OF THE
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« Dans le domaine particulier des OVNIs, sans parler des gens qui voient une soucoupe volante se poser dans un champ, il y des pilotes de chasse, des astronautes, des gens qui sont tout sauf des rigolos et rapportent des observations très précises. Il ne faut pas dire que ce sont des bêtises mais juste reconnaître qu'il y a des choses qui nous échappent. C'est dans cadre là que je me suis intéressé à ce problème car la première chose que l'on voit quand on étudie ce phénomène, c'est qu'à l'évidence ces engins ou ces apparitions ne fonctionnent pas selon les lois terrestres et en particulier qu'ils ne sont pas soumis à la gravitation. La question qui se pose est donc : un pays a-t-il mis au point un système qui permet d'échapper à la gravitation ? Il y a 20 ans, j'aurais répondu : « Pourquoi-pas? ». Mais, aujourd'hui, si un pays dans le monde avait réalisé une telle découverte, on le saurait. Aucun progrès de cet ampleur ne peut rester secret. C'est impossible. (...)
D'une façon ou d'une autre, il y aurait eu des fuites, une indiscrétion des scientifiques qui travaillent dessus... Puisqu'il n'y a absolument rien eu, c'est que c'est autre chose et que ça échappe à la dimension terrestre (...) nous passons d'une vision du monde modelée par la physique traditionnelle à une autre vision fondée sur la physique quantique. Et l'on comprend beaucoup mieux ces phénomènes à travers le prisme de la physique quantique qu'avec celui de la physique actuelle. (...)
Pour en revenir à la physique quantique, elle postule que deux points séparés peuvent être les mêmes. Cela nous paraît inconcevable mais à partir de là, on peut aller très loin, jusqu'à l'existence possible de mondes parallèles. A titre de comparaison, une mouche avec ses yeux à facettes peut voir d'autres dimensions que les nôtres bien qu'elle vive dans notre monde. Peut-être existe-t-il donc des choses qui sont dans notre univers mais qu'on ne peut pas voir en temps normal car elles ne sont pas dans notre champ de vision. Mais peut-être que, de temps en temps, il se passe quelque chose, qu'un phénomène passe dans notre champ de perception avant d'en disparaître. Je ne parle pas là des « petits hommes verts ». J'ai plutôt l'impression d'être dans la même démarche que certains savants et astronomes qui se disent simplement « quelque chose nous échappe » (...) il y a quelque chose, c'est indiscutable. Un certain nombre de facteurs laissent penser que c'est à côté de nous sans provenir de nous et que, ça peut venir d'autres mondes, pourquoi pas après tout... »
"Jeudi, j'étais à ma fenêtre. En ces moments de confinement j'y passe de longues heures pour flâner ou fumer. Je regarde le ciel. J'ai vu cette chose. Pour moi, il s'agissait bien d'un objet et sûrement pas de l'étoile du berger, ni de la station orbitale ISS que l'on peut voir parfois à l'œil nu tellement le ciel est limpide en ce moment. C'était un engin. Pas une étoile filante non plus. Une étoile filante tombe. Cette chose étrange est restée un moment immobile, puis a effectué un léger déplacement sur la gauche avant de prendre soudain une trajectoire ascendante à une très grande vitesse. Cela ne pouvait pas être non plus un avion ou un ballon-sonde. Je suis certaine de ce que j'ai vu" affirmait Géraldine sur le marché où l'apparition de cet Ovni a longuement alimenté les conversations.
Monique Gabrielli, enquêtrice spécialisée dans le domaine des phénomènes spatiaux, convient que « c'est certain, ce n'est pas un phénomène naturel. Il faut écarter cette idée ». Elle confirme qu'il ne s'agit pas de l'étoile du berger, car « en ce moment, elle est plein ouest dans la constellation du Taureau. Ce ne peut pas être elle ». Elle réfute aussi le fait que ce soit une comète, une fusée, un feu d'artifice ou un explosif. « L'apparition soudaine suivie d'une accélération dans le ciel, ce n'est pas une chose logique », avance-t-elle avec certitude. (Source)
« Pendant des siècles - voire même des millénaires - des religions et une dynamique sociale simplistes ont prévalu sur presque toute la planète. Cette situation était rendue possible par le fait que, lorsqu'il y avait « intrusion » d'un être hyperdimensionnel dans notre réalité - lorsque ces entités « s'invitaient » à dîner, si j'ose dire - le manque de moyens de communication entre tribus et peuples facilitait la dissimulation de l'événement.
Lorsque, bien à l'abri chez nous, nous contemplons notre réalité - y compris notre environnement immédiat - nous remarquons un front « stable ». Les voitures défilent dans la rue, transportant des gens de tel à tel point au gré de leurs activités quotidiennes. Le soleil brille, des enfants passent en bavardant et en riant. Chacun est impliqué dans sa propre vie d'une manière immédiate, en s'y identifiant, convaincu que cette vie est la réalité, qu'elle est ce qui est.
Mais de temps à autre, un événement bizarre survient, et la personne qui le vit s'efforce d'intégrer cette anomalie au continuum espace/temps. Habituellement, l'incident est suffisamment insignifiant pour qu'elle « l'étouffe » et l'oublie - ce qu'elle doit absolument faire, car il jure trop par rapport au cours des événements, à ce qui est admis comme normal. Il doit donc être escamoté, puis oublié.
Il arrive que des anomalies plus flagrantes surviennent dans la réalité - témoignant d'une intrusion du système de contrôle hyperdimensionnel - ou que le « voile » se déchire d'une façon ou d'une autre, ce qui fait alors les gros titres de la presse. Charles Fort a passé de nombreuses années à collecter des articles rapportant ce genre d'incidents dans des journaux ou magazines du monde entier.
Lorsqu'un événement de ce genre a lieu, le « système de croyances en vigueur » se hâte de le « minimiser », si bien que chacun peut continuer à vivre dans ses illusions respectives ou collectives. En outre, puisque ces types d'événements sont locaux, il est aisé de les étouffer. Il était d'ailleurs bien plus aisé de les étouffer dans le passé.
Quand on lit les informations rassemblées par Charles Fort, on constate que la « réalité alien » dont on parle tant de nos jours était tout autant d'actualité à son époque. En fait, on constate qu'elle est en quelque sorte « cyclique ». Tout comme nous avons des cycles de production alimentaire (plantation, croissance, et récolte), les êtres hyperdimensionnels semblent nous moissonner selon quelque loi « saisonnière ».
Par le passé, il était infiniment plus facile d'étouffer la question. Mais avec le temps, les gens se sont cultivés. Des livres, articles et magazines ont été publiés et diffusés. Voyager est devenu plus facile, et les informations en provenance du monde entier faisant état « d'étranges intrusions » dans notre réalité sont devenues accessibles, donnant l'impression générale que quelque chose « n'est pas clair ».
Avant Charles Fort, certains sentaient déjà le « cadavre dans le placard ». Mais monsieur Fort agita carrément ce cadavre sous notre nez, et les réactions furent des plus intéressantes. La machine à censure se mit à tourner à plein régime, utilisant les vecteurs extrêmement efficaces que sont la science et la religion conventionnelles.
Or le cadavre avait répandu son odeur, et certains ne pouvaient plus se contenter de le remettre dans le placard. La puanteur montait par la porte désormais entr'ouverte.
Certains cherchèrent à savoir d'où venait cette pestilence. Ils commencèrent à rassembler connaissances et informations.
On peut même remarquer de quelle manière la machine à censure lança son entreprise de « damage control ». Lorsqu'on étudie l'histoire des mouvements et changements sociaux et religieux, on se rend compte que le « mécanisme de contrôle » se métamorphose à chaque nouvelle découverte ou prise de conscience de l'humanité ; à mesure que les hommes abandonnaient les anciennes religions et les explications simplistes, de nouvelles « religions » se mirent en place. Exactement au bon moment - c'est-à-dire en plein essor de la science et des connaissances sur la nature de la réalité, lesquelles remettaient sérieusement en cause les anciennes vues religieuses - le mouvement spiritualiste fit son apparition, aboutissant aux informations reçues par channeling, lesquelles avaient pour but de colmater les brèches faites dans le réseau de contrôle. Des explications nouvelles, plus élaborées, sur les « mondes supérieurs » furent communiquées dans notre réalité. Et à chaque nouvelle question, le système de contrôle apportait une nouvelle réponse qui aiderait chacun à se calmer, à se détendre et surtout à arrêter de poser des questions !
De nos jours, ce processus est devenu d'autant plus évident. Il y a quelques années, lorsque nous avons commencé à partager les informations cassiopéennes, la plupart des sujets dont nous traitions n'étaient pas même évoquées par les autres « sources ». Aujourd'hui, dès que nous publions quelque chose, « l'autre bord » présente un nouveau candidat qui donne de nouvelles explications destinées à « colmater les brèches » que nous ouvrons dans le mur de la réalité. »
~ L'Onde Tome III, pp. 388-390
Commentaire: Voir aussi :
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John A. Keel, conférence fortéenne, 1992 : le phénomène OVNI est largement hallucinatoire
Jacques Vallée : « Merveilles dans le Ciel »