Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter Info

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Dans une démonstration choquante de totale corruption et ignorance, le comité consultatif d'un Centre de contrôle des maladies (CDC) zunien a déclaré officiellement que les jeunes garçons et les hommes entre 11 et 21 ans devraient être vaccinés contre le papillomavirus humain (VPH), le virus infectieux ayant soi-disant un rapport avec le cancer du col de l'utérus chez la femme.

En dépit du fait que les hommes n'ont pas même de col de l'utérus, 12 des 14 membres du comité du CDC ont décidé que vacciner dès neuf ans les jeunes garçons contre le virus est toujours une bonne idée. Et, lors d'un vote séparé, la majorité des membres du comité a en plus décidé que les hommes jusqu'à 26 ans, aussi bien, devraient être vaccinés contre le VPH, ce qui englobe pratiquement tous les jeunes hommes.

Le CDC a fondé cette décision sur sa croyance selon laquelle le Gardasil de Merck & Co. et le Cervarix de GlaxoSmithKline (GSK), les deux vaccins approuvés pour le VPH, aident aussi à prévenir les verrues génitales et divers types de cancers chez les hommes. Pourtant, ces prétentions n'ont jamais réellement été démontrées. Les études ayant servi de témoignage sont biaisées, et toutes étaient financées par des fabricants de vaccins.

Il n'existe en réalité aucune preuve médicale solide montrant que soit le Gardasil, soit le Cervarix, empêche l'infection du VPH, le cancer ou la transmission du VPH des hommes vers les femmes, comme l'affirment les partisans du vaccin.

Selon un article de 2008 d'Associated Press : « Bien qu'environ 40 autres pays aient approuvé ce vaccin pour les hommes, il n'existe encore aucune preuve médicale montrant que le Gardasil prévient le cancer du pénis ou d'autres cancers associés au VPH chez les hommes. Rien ne prouve non plus que ce vaccin empêche la propagation du VPH des hommes vers les femmes. »

Mais le comité consultatif du CDC ne peut pas laisser les faits entraver l'agenda des partisans du vaccin anti-VPH. Un article récent de CNN sur l'annonce admet même que la recommandation soudaine de vacciner les garçons contre le VPH a peu à voir en réalité avec l'arrêt de la propagation de la maladie, et tout à voir avec la réalisation du plus grand nombre de vaccinations de gens possible.

Toujours selon l'article d'Associated Press : « L'une des raisons de la recommandation est le fait qu'à présent les filles ne se font pas vacciner en nombre prévu par les médecins. » Et les filles ne se font pas vacciner parce que les vaccins contre le VPH sont liés à une foule d'effets secondaires très graves et mortels et leur efficacité n'a jamais été démontrée prévenir ou soigner quoi que ce soit.

Pour en savoir plus sur les dangers du Gardasil, visitez ce site :
http://sanevax.org/

Les sources de cet article comprennent :
www.cnn.com/2011/10/25/health/hpv-vaccine/index.html