La crise actuelle aura permis à un certain nombre de gens jusque-là distraits de comprendre que le monde moderne (et postmoderne) n'est qu'un techno-fascisme au service des oligarchies marchandes, elles-mêmes tenues par des réseaux sataniques. Un des auteurs américains les plus importants reste bien sûr Eustace Mullins. La conspiration en ce moment est si énorme, ramifiée et compliquée qu'elle en devient folle. Rationaliste et marxiste, Debord se demandait pourtant qui diable pouvait gouverner en démocratie ; nous aussi.

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Dans son livre Meurtre par injection, bien traduit par le courageux Aladin Belarbi, Mullins s'en prend à toute la monstrueuse médecine moderne qui montre en ce moment son visage totalitaire et assassin ; je vais reprendre ce qu'il écrit sur les vaccins :
« L'un des rares médecins à avoir osé s'élever contre le monopole médical, le Dr Robert Mendelssohn, en accentuant sa position contre la médecine moderne la définissait comme une église aux quatre eaux bénites. La première d'entre elles, la "Vaccination". Le Dr Mendelsohn l'avait qualifiée de "sécurité douteuse". Cependant, d'autres médecins ont été plus explicites. »
Mullins fait le lien avec le chevalier « chloros » de l'apocalypse. Il ne faut pas avoir peur de recourir aux symboles, car nos monstres au pouvoir y ont tout le temps recours (cf. la chouette à Macron, voyez vigilantcitizen.com [ou Macron et son hibou]). Mullins donc :
« De ces quatre éléments, que l'on pourrait aussi appeler les Quatre Cavaliers de l'apocalypse; surtout connus pour causer la mort et la destruction dans leur sillage et dont le plus pernicieux avec ses effets à long terme serait sans aucun doute la vaccination. Cette pratique va directement à l'encontre de la découverte des experts médicaux holistiques modernes que le corps à une défense immunitaire naturelle contre la maladie. »
Le vaccin est un sacrement au service des puissances :
« La religion de la médecine moderne prétend que l'unique absolution contre le péril de l'infection est dispensée par l'eau bénite de la vaccination. Donc en injectant dans le système biologique une infection étrangère qui fera alors un miracle médical et conférera une immunité à vie, d'où le terme "immunisation". La plus grande hérésie qu'un médecin puisse commettre est d'exprimer publiquement tout doute sur l'une des quatre eaux saintes, mais la plus profondément ancrée dans la pratique médicale moderne est sans nul doute cette multitude de programmes de vaccination. »
L'obligation n'est pas venue avec le coronavirus ou autre ; elle a toujours été là :
« Pourtant, dans l'État de Virginie, et dans beaucoup d'autres États, les parents sont obligés de faire vacciner leurs enfants par la profession médicale qui se fait payer pour ce service, mais en fait également des clients et patients potentiels et assure son avenir. L'écrivain se souvient bien des années vingt, alors écolier en Virginie, où pendant des semaines alors qu'aucune obligation de vaccination ne soit ordonnée par les autorités, chaque matin, l'enseignant commençait les cours en demandant : "Clarence, as-tu apporté ton certificat de vaccination aujourd'hui ?" Apparemment, il s'agissait là de la plus urgente question du système éducatif, ayant priorité sur les questions telles que les leçons et les études. »
Et Mullins alors évoque justement le culte de Baal (au culte duquel nous fûmes initiés moi et les enfants de mon âge par la télévision gaulliste) :
« Dans mon livre "La malédiction du Canaan", j'ai écrit sur le rite du sacrifice d'enfant comme une pratique qui semble avoir pris fin avec la destruction du culte de Baal il y a environ cinq mille ans. Malheureusement, le culte de Baal semble être fermement ancré dans l'établissement actuel qui est souvent connu sous le nom risible, de la Fraternité De La Mort. Il est troublant de voir à quel point le système éducatif s'empresse d'accepter chaque nouvelle agression envers nos petits écoliers, tout en se moquant de toute mention de moralité ou de religion, ceci fait bien sûr en endoctrinant solennellement les enfants de six ans dans les avantages d'un "style de vie alternatif" dans leurs préférences sexuelles. »
L'obsession pédophile et sacrificielle est déjà là :
« L'objectif actuel de l'Association Nationale de L'Éducation semble plutôt être la distribution à l'école de préservatifs par les enseignants, que le démarrage des activités de la journée.

L'urgence de ma vaccination n'était pas qu'il y ait une épidémie dans ma ville, Roanoke, ni pour dans les soixante années à venir. L'urgence était qu'aucun enfant ne soit épargné par le sacerdoce du culte de Baal, on n'échappe pas au sacrifice sur l'autel des pédophiles. »
Puis Mullins s'intéresse aux nombreuses, aux innombrables même morts inexplicables :
« Ces dernières années, de nombreux hommes et femmes dans la fleur de l'âge sont morts subitement, souvent après avoir assisté à une fête ou un banquet. Je suis convaincu qu'environ 80% de ces décès sont dus à l'inoculation ou à la vaccination qu'ils ont subie; qui sont bien connues pour causer des maladies cardiaques graves et permanentes. Les médecins légistes les qualifient toujours de "mort naturelle". Un tel avertissement est toutefois inexistant dans les livres médicaux, dussent-ils être académiques ou populaires. »
Mullins écrit même :
« Le Dr Clarke n'a jamais vu de cas de cancer chez une personne non vaccinée. »
Parlant du Sida, Mullins écrit :
« Le monopole médical cherche désespérément une sorte de "vaccination'' contre ces fléaux, et finira sans aucun doute par concocter un "vaccin plus redoutable que la maladie elle-même''. Depuis le début, nos experts médicaux les plus éminents nous ont fièrement informés que le SIDA est incurable, ce qui n'est guère l'approche que nous attendons de ceux qui exigent que nous acceptions leur infaillibilité en tout ce qui touche à la médecine. »
La pratique de la vaccination est déjà un danger universel il y a cinquante ans :
« ...le Dr J. M. Peebles de San Francisco, a écrit un livre sur le vaccin, dans lequel il dit : "La pratique de la vaccination, imposée en toutes occasions par la profession médicale avec la connivence politique et rendue obligatoire par l'État, est devenue non seulement la principale menace et le plus grand danger pour la santé de la génération montante, mais aussi l'outrage suprême aux libertés personnelles des américains ; la vaccination obligatoire, empoisonnant la circulation sanguine avec de la lymphe brute sous prétexte qu'elle empêcherait la variole, a été une page des plus sombres du siècle dernier. »
Et l'on découvre que l'on préfère déjà les porcs aux humains :
« Tout à coup, d'Atlanta, est venu le plan du CDC pour une campagne nationale de vaccination contre la "grippe porcine". Le fait qu'il n'y ait pas eu un seul cas connu de cette grippe n'a pas dissuadé Big Pharma de suivre le plan. Les éleveurs de porcs avaient été choqués par les démonstrations du vaccin sur quelques porcs, qui s'effondraient et mouraient. On peut aisément imaginer l'angoisse de Big Pharma jusqu'à ce qu'un jeune homme brillant remarque: "Eh bien, si les éleveurs de porcs refusent de l'injecter à leur bétail, notre unique marché restant est de l'injecter aux humains. »
Retour sur la grippe espagnole :
« En conséquence, les hôpitaux militaires ont été remplis, non pas de blessés de combat, mais de victimes du vaccin. L'épidémie s'appelait "la grippe espagnole", une appellation délibérément trompeuse, qui visait à dissimuler son origine.

Cette épidémie de grippe a fait vingt millions de victimes; ceux qui ont survécu étaient ceux qui avaient refusé le vaccin. »
Et on ne parlera ni de la variole ni de la polio... Je vous laisse découvrir ce livre extraordinaire.

mullins