Interrogé par l'avocat Pierre Gentillet (tendance LR proche du RN) sur le bidonnage des données lors d'un test pour le groupe Pfizer, le journaliste de CNews joue à l'ignorant, alors que toute la presse, mainstream ou pas mainstream, est au courant.

pfizergate


Pourtant, cette décision fondée sur une falsification des données peut avoir (et a déjà) des conséquences désastreuses :


De l'autre côté du monde, dans le Pacifique, un journaliste (apparemment non accrédité, ce qui ne fait pas de lui un non-journaliste) questionne le Premier ministre de Nouvelle-Zélande, Jacinda Ardern, au sujet des vaccinations successives en Israël qui n'ont visiblement servi à rien, puisque les hôpitaux israéliens sont remplis à 50 % environ de malades doublement ou triplement vaccinés :


Ardern botte en touche avec morgue et agressivité. Il faut à ce stade rappeler qui est cette femme politique au visage régulièrement tordu par la haine, voire la folie même pas douce. Voici le titre du Parisien du 4 septembre 2021 :
« Nos Néo-Zélandais les plus âgés et ceux qui ont des problèmes de santé sous-jacents sont de loin les plus exposés au virus et c'est l'une des raisons pour lesquelles les mesures de confinement sont un outil si important pour arrêter sa propagation », a-t-elle ajouté sans vouloir se dérober face aux décisions strictes qui ont été prises dans le pays.
nouvelle zélande
On résume, pour ceux qui n'ont pas intégré la folie définitive de cette espèce de super Véran néo-zélandais : un cas, cinq millions de Néo-Zélandais punis de confinement. Un cas, cinq millions de prisonniers. Cela donne une idée du potentiel de haine de la classe dirigeante mondialiste. Un scénario de SF aurait proposé ça, personne n'y aurait cru. Pourtant, on y est. Le Costa Rica vient par exemple d'imposer la vaccination à tous les enfants, malgré les révélations du Pfizergate, et malgré la protection naturelle des enfants contre toute grippe.


Bonus : la pub pas très officielle pour la vaccination


La Jacinda Ardern française va parler !