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Eye 1

Meilleur du Web: La théorie de la « théorie du complot »

Commentaire d'intro : ReOpen911

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L'invraisemblance des versions officielles américaines successives de la mort de Ben Laden semble proportionnelle à l'énergie déployée actuellement par les grands médias pour discréditer à priori toute remise en cause et tout esprit critique sur la réalité des faits eux-mêmes. Il faut absolument placarder ces sceptiques, et quoi de mieux que ce vocabulaire péjoratif et définitif, à base de "complotistes", "conspirationnistes", "théoriciens du complot" qui a pour effet de stopper tout débat, d'arrêter toute réflexion, et surtout d'alimenter la propagande de la peur et de cette "Guerre au terrorisme" née il y a près de 10 ans maintenant ? Voici un billet d'Emrah KAYNAK paru sur Le Grand Soir qui résume bien cette situation.

Vader

Meilleur du Web: La Chine est le nouveau Ben Laden

Traduit par Résistance 71

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Georges Orwell, le nom de plume de l'écrivain Eric Blair, avait le don de la prophécie, ou il était sacrément chanceux. En 1949, dans son roman "1984", il décrivit l'Amérique d'aujourd'hui et j'en ai bien peur, également sa Grande-Bretagne natale, qui n'est plus grande depuis un moment et suit Washington, lui léchant les bottes et se soumettant a son hégémonie sur l'Angleterre et l'Europe et s'épuisant fnancièrement et moralement afin de supporter l'hégémonie américaine sur le reste du monde.

Dans la prophécie d'Orwell, le gouvernement du Grand Frère gouverne sur des sujets qui ne posent pas de questions, incapables de pensées indépendantes et qu'on espionne en permanence. En 1949, il n'y avait pas d'internet, de facebook, de twitter, de GPS etc. L'espionage de Big Brother se faisait par le moyen de caméras, de microphones dans les endroits publics, comme en Angleterre aujourd'hui, et par le truchement de télévisions qui étaient équipées de matériel de surveillance pour surveiller les gens à la maison. Comme tout le monde pensait ce que le gouvernement voulait qu'il pense, c'était facile d'identifier le peu de gens qui avaient des doutes sur le système.

Syringe

Meilleur du Web: Mortalité infantile élevée dans les pays qui vaccinent le plus

Les pays qui vaccinent le plus les nouveau-nés connaissent aussi la mortalité infantile la plus élevée.

L'étude

Une étude publiée le 4 mai dans la revue Human and Experimental Toxicology est de nature à relancer le débat sur le nombre de doses de vaccins administrés aux nourrissons. Elle suggère que les pays avec les taux de mortalité infantile les plus élevés ont tendance à donner plus de doses de vaccins aux enfants en bas âge. Les États-Unis, par exemple, en exigent pas moins de 26 - un record mondial - alors que l'on compte dans ce pays plus de 6 décès (6,22) pour 1000 naissances. En revanche, en Suède et au Japon, on n'administre que 12 vaccins, et ces pays comptent moins de trois décès pour 1000 (2,75 et 2,79 respectivement). La France recommande 19 doses et enregistre 3,33 décès pour 1000.

Sheeple

Meilleur du Web: L'esprit crédule expliqué

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter Info

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Compte tenu de la ribambelle de salades flagrantes pondues ces jours-ci par les autorités de Zunie (FDA, DHS, Maison Blanche, etc.), il est stupéfiant de voir que tant de gens gobent toujours ce que disent les « sources autorisées. » Ça soulève la question du mécanisme de leur cerveau : Comment quelqu'un peut-il avaler les boniments officiels d'une manière aussi naïve et consommée, sans même se poser des questions de bon sens quant à leur sérieux ou base factuelle ?

Il s'avère que ces gens-là, les Candide, procèdent de ce que j'ai appelé un Esprit Crédule. Il s'agit d'un dysfonctionnement du processus mental, qui fait retenir les informations en fonction de leur source au lieu de leur plausibilité. Ces gens-là ont tendance à avoir une confiance absolue envers les gouvernements, institutions, grands médias, médecins, scientifiques, ou toute personne portant l'habit de l'autorité apparente.

Quand une personne normale intelligente se pose des questions sensées sur toute nouvelle reçue de source quelconque, Candide accepte inconditionnellement toute info provenant de sources ayant une fonction d'autorité apparente dans la société.

Commentaire: Pour plus d'informations sur cette partie de la population caractérisée par un haut taux de soumission aux autorités, une absence totale d'esprit critique ainsi que la capacité de cette frange de la population à ne voir ni l'hypocrisie ni les mensonges des pouvoirs en place, lisez le livre de Bob Altemeyer sur les personnalités autoritaires et leurs suiveurs.

Citons également Richard Dolan, qui nous dit dans UFOs and the National Security State :
D'un point de vue historique, la seule réalité est celle du complot. La dissimulation, le secret, la richesse et l'indépendance sont synonymes de pouvoir ; la tromperie est l'élément clé de l'art de la guerre (l'instrument des élites au pouvoir), et lorsque la victoire est tout ce qui importe, la moralité traditionnelle des gens ordinaires devient une entrave. La dissimulation découle d'un élément omniprésent à la base de l'exis- tence au sein de notre monde, à savoir que ceux qui sont en haut de l'échelle pren- dront toujours toutes les mesures - quelles qu'elles soient - nécessaires au maintien du statu quo.

(...)

La seule étiquette [de complot] déclenche un rejet automatique, comme si personne n'agissait jamais secrètement. Mettons quelque peu cette question en perspective, et apportons-y un peu de bon sens. Les États-Unis sont constitués de grands organismes - de corporations, de bureaucraties, de « groupes d'intérêt », et ainsi de suite - organismes qui sont par essence comploteurs. C'est-à-dire qu'ils sont hiérarchiques, les décisions importantes y sont prises en secret par quelques dirigeants majeurs qui n'hésiteraient pas à mentir sur leurs activités. Telle est la nature du comportement propre à ces organismes. Le « complot », pris dans ce sens-clé, est monnaie courante sur toute la planète. Au sein des appareils militaires et des services secrets du monde entier, cette tendance est amplifiée au plus haut point.

Au cours des années 1940, [...] l'armée et ses scientifiques développèrent les armes les plus terrifiantes au monde dans le secret le plus total... Quiconque a vécu dans une société répressive sait que la manipulation officielle de la vérité est un fait quotidien. Mais les sociétés ont leurs élites et leurs petites gens. De tout temps et en tout lieu, c'est l'élite qui gouverne, et c'est l'élite qui exerce une influence dominante sur ce que l'on pourrait appeler la culture officielle. [...] Toutes les élites prennent soin de manipuler l'information publique pour maintenir au pouvoir les structures existantes. C'est une vieille méthode. Les États-Unis sont théoriquement une république et une société libre, mais en réalité, c'est un empire et une oligarchie, vaguement consciente de sa propre oppression, à l'intérieur comme à l'extérieur.

J'ai utilisé le terme « État de sécurité nationale » pour décrire ses structures de pouvoir. C'est une façon appropriée d'évoquer les communautés de l'armée et des services secrets, tout comme les milieux qui s'en nourrissent, comme les fournisseurs de la défense et autres entités clandestines nébuleuses. Ses caractéristiques fondamentales sont la dissimulation, la richesse, l'indépendance, le pouvoir et la duplicité. Presque tout ce qui fut entrepris d'important par la communauté de l'armée et des services secrets des États-Unis dans les cinquante dernières années le fut en secret. Le projet de construction d'une arme atomique, mieux connu sous le nom de Projet Manhattan, reste le grand modèle de toutes les activités qui suivirent. Pendant plus de deux ans, pas un seul membre du Congrès ne fut même tenu informé de ce projet, bien que son coût total excédât deux milliards de dollars. Pendant et après la Seconde Guerre mondiale, d'autres projets importants tels que le développement d'armes biologiques, l'immigration de scientifiques nazis, les expériences terminales de manipulation mentale, l'interception à l'échelle nationale du courrier et des transmissions télégraphiques d'une population inconsciente, l'infiltration des médias et des universités, les coups d'État secrets, les guerres secrètes et les assassinats, furent non seulement tous tenus éloignés des regards du public étasunien, mais aussi de la plupart des membres du Congrès et de plusieurs présidents.

À vrai dire, parmi les agences de renseignements les plus puissantes, plusieurs furent elles-mêmes mises en place secrètement, inconnues du public ou du Congrès pendant des années. Depuis les années quarante, les organes de la Défense et des services secrets étasuniens ont plus d'argent à leur disposition que la plupart des pays. En plus des dollars officiels, une grande partie de l'argent est de source inconnue. Depuis ses débuts, la CIA est engagée dans une série « d'affaires » officieuses qui ont généré d'énormes sommes d'argent liquide. Les relations entre la CIA et le crime global organisé (et donc, de facto, avec le commerce international des narcotiques) sont abondamment prouvées et documentées depuis des années. Une grande partie des investissements initiaux nécessaires au fonctionnement de la communauté des services secrets étasuniens fut fournie par des familles étasuniennes très puissantes et reconnues, qui ont depuis longtemps un intérêt à financer des opérations de sécurité nationale jugées nécessaires à leurs intérêts. En théorie, il existe une surveillance civile des organes de sécurité nationale
étasuniens. Le président est le commandant suprême des armées. Le Congrès a un droit de regard officiel sur la CIA. Le FBI doit répondre devant le ministère de la Justice. En pratique, tout ceci est peu appliqué. L'une des raisons en est la dissimulation. [...]

Un exemple glaçant d'une telle indépendance eut lieu au cours des années 1950, lorsque le président EISENHOWER perdit véritablement le contrôle de l'arsenal nucléaire. La situation se détériora à un point tel qu'au cours de ses deux dernières années de mandat, EISENHOWER demanda à plusieurs reprises une audience au chef du Strategic Air Command afin de connaître le plan de représailles nucléaires des États-Unis. Ce qu'il apprit finalement en 1960, la dernière année de son mandat, l'horrifia : la moitié de l'hémisphère nord serait anéantie ! Si un héros militaire révéré tel qu'EISENHOWER n'a pu contrôler l'arsenal nucléaire étasunien, ni obtenir une réponse franche de la part du Pentagone, comment diable les présidents TRUMAN, KENNEDY, JOHNSON ou NIXON l'auraient-ils pu sur des questions comparables ? La dissimulation, la richesse et l'indépendance sont synonymes de pouvoir. Au fil des années, l'État de sécurité nationale a accédé à la technologie la plus sophistiquée au monde, barré l'accès de milliers d'hectares de territoire au public, obtenu la possibilité illimitée d'espionner à l'intérieur et à l'extérieur des frontières étasuniennes, mené des actions officielles ou clandestines contre d'autres nations, et poursuivi des guerres sans subir de critique sérieuse de la part des médias. Au niveau national, il garde sous influence les élus et les groupes qui espèrent obtenir quelques milliards de dollars du budget de la défense.

La dissimulation est l'élément clé de l'art de la guerre, et lorsque la victoire est tout ce qui importe, la moralité traditionnelle des gens ordinaires devient une entrave. Ensemble, les exemples de duplicité officielle forment un tout quasiment homogène. Ils incluent des morceaux de choix tels que la crise « bidon » de la guerre de 1948, le « missile gap » imaginaire rapporté par l'armée de l'air au cours des années 1950, les incidents soigneusement orchestrés menant au vote de la Résolution sur le golfe du Tonkin... La dissimulation découle d'un élément omniprésent à la base de l'existence au sein de notre monde, à savoir que ceux qui sont en haut de l'échelle prendront toujours toutes les mesures - quelles qu'elles soient - nécessaires au maintien du statu quo. Les sceptiques demandent souvent : « Pensez-vous vraiment que le gouvernement pourrait cacher [quoi que ce soit] pendant si longtemps ? » La question elle-même reflète l'ignorance de la réalité, qui est que la dissimulation est monnaie courante au sein de l'État de sécurité nationale. Cependant, la réponse est en fait oui, et non. « Oui », dans le sens où les opérations de dissimulation sont le modus operandi habituel - elles sont souvent ignorées du public pendant des décennies, et révélées au grand jour par le simple fait du hasard. Mais aussi « non », dans la mesure où [...] il y a fuite d'informations dès le départ. Il est impossible de tout verrouiller complètement.

La clé est de neutraliser et discréditer les informations gênantes, parfois par un démenti officiel, parfois en utilisant les médias par personnes interposées. Il est peu probable que les preuves [d'un complot] provenant d'échelons inférieurs survivent au conflit inévitable avec la culture officielle. Et la reconnaissance de la réalité des [complots] n'aura lieu que lorsque la culture officielle la jugera digne d'intérêt ou nécessaire.



Gear

Meilleur du Web: Pour ne pas mettre de l'huile sur le feu, les pathocrates ne publieront pas la photo de Ben Laden... mais elles publieront son message incendiaire posthume !

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On croit rêver tellement tout cela devient ridicule et lamentable !

Pour ne pas avoir à présenter des photos qui n'existent pas concernant l'exécution de Ben Laden le 1er Mai, Obama et ses Maitres prennent pour prétexte un soi-disant risque de susciter des réactions de vengeance chez ses supporters !

Evidemment, tout cela ne tient pas la route un seul instant...

Mais accrochez-vous : l'administration US devrait par l'intermédiaire de « SITE« , un site internet monté par une responsable israëlienne, spécialisé dans la diffusion de vidéos bidonnées de Ben Laden et ressuscité pour l'occasion, diffuser un message soi-disant posthume de Ben Laden au monde entier, un message enregistré soi-disant autour du 20 avril 2010 et appelant à la lutte contre l'Occident comme tous les messages attribués par cette clique à Ben Laden !!!

Gear

Meilleur du Web: Oussama Ben Laden déclaré mort... pour la neuvième fois

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter Info

La nuit dernière, quand Obama a annoncé la mort d'Oussama Ben Laden lors d'un discours télévisé entendu dans le monde entier, c'était au moins le neuvième grand chef d'État ou officiel gouvernemental de haut rang qui le faisait.

Compte tenu des problèmes rénaux avérés de Ben Laden et de la nécessité de dialyse qui en découlait, des officiels gouvernementaux, des chefs d'États et des experts du contre-terrorisme ont maintes fois exprimé l'avis qu'Oussama Ben Laden était mort en fait depuis quelque temps. Ces affirmations se fondaient sur sa santé défaillante en fin 2001, des signes visibles de détérioration de son état et des rapports concrets sur sa mort à la même période.

En juillet 2001, Oussama Ben Laden a été transporté à l'hôpital zunien de Dubaï pour traitement rénal. Selon des sources du Renseignement français, il a été visité là-bas par un attaché local de la CIA. Quand plus tard l'agent s'est vanté de sa rencontre auprès d'amis, il a été promptement rappelé à Washington.

À la veille du 11 septembre, Oussama Ben Laden séjournait dans un hôpital militaire pakistanais sous l'œil vigilant de l'ISI, l'homologue pakistanais de la CIA, qui a des liens profonds avec la communauté du Renseignement zunien.


Arrow Down

Meilleur du Web: La stupidité d'un peuple

Luke Rudkowski, de We Are Change, juste après l'annonce de la mort d'Oussama Bin Laden à la Maison Blanche interview des gens afin de démontrer l'ignorance et la stupidité d'un peuple.


USA

Meilleur du Web: La seconde mort d'Oussama Ben Laden

Traduction copyleft de Pétrus Lombard pour Alter Info

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Si nous étions aujourd'hui le 1er avril et non pas le 2 mai, nous pourrions rejeter comme une facétie d'andouille les gros titres de ce matin, racontant qu'Oussama Ben Laden est mort dans une fusillade au Pakistan et a été rapidement jeté à la mer. En l'occurrence, nous devons prendre ça comme une preuve supplémentaire que notre gouvernement a une croyance illimitée en la crédulité des Zuniens.

Pensez-y. Quelles sont les chances pour qu'une personne atteinte prétendument d'une maladie rénale nécessitant dialyse et, en outre, souffrant de diabète et d'hypertension artérielle, survive dans des refuges de montagne depuis dix ans ? Si Ben Laden avait été en mesure d'acheter les équipements de dialyse et de soins médicaux que son état nécessitait, se pourrait-il que le lieu d'expédition du matériel n'indique pas où il se trouve ? Pourquoi a-t-il fallu dix ans pour le trouver ?

Réfléchissez aussi à ce que rabâchent les médias triomphalistes qui célèbrent sa mort : « Ben Laden s'est servi de ses millions pour financer des camps d'entraînement terroristes au Soudan, aux Philippines, et en Afghanistan, envoyant ses "saints guerriers" fomenter la révolution et combattre avec les forces du fondamentalisme musulman à travers l'Afrique du Nord, en Tchétchénie, au Tadjikistan et en Bosnie. C'est beaucoup d'activité à financer pour de pauvres millions (la Zunie aurait dû peut-être lui donner la responsabilité du Pentagone), mais la question principale est : Comment Ben Laden a-t-il pu tranférer son argent ? Il a été aidé par quel système bancaire ? Le gouvernement zunien a réussit à saisir les biens de personnes et de pays entiers, la Libye étant le tout dernier. Pourquoi pas Ben Laden ? Trimbalait-il pour 100 millions de roupieus en pièces d'or et envoyait-il des émissaires pour répartir les paiements dans ses opérations lointaines ?

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Flashback Meilleur du Web: Ahmadinejad : « Ben Laden est à Washington »

Mai 2010 - Interviewé par ABC qui évoque la rumeur lancée par des "journalistes" comme quoi Ben Laden serait caché à Téhéran, le président iranien Mahmoud Ahmadinejad a rétorqué de la plus belle des manières.


Magic Wand

Flashback Meilleur du Web: Vétérans US : des années de mensonges  - les États-Unis reconnaissent ouvertement que Ben Laden est mort depuis longtemps

Traduction : C. Doure pour ReOpen911
Introduction : GeantVert pour ReOpen911


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L’une des illustrations du site VeteransToday.com
Gordon Duff, un ancien Marine US, parle de sa honte et du déshonneur qu'ont représenté pour lui, et représentent encore aujourd'hui, les continuelles évocations par Bush et maintenant par Obama, de l'ennemi public numéro un, Oussama Ben Laden. Il revient sur le gâchis innommable de cette guerre faite au nom d'un simulacre de chasse à l'homme, puisque les administrations américaines successives, les Services Secrets et tant d'autres personnes même bien moins informées savent depuis longtemps que ben Laden est mort en décembre 2001 après avoir toujours nié être l'organisateur des attentats du 11-Septembre.