L'agence de presse internationale Reuters se vante officiellement de son « absence de parti pris », mais l'implication de son président dans le conseil d'administration de Pfizer soulève la question : comment faire confiance à ce que diffuse l'agence de presse Reuters sur le sujet des « vaccins » contre le Covid ?
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James C. Smith
Le président et ancien PDG de l'agence de presse internationale et « vérificateur des faits » Reuters est également un investisseur de premier plan et membre du conseil d'administration de Pfizer.

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Les rôles influents de James C. Smith dans les deux organisations « soulèvent de graves problèmes de conflit d'intérêts« , a fait remarquer le National Pulse, car l'agence de presse internationale Reuters a non seulement accordé une importante couverture au « vaccin » contre le COVID-19 de Pfizer en particulier, mais a aussi largement contribué à discréditer les sceptiques et toute critique de la version officielle au sujet du coronavirus.

L'agence de presse internationale Reuters est considérée comme une des principales sources de nouvelles internationales. Ses dépêches sont reprises par de très nombreux médias et influencent donc des milliards de personnes. Dans l'univers des médias, l'agence Reuters est même citée comme l'une des « 4 meilleures sources d'information mondiales indépendantes et impartiales ».

Le National Pulse a recensé environ 22.000 articles de Reuters mentionnant Pfizer (contre 8.200 mentionnant Moderna) au cours de la seule année dernière. Ces articles présentent Pfizer sous un jour globalement positif et Reuters y discrédite également les critiques à l'encontre de Pfizer.

Mais c'est le rôle autoproclamé de Reuters en tant que « vérificateur des faits » qui ajoute encore à l'ampleur de la manipulation. Une enquête sur les vérifications des faits les plus récentes de Reuters montre que la majorité se consacre à la défense des vaccins anti-COVID-19 et à la négation de leurs effets secondaires.

Par exemple, une récente « vérification des faits » affirme qu'« il n'y a actuellement aucune preuve que les vaccins COVID-19 sont liés à une augmentation du nombre de sportifs s'effondrant ou mourant en raison de problèmes cardiaques tels que la myocardite ». Cette affirmation de l'agence de presse Reuters est faite malgré sa reconnaissance que « plusieurs études suggèrent en effet un lien entre la myocardite et les vaccins Pfizer/BioNTech et Moderna ».

L'ancien vice-président de Pfizer, le Dr Michael Yeadon, a documenté au moins deux douzaines d'incidents récents d'athlètes effondrés, malades ou décédés, principalement de problèmes cardiaques, notant que le taux de tels événements a augmenté ces dernières semaines.

D'autres articles de l'agence Reuters dans la catégorie « vérification des faits » prétendent qu'il n'existe « aucune preuve que le vaccin COVID-19 de Pfizer provoque la maladie d'Alzheimer » ou encore qu'il n'existe « aucune preuve à l'appui de l'affirmation d'un ancien scientifique de Pfizer sur les effets secondaires du vaccin COVID-19 chez les enfants », faisant référence à la déclaration du Dr Yeadon selon laquelle « les vaccins COVID-19 sont « 50 fois plus susceptibles » de tuer des enfants que le COVID-19 lui-même ».

On aurait du mal à trouver une « vérification des faits » de Reuters qui confirme une critique des « vaccins » anti-COVID-19 de Pfizer, ou des autres multinationales pharmaceutiques.

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Il est à noter que Smith siège également au conseil d'administration d'un département du Forum économique mondial (WEF) et siège aussi parmi les conseillers de British American Business et de l'Atlantic Council.

Vous avez maintenant la confirmation qu'il ne faut accorder aucune confiance aux médias du Système.