Un rapport pondu par le Pentagone, à sortir pour la fin du mois de juin, décrit la nouvelle "doctrine" des va-t-en-guerre US :
" Les attaques informatiques sont des actes de guerre. "
Le tout accompagné de menaces d'un officiel du Ministère de la défense Américain :
" Si vous stoppez notre réseau électrique nous vous enverrons un de nos missiles ".

Le coup de la menace "réseau électrique", il fallait oser... vu que la fiabilité du réseau US laisse à désirer, et que des villes américaines se sont déjà retrouvées en black-out pendant plusieurs heures, sans pour autant que le réseau ait été attaqué par des hackers...

Nos amis américains, toujours à la recherche de prétextes bidons pour utiliser leurs missiles, viennent donc de franchir une nouvelle étape dans la course à la folie guerrière. Après les attentats sous fausse bannière mis en oeuvre pour envahir des pays convoités (Afghanistan, Irak...), une attaque informatique pourra servir de prétexte au bombardement d'un Etat, en représaille.

Organiser un attentat false-flag, c'est long, c'est difficile, c'est onéreux... Par contre, accuser tel ou tel pays d'être à l'origine d'une attaque informatique, c'est un jeu d'enfant. Qui pourra savoir si l'attaque a vraiment eu lieu, ou si c'est bien ce pays qui en est à l'origine ?

Ce genre de rapport issu du Pentagone ne sort pas comme ça, pour faire joli. On peut parier que cette nouvelle "doctrine", tout aussi folle que celle des armes de destruction massive pour envahir l'Irak, sera utilisée dès que le besoin de balancer quelques missiles se fera sentir. Il doit bien rester quelques pays qui n'ont pas encore reçu un Tomahawk sur la tronche...

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