« Les sanctions n'ont pas été décidées de manière démocratique, ce sont les bureaucrates de Bruxelles et les élites européennes qui en ont décidé », a déclaré M. Orbán lundi au Parlement de Budapest, ajoutant : « Bien que les citoyens européens en paient le prix, on ne leur a pas demandé leur avis ».Dans le cadre d'une « consultation nationale », le gouvernement hongrois sera donc « le premier en Europe à demander l'avis des citoyens sur les sanctions contre la Russie », a annoncé Orbán.
Par le passé, le gouvernement Orbán a régulièrement organisé des référendums sur des questions politiques clés, comme la législation nationale sur la protection de l'enfance, ce qui lui a régulièrement valu des critiques de l'UE.
Source : Zuerst
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