Des scientifiques britanniques du centre de recherche John Innes, situé dans l'est du pays, ont reçu un chèque de plus de huit millions d'euros de la part de la fondation Bill Gates, pour développer des cultures céréalière génétiquement modifiées. Une démarche qui a suscité de vives réactions. «Cet argent aurait pu être mieux utilisé, pour investir dans des plans alimentaires plus larges», tempête le docteur Michaël Antoniou, de l'université royale de médecine de Londres. Cette donation de l'association Gates est la plus élevée enregistrée en Grande-Bretagne, et permettra de financer le projet pendant cinq ans.

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