analyse vaccins
Cela ne s'était jamais produit en plus de deux ans de campagne de vaccination. Le tribunal de Pesaro, dans la région des Marches en Italie centrale, a ordonné l'analyse en laboratoire pour identifier le contenu des vaccins anti-Covid à ARN messager (ARNm) Moderna et Pfizer/BioNTech. Cette analyse sera réalisée au mois de septembre prochain, a précisé l'avocate Nicoletta Morante. Il s'agit selon elle « d'une première en Italie, et peut-être en Europe » (et fort probablement dans le monde). Tout est parti de l'initiative d'un professionnel de Pesaro, âgé de plus de 50 ans, guéri de l'infection au Covid, qui a par la suite refusé de se faire vacciner, subissant par conséquent des limitations dans l'exercice de son activité professionnelle. L'avocate Nicoletta Morante, qui suit l'affaire, explique ce qui s'est passé comme suit :
« Grâce aux conseils du docteur Raffaele Ansovini, de la région des Marches, le demandeur, un pigiste de Pesaro, âgé de plus de 50 ans, déjà guéri de l'infection Covid, injustement (selon nous) limité dans sa profession et sa liberté de mouvement, ainsi que souffrant d'une sanction administrative pour violation de l'obligation de vaccination, il a expliqué à la Cour ses doutes quant à l'administration de vaccins à ARNm, demandant de savoir s'il est de bonne science médicale de vacciner les guéris. Nous avons voulu comprendre si le consentement éclairé dont la signature serait obligatoire est compatible avec le caractère obligatoire, s'il existe des excipients à usage non humain ou nocifs pour la santé ou des enzymes déjà retrouvés dans des analyses récemment publiées dans une revue scientifique américaine au bas du rapport du Dr. Ansovini, déjà rédigé pour ce jugement. Le tribunal de Pesaro, acceptant l'appel, a alors ordonné l'évaluation technique requise sur l'analyse du contenu des vaccins à ARNm. »
journal italien pesaro
Le tribunal de Pesaro a donc accepté l'appel et préparé l'évaluation technique requise sur l'analyse du contenu des vaccins à ARNm. À l'appui de la plainte au civil présentée à Pesaro, l'avocate a produit l'avis du chercheur médical, Raffaele Ansovini, qui estime que les vaccins ARNm ne remplissent pas la fonction de protection pour laquelle ils sont injectés. Ces vaccins, écrit-il dans la plainte, « n'ont pas la conformation fonctionnelle déclarée » et la réponse immunitaire qu'ils engendrent « est inefficace ».

J'ai donc écrit à Me Nicoletta Morante en Italie pour lui demander plus de précisions sur cette poursuite, tout en lui faisant part des différents articles que j'avais publié en 2021 concernant les Drs Franc Zalewski, Carrie Madej et Zandré Botha qui avaient tous les trois observé un organisme parasitaire dans les vaccins à ARNm. L'avocate m'a très rapidement répondu et elle a eu la gentillesse de m'envoyer le rapport du docteur Ansovini qui fut présenté à la Cour, intitulé « Functionality and Clinical Effects of Anti-Cov2 Vaccines (Aka Mrna) And Integration on Mitochondrial DNA » (Fonctionnalité et effets cliniques des vaccins anti-Cov2 (Aka Mrna) et intégration sur l'ADN mitochondrial) :

lettre avocate italienne
Le rapport du Dr. Ansovini se termine ainsi :
« Considérant qu'au début de l'infection par le Covid-19, une asthénie marquée avec consommation anormale et paradoxale d'albumine a été observée chez les patients infectés, alors que les réserves graisseuses n'étaient pas mobilisées via la bêta-oxydation habituelle des acides gras, on peut donc supposer, aussi improbable que cela puisse paraître, que le SRAS-Cov2, après manipulation, à partir de son oxyde réducteur, puisse avoir un double site d'intégration - le génome nucléaire et le génome mitochondrial. Il en résulte la perturbation de la production d'ATP et les troubles énergétiques organiques constatés et, éventuellement, même les formes les plus sévères de la maladie. D'où la nécessité d'une intégration mitochondriale qui antagonise le virus enchâssé dans le noyau par l'ARNm du vaccin, comme décrit dans les pages précédentes. »
Raffaele Ansovini est un chercheur médical indépendant, inventeur et propriétaire de plusieurs brevets. Le 29 janvier 2022, celui-ci publia un article dans le Journal of Biomedical Research & Environmental Sciences, intitulé "The Truth about mRNA Vaccines" (La vérité sur les vaccins à ARNm), dans lequel il concluait :
« Les fabricants des derniers vaccins à ARNm COVID-19 ont menti, alléguant que l'ARNm produirait le SPIKE, sans s'intégrer dans le génome de la cellule hôte, et se détruirait finalement à court terme. Une pandémie mondiale ne peut être arrêtée par des mensonges scientifiques, qui invalident les principes fondamentaux de la biologie. » [Certificat de parution]

Nicoletta Morante
Nicoletta Morante, avocate
Dans le rapport défensif axé sur l'analyse de la fonctionnalité de l'ARNm et des enzymes détectées avec les analyses, le Dr Raffaele Ansovini explique que :
« Dans le noyau il y a l'ADN nucléaire, dans les mitochondries il y a la mitochondriale. Lorsque le Covid-19 est apparu, il s'est exprimé de trois manières : 5 à 7 % avec une pneumonie sévère, un besoin de soins intensifs avec une incidence élevée de mauvais pronostic ; 30 à 40 % des hospitalisations nécessitant un suivi diagnostique et thérapeutique continu ; 60% asymptomatique. Comment est-il possible qu'un virus ait un comportement aussi nettement inhomogène ? Le SarsCov2, par évolution naturelle ou par la main humaine, est capable d'insérer son génome d'ARN également dans l'ADN mitochondrial et quand il le fait, il montre le pire de lui-même. Cela dit, que font les vaccins à ARNm Pfizer et Moderna ? Ils intègrent également l'ARN viral du Covid-19 dans le génome mitochondrial occupant ainsi le site qui, s'il est occupé par le virus, déclenche son syndrome sévère. De cette manière, lorsque des vaccins à ARNm sont utilisés, ils n'ont tout d'abord pas la conformation fonctionnelle déclarée et, d'autre part, tout en créant une réponse anticorps, celle-ci est inefficace. »
Pour le consultant de la défense, il est donc nécessaire et primordial de savoir « de quelle matière sont faits les vaccins », pour comprendre si une personne peut être contrainte d'en administrer, même à plusieurs reprises, et leur toxicité pour la santé humaine doit être établie.

L'affaire Pesaro est peut-être la première d'une longue série, l'avocate Nicoletta Morante en est convaincue. En attendant, l'examen du vaccin est prévu pour septembre prochain. Je suis déjà en contact direct avec l'avocate pour suivre de près l'affaire et vous donner les mises à jour nécessaires.

Une situation similaire est celle du Dr Paolo Lisi, un dentiste de Rovereto suspendu de son activité clinique car il n'était pas vacciné contre le Covid-19.

Le Dr Lisi, qui retournera en Cour fin septembre pour demander des dommages et intérêts à l'Entreprise de Santé et à l'Ordre des Médecins concernant la suspension de l'activité, explique :
« En plus de l'analyse des produits vaccinaux, nous demandons des tests sanguins des patients vaccinés par rapport aux tests sanguins des non vaccinés. »
Le juge Giuseppe Barbato s'est réservé, en accédant à la demande de l'avocat du dentiste, de produire une récente étude suédoise sur les vaccins.


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