Vous pouvez vous demander : Pourquoi est-il « important » que nous dépensions trente, quarante, cinquante milliards de dollars pour sabler le trou à rats qu'est l'Ukraine post-Maidan, centre d'escroquerie pour le réseau de politiciens américains et leurs sponsors dans l'industrie de la guerre ?
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Réponse : En dehors d'un dernier et magnifique salaire, ils produisent un grand opéra de distraction pour détourner l'attention du public américain du naufrage de notre propre navire d'État dans les eaux de Babylone.

Cette énorme liasse de billets, vous comprenez, va principalement à des sociétés comme Lockheed Martin, General Dynamics, Raytheon, Textron, Boeing, etc. et une partie substantielle circule à nouveau à travers la blanchisserie de K-Street dans le puits à souhaits du financement des campagnes du Congrès, tandis que des milliards de dollars supplémentaires sont dépensés par M. Zelenskyy & Co - fournissant des incitations auto-renforcées pour, comment dire, faire exploser plus de merde dans le paysage mondial.

Certaines personnes sur le pont n'ignorent pas, cependant, que le navire américain descend chaque jour plus bas sous l'eau et qu'il gîte à un angle inquiétant. De nombreux autres passagers se sont retirés dans leurs cabines, malades à cause des « vaccins » qu'ils ont dû prendre pour rester à bord pendant le voyage. Pendant ce temps, l'eau s'écoule sous les ponts, dans les cales puantes, par de nombreuses fissures dans la coque. Personne ne semble savoir quoi faire, surtout pas le capitaine du navire, qui ne veut pas sortir de ses quartiers. (On murmure qu'il est devenu fou.) Est-il temps de descendre les canots de sauvetage ?

Dans le royaume brumeux qu'est la réalité de nos jours, ces fissures métaphoriques dans la coque de notre navire représentent de graves actes de négligence, voire de sabotage traître. Les discussions sur Internet indiquent que notre pays, et d'autres pays, sont sur le point d'abandonner leur souveraineté nationale - c'est-à-dire leur capacité à décider par eux-mêmes - à l'Organisation mondiale de la santé en prévision d'une urgence mondiale encore inconnue. Abandonner, dites-vous ? Au moyen de quoi ? Un vote à l'ONU ? Un mémo de la Maison Blanche signé par le fantôme hurlant connu sous le nom de « Joe Biden » ? Sûrement pas une procédure au sein des Congrès et des Parlements qui appellerait un débat.

Il est également suggéré que tous ces méfaits sont à l'initiative de Klaus Schwab, le futur Führer mondial. Je n'ai jamais entendu une idée aussi absurde de toute ma vie. Et pourtant, comment expliquer autrement la super-coordination bizarre, dans un pays après l'autre, des insultes à la population mondiale, telles que les confinements de masse et la vaccination obligatoire avec des cocktails génétiques qui, avouons-le, n'ont plus l'air si salubres. Le rain-man et immunologiste amateur Bill Gates est impliqué quelque part dans le mélange. Il a promis au monde des virus pandémiques nouveaux et améliorés. Le dernier était un peu un flop, comme Windows 10X (nom de code : Santorini). Euh, pourquoi cet homme est-il toujours en liberté ?

Et comment, exactement, des gens comme le directeur général de l'OMS, le Dr Tedros Adhanom Ghebreyesus, le fondateur et chef du WEF, le professeur Klaus Schwab, et le magicien Bill Gates proposent-ils de mettre en œuvre leurs plans pour prendre le contrôle du monde entier lors de leur prochaine crise hypothétique ? Une fois de plus, les discussions sur le Web suggèrent que les Nations unies, qui sont aujourd'hui une convocation d'États en faillite et d'arrière-pays malades, mobilisent en quelque sorte les armées des pays développés contre leurs propres citoyens. Désolé, mais je ne le vois pas. Y a-t-il trois personnages moins charismatiques dans toute l'histoire du monde que ce trio de vers humains susmentionné ? Que vont-ils faire pour que Bill Gates ait l'air d'un meneur d'hommes ? Le vêtir des habits d'un hussard napoléonien : tunique à pattes d'or, épaulettes, cape en peau de léopard, bottes à genoux et shako en peau d'ours plumé ? Nigga, s'il te plaît....

Pendant ce temps, les difficultés s'accumulent à un volume et à une vitesse déconcertants dans ce consortium fédéral d'États. Pas de lait maternisé pour vous, les Américains qui n'ont pas été avorté ! (Et pourtant, quel bureaucrate dans quel terrier de l'État profond a organisé un pont aérien de lait maternisé vers la frontière mexicaine pour soulager les intrus étrangers de la persuasion de la naissance). Du carburant diesel à 6,49 $ le gallon, ce qui signifie que bientôt, personne n'aura rien (y compris plus de carburant diesel)... de l'essence à 6 $, plus aucun stock de nouvelles voitures (R.I.P. banlieue)... pas de pièces détachées pour tout ce qui est cassé... de grands trous dans les rayons des supermarchés... des engrais à des prix ruineux... pas d'eau dans l'ouest... des séquelles de « vaccins » qui tuent les gens (y compris de la maladie contre laquelle ils ont été « vaccinés »)... des hordes de ressortissants étrangers qui se promènent à travers la frontière sud (dont pas mal d'hommes d'âge militaire avec des intentions peut-être pas très saines)... des marchés financiers qui ont tendance à baisser et l'immobilier qui virevolte... et le combo FBI / DOJ qui cherche à défoncer votre porte et à vous enfermer dans un donjon sans charges formelles ni caution, en violation de la constitution à laquelle ils s'opposent maintenant de manière programmatique.

Qu'est-ce qui va servir face à ces trahisons et ces difficultés ? S'opposer. Refuser. Résister. Cela devient personnel. Combien d'entre vous, qui ne sont pas entièrement sous l'emprise des opérations psychologiques des médias, sont prêts à dire « non, et pas plus » ?

Traduit par Hervé, relu par Wayan, pour le Saker Francophone