Commentaire : Texte publié en novembre dernier... tout se réalise selon le « plan ».
Philippe Guillemant est un ingénieur physicien français diplomé de l'Ecole Centrale Paris et de l'Institut de Physique du Globe. Il est Docteur en Physique et Habilité à Diriger des Recherches. Il exerce son activité au CNRS (UMR 7343, laboratoire IUSTI de Polytech' Marseille) où il est Ingénieur de Recherche Hors Classe.
Le principal but de la vaccination est de parvenir à une normalisation du port d'identité numérique par chaque citoyen. Il sera en effet permis que le contrôle de ses droits d'accès à différents lieux (restaurants, boutiques, gares etc.) se fasse de manière automatique, ce qui ouvrira un immense marché, celui des objets connectés, tellement savoureux qu'il est capable de transformer des informaticiens en virologues.
Cela permettra également l'introduction d'une monnaie numérique déjà préparée par la suppression progressive de l'argent liquide.
Il y a deux cas à considérer :
- Port d'identité numérique non intimement liée au corps : mobile, bracelet, montre, sac à main...
- Port d'identité numérique intimement liée au corps : bague, puce sous la peau, identification génique...
Dans un premier temps seul le premier cas est à considérer sérieusement. Ce n'est que lorsque l'usage d'une identité numérique sera normalisé par l'habitude (de vivre autrement) que le second cas s'imposera naturellement pour renforcer la sécurité de l'usage.
Aujourd'hui ce port d'identité numérique est déjà réalisé via nos mobiles, mais aucun usage n'en est fait, sauf marginal comme dans le cas de l'application StopCovid. Tout le monde a le droit d'entrer dans n'importe quelle boutique et de voyager sans être obligé d'avoir un portable. D'autre part le traçage des déplacements permis par un mobile est très grossier, sa précision étant comprise entre 1 et 10 mètres. On peut considérer que pour l'instant, avoir un portable est inoffensif.
Tout cela pourrait changer avec le contrôle vaccinal automatisé et la généralisation des objets connectés via la 5G et même dès la 4G. En particulier le traçage ne serait plus réalisé par GPS mais par analyse et triangulation de signaux via les objets alentours et sera à terme 100 à 1000 fois plus précis, à mesure que la technologie évoluera.
Le port non lié au corps d'identité numérique, dans un environnement peuplé d'objets connectés (maisons, voitures, routes, villes...) permettrait les recueils de données suivants par une I.A. :
- Vérification d'autorisation d'accès pour les vaccinés
- Contrôle de vitesse et stationnement (voiture connectée)
- Identification de toutes sortes d'infractions à la conduite
- Identification des personnes avec qui l'on déjeune
- Mémorisation de tous les déplacements
- Calcul de temps de travail ou temps de présence...
- Détection de déplacement inhabituel...
Considérons maintenant le deuxième cas, et allongeons la liste précédente :
- Maison intelligente (interactions, commandes, dialogues...)
- Analyse d'activités privées (dormir, lire, faire l'amour...)
- Surveillance de l'activité des enfant
- Analyse des interactions familiales
- Analyse de situation (repos, activité, chute...)
- Analyse de comportement (geste brusque, activité sportive...)
- Détection et mémorisation des habitudes.
La question de savoir si nous allons effectivement rentrer dans ce nouveau monde, ou pas, va donc dépendre du niveau d'acceptation du vaccin. Il est en effet peu probable que l'on oblige chaque citoyen à porter une identité numérique lors de ses déplacements si 50 % de la population n'est pas vaccinée, car on ne va pas limiter à ce point la liberté de circulation. Par contre, si seulement 5 % de la population n'est pas vaccinée, il est fort probable qu'on entrera dans ce nouveau monde.
La réalité sera évidemment bien plus complexe que cette simplification binaire, qui n'a d'autre but que d'éveiller aux véritables enjeux.
Donc, je le répète, nous ne sommes pas confrontés à un problème sanitaire avec le virus. Ce problème-là est peanuts à coté du choix de société qui se trouve devant nous, qu'une politique de gouvernance mondiale semble avoir déjà fait à notre place.
C'est cela qui explique la dictature sanitaire qui de façon rationnelle n'a aucune autre raison d'être.
Mais je le répète une fois de plus, mon avis est qu'on n'entrera pas dans ce nouveau monde.
Dès lors qu'une particule nano-métrique ferrique circule dans le corps (battements de cœur), il est possible d'en retenir et d'approcher l'objet (aussi petit soit-il) par un système d'aimantation.Celui-ci devra être situé à l'anus afin d'en stopper sa circulation (sanguine) et d'en évacuer (par les voies naturelles) cet élément.Idem pour les puces 'RFID' désactivées et prélevées par chirurgie bénigne.