personne contaminée. Toutefois, il est des personnes pour s'inquiéter que cette puce puisse servir à suivre chacun des mouvements de l'individu qui en serait muni. Et en fait, l'information date d'il y a six mois et il était alors question de mettre ce dispositif sur le marché en 2021. C'est la présentation au public qui est récente.
Infection
© Inconnu
Ces chercheurs du Pentagone qui travaillent au sein d'une unité mise en place lors de la guerre froide ont créé une micropuce à insérer sous la peau qui saurait détecter les infections au Covid-19, ainsi qu'un filtre révolutionnaire capable d'éliminer le virus du sang lorsqu'il est attaché à une machine de dialyse, a indiqué un reportage réalisé par la chaîne de télévision CBS.

L'équipe de la Defense Advanced Research Projects Agency, la DARPA — une agence du département de la Défense des États-Unis chargée de la recherche et du développement de nouvelles technologies destinées à un usage militaire, mais qui a tendance à vite devenir civil aussi ! — travaille depuis des années sur la prévention de la contamination des soldats par des maladies contagieuses et pour les protéger des armes biologiques.

Le Dr Matthew Hepburn qui présentait le micropuce a été interrogé par la chaîne et il a tenu à assurer que le Pentagone ne cherchait pas à suivre chacun des mouvements de la personne pucée, sans pour autant donner plus de détails.

Le chercheur a fait savoir que l'implant sous-cutané est actuellement en phase de test avancée, sur qui ou quoi, on ne sait pas. Cet implant consiste en un petit capteur vert qui doit tester en permanence le sang de son porteur et Hepburn a précisé que le dispositif est
« un capteur. Cette minuscule chose verte là-dedans, vous la placez sous votre peau et ce que cela vous dit, c'est qu'il y a des réactions chimiques à l'intérieur du corps qui signalent que vous allez avoir des symptômes demain. C'est comme un voyant vérifiez le moteur. Ce n'est pas une puce gouvernementale redoutée pour suivre chacun de vos mouvements, mais un gel ressemblant à un tissu conçu pour tester en permanence votre sang. »
La météorologie physiologique en avant première avec la DARPA. Certains vont certainement trouver ça génial !

Qu'en est-il de ce gel qui ressemble à un tissu ?

Selon Raul Diego dans son article de septembre 2020, la DARPA cherchait dès 2006 déjà à identifier les agents pathogènes viraux des voies respiratoires supérieures dans le cadre de son programme Predicting Health and Disease (PHD), qui a conduit à la création du Bureau des technologies biologiques (BTO) de l'agence, comme l'a rapporté Whitney Webb dans un article de mai pour The Last American Vagabond. En 2014, le BTO de la DARPA a lancé son programme « In Vivo Nanoplatforms » (IVN), qui recherche les nanotechnologies implantables, conduisant au développement de l'« hydrogel ».
« L'hydrogel est une nanotechnologie dont l'inventeur s'est très tôt vanté que « si cela fonctionne, avec l'approbation de la FDA, les consommateurs pourraient alors se faire implanter des capteurs dans leur cœur pour mesurer leurs niveaux de glucose, d'oxygène et de lactate ». Ce matériau semblable à une lentille de contact nécessite l'introduction d'un injecteur spécial sous la peau où il peut transmettre des signaux numériques lumineux par un réseau sans fil comme le 5G.

Une fois fermement implantée dans l'organisme, les cellules humaines sont à la merci de tout programme d'ARNm délivré par ce substrat, ce qui ouvre un cauchemar de possibilités. C'est peut-être la première véritable étape vers une transhumanisation totale. » (Source)
Patrick Tucker, de Defense One, explique plus en détail le fonctionnement de la biopuce. Il la décrit comme suit :
« Le capteur est composé de deux parties. L'une est un cordon d'hydrogel de 3 mm, un matériau dont le réseau de chaînes de polymères est utilisé dans certaines lentilles de contact et autres implants. Insérée sous la peau à l'aide d'une seringue, la ficelle comprend une molécule spécialement conçue qui envoie un signal fluorescent à l'extérieur du corps lorsque celui-ci commence à combattre une infection. L'autre partie est un composant électronique fixé à la peau. Il envoie de la lumière à travers la peau, détecte le signal fluorescent et génère un autre signal que le porteur peut envoyer à un médecin, un site web, etc. C'est comme un laboratoire de test sanguin sur la peau qui peut capter la réaction du corps à la maladie avant la présence d'autres symptômes, comme la toux. »
Micropuce
© Capture CBS
C'est vrai que la toux, c'est très dangereux !

Tout ceci n'est évidemment pas très réjouissant. Pour revenir au dispositif présenté sur CBS, on peut toutefois douter que l'armée des États-Unis soit prête à accepter sans broncher cette nouveauté scientifique, puisqu'en février dernier, près d'un tiers des soldats avaient refusé de recevoir le « vaccin » anti-Covid, craignant que celui-ci contienne une micropuce conçue pour les surveiller, rapportait le New York Times.

Un filtre dit « exceptionnel »

Une autre invention de l'équipe présentée dans le reportage est un filtre censé éliminer le virus du sang. Il est connecté à une machine de dialyse.

Le chercheur a ajouté qu'un traitement expérimental de quatre jours a ainsi été administré à une patiente qui était en soins intensifs avec une défaillance d'organe et un choc septique. Son sang a circulé complètement via la machine et le virus a été éliminé de son sang avant que ce dernier ne retourne à l'intérieur de son corps. En quelques jours, la patiente s'est complètement rétablie, selon lui.

La Food and Drug Administration (FDA, Agence américaine des produits alimentaires et médicamenteux) a autorisé l'utilisation d'urgence de ce filtre. Jusqu'à présent, les médecins l'ont utilisé pour traiter près de 300 patients gravement malades, a précisé le responsable.

Encore une autorisation d'utilisation d'urgence... Serait-ce désormais la norme ?

Étudier les épidémies d'autrefois

Le directeur d'une autre structure du Pentagone, le Joint Pathology Institute, a expliqué à CBS qu'il étudie des échantillons de tissus provenant de soldats et de marins infectés par des agents pathogènes. Comme par exemple des tissus de patients infectés par la grippe espagnole il y a 100 ans. En 2005, une équipe de chercheurs avait réussi à recréer ce virus. N'est-ce pas génial ? Ils se prennent pour Dieu et se fichent des conséquences. La guerre sera anthropo-bactériologique ou ne sera pas. La Nature cosmique pourrait bien venir mettre de l'ordre dans leur tambouille ce qui pourrait avoir des effets qu'ils n'ont absolument pas pris en compte, pauvres ignorants qui pensent tout savoir.

Dr Joel Moncur ajoute que les scientifiques ont même réussi à trouver des survivants et à fabriquer des anticorps contre ce virus mortel qui avait tué, à l'époque, selon différentes estimations, entre 17 et 100 millions de personnes la fourchette est large — , soit entre 0,9 pour cent et 5,3 pour cent de la population mondiale. Ils ont donc créé une substance médicamenteuse qui pourrait être utilisée pour « prévenir ou traiter » cette infection. Comme si rien d'autre n'existait que ce qui est nouveau... Les scientifiques ont notamment infecté des animaux de laboratoire avec ce virus mortel de 1918 et les auraient guéris.

En utilisant des technologies liées à l'ARN, la DARPA espère pouvoir fabriquer très rapidement un « vaccin » contre le coronavirus. Ils escomptent bien que lors d'une prochaine épidémie, l'ARN permettrait à des usines de produire des millions de doses par jour. Les anticorps ARN pourraient arrêter la prochaine épidémie de rhume semblable à celle de Wuhan.

Mon Dieu ! Un rhume ! Quelle horreur !! Tous aux abris ! Confinement, masques, injections, sortez tout l'attirail !

Totalitarisme sanitaire, contrôle de pureté, bienvenue dans le IV Reich mondialisé.

Sources majoritaires de l'article : SputnikMintPressNewsRussia Today