Nous entendons souvent parler du « monde d'après ». Il y aurait un « avant-Covid » et un « après-Covid ». Pourtant, le voile de l'espérance se déchire de plus en plus, en voyant perdurer ces mesures liberticides, à l'impact sanitaire douteux, en voyant ces mesures s'installer pour devenir la nouvelle norme sociale. Chers Amis, le « monde d'après », c'est celui-ci, c'est le monde du Covid. Et il durera tant que nous serons massivement soumis, tant qu'aucune force politique ne pourra remettre en cause cette dérive dictatoriale globaliste et porter nos espoirs. D'ailleurs, le New York Times l'affirme dans son édition d'aujourd'hui - « Le monde risque de devoir apprendre à vivre avec le virus ». Aucun « autre monde » d'après n'est donc envisagé.
spock covid masque
Les impératifs du nouveau monde sont déjà en place, reposant sur l'écrasement des populations, l'instrumentalisation des États comme structure d'implantation des décisions prises par des structures globales et le transfert du pouvoir économique à des structures transnationales. Et les normes sociales, et non sanitaires, sont déjà intégrées par une grande majorité de la population : masque, test, distance sociale, vaccin. Les 5 piliers du monde actuel.

Le processus est en route, le Covid est une occasion à ne pas rater, la prise en main des populations, la mise en état de choc général fut d'une efficacité redoutable, les gouvernants déjà pris dans l'engrenage global ont servi de relai et les gens, en général, s'interrogent pour savoir quand ils auront leur vaccin, où ils trouveront assez de masques, comparent les avantages relatifs des différents types de masques et les prix des tests divers et variés.

Autrement dit, les populations, en général, ne remettent pas en cause le monde d'aujourd'hui, ils veulent confortablement se faire tondre, que la lame ne les égratigne pas trop, pour le reste, ils s'adaptent.

Ce monde du Covid s'installe dans la durée, impose ses nouvelles normes sociales. Et il est là pour longtemps. Comme le souligne cet article du New York Times d'aujourd'hui intitulé : « The world may need to learn to live with the virus ».

En effet, comme tout virus, il mute. La grippe est là depuis une éternité et le monde ne s'est jamais arrêté de tourner pour elle, les vaccins ne l'ont évidemment pas éradiquée. Et le Covid fait d'ailleurs de moins en moins de morts officiels et estampillés, ce qui finalement ne change rien à l'ingénierie sociale en cours. L'on nous annonce le Covid for Ever :
« Les experts affirment aujourd'hui qu'il évolue trop rapidement, que de nouvelles variantes plus contagieuses se propagent trop facilement et que les vaccinations sont trop lentes pour que l'immunité collective puisse être atteinte dans un avenir proche.

En d'autres termes, si le virus continue de sévir dans une grande partie du monde, il est en passe de devenir endémique, une menace omniprésente ».
Le Covid s'installe et ce monde devient le fameux « monde d'après », principalement pour deux raisons. Comme nous l'avons dit, parce que la soumission des populations a été acquise, suite à l'effet de choc de mesures inédites en temps de paix et le développement d'une propagande mortifère constante, qui n'épargne quasiment aucune zone géographique. Mais aussi, parce que les idéologues de ce « monde d'après » n'arrivent pas à l'accoucher, à proposer un modèle qui soit viable et acceptable par et pour les populations. La contrainte doit donc rester permanente, puisque les gens ne veulent pas déprimer chez eux au télétravail, que les enfants ont besoin d'aller à l'école et non pas de finir de se dégrader devant un écran, les bars et les restos ont besoin d'ouvrir puisque les gens ne commandent pas suffisamment à emporter, etc. et surtout les gens ont besoin de sortir, de danser, de chanter, de faire la fête, bref de vivre. L'homme est animal social et sa nature profonde ne peut être changée par quelques âmes instables, même si dirigeantes.

Devant l'impasse de l'impossibilité d'établir un monde d'après, qui finalement serait à s'y méprendre un monde d'avant avec 10 points de PIB en moins (solution inacceptable, car à quoi aurait servi tout ce cirque ?), le monde d'après se réduit à ce magma actuel, entre sortie et reconfinement, ouverture des plages mais avec masque, vaccination obligatoire qui ne donne finalement aucun avantage, limitation des voyages en Europe avec possibilité d'indiquer tourisme comme fondement de circulation.

Ce monde est une aberration, car c'est une sorte de monstre avorté, qui n'est pas arrivé à terme : monstrueux car inhumain, puisque construit contre l'homme ; avorté, car primitivement fantasmagorique, donc non-viable.

Et c'est devant ce délire malsain que l'on est sommé de trembler ?