L'anxiété, la dépression et la peur ravagent aujourd'hui une grande quantité d'individus, mais peu prennent le temps de considérer qu'en plus des influences physiques dans nos vies, nous pouvons aussi être sous l'influence d'êtres qui existent dans des dimensions en dehors de notre perception ordinaire.
© InconnuRudolf Steiner, ou la science de l’esprit active dans tous les domaines de la connaissance.
Mais il y a bien plus en réalité que ce que nous pouvons voir, sentir, entendre, goûter et toucher. En fait, un bilan de la matière qui compose l'univers révèle qu'environ 73 pour cent de celle-ci est constituée d'énergie noire, et 23 pour cent de matière noire, dont on ne peut ni voir, ni comprendre. De plus, l'œil humain n'est capable de voir qu'environ 0,0035 pour cent du spectre total des rayonnements électromagnétiques. Quand on regarde dans les cieux, 96 pour cent d'entre eux nous sont invisibles. Incluez dans cet invisible les royaumes spirituels et
c'est tout un univers de possibilités qui existe au-delà de nos cinq sens.Très peu de scientifiques sont aujourd'hui prêts à explorer la métaphysique de manière à examiner la vie au-delà de notre perception ordinaire afin d'établir un lien entre le visible et l'invisible.
Commentaire: Une chose en ce qui concerne le « sujet de tous les sujets », comme le nommait Carlos Castaneda, c'est que l'on peut être bien attrapé en cherchant « là-bas » les raisons pour lesquelles les émotions négatives se manifestent ici dans notre vie. Et l'une des façons les plus sûres de se protéger est d'acquérir des connaissances et une prise de conscience, ce qui signifie aussi assumer la responsabilité de nos états émotionnels malgré toute interférence extérieure. Pour en savoir plus sur ce sujet, vous pouvez aussi lire
Ces mondes qui nous gouvernent, paru aux
Éditions Pilule Rouge.
Ci-dessous, un extrait de
L'Onde Tome III :
« Pendant des siècles - voire même des millénaires - des religions et une dynamique sociale simplistes ont prévalu sur presque toute la planète. Cette situation était rendue possible par le fait que, lorsqu'il y avait « intrusion » d'un être hyperdimensionnel dans notre réalité - lorsque ces entités « s'invitaient » à dîner, si j'ose dire - le manque de moyens de communication entre tribus et peuples facilitait la dissimulation de l'événement.
Lorsque, bien à l'abri chez nous, nous contemplons notre réalité - y compris notre environnement immédiat - nous remarquons un front « stable ». Les voitures défilent dans la rue, transportant des gens de tel à tel point au gré de leurs activités quotidiennes. Le soleil brille, des enfants passent en bavardant et en riant. Chacun est impliqué dans sa propre vie d'une manière immédiate, en s'y identifiant, convaincu que cette vie est la réalité, qu'elle est ce qui est.
Mais de temps à autre, un événement bizarre survient, et la personne qui le vit s'efforce d'intégrer cette anomalie au continuum espace/temps. Habituellement, l'incident est suffisamment insignifiant pour qu'elle « l'étouffe » et l'oublie - ce qu'elle doit absolument faire, car il jure trop par rapport au cours des événements, à ce qui est admis comme normal. Il doit donc être escamoté, puis oublié.
Il arrive que des anomalies plus flagrantes surviennent dans la réalité - témoignant d'une intrusion du système de contrôle hyperdimensionnel - ou que le « voile » se déchire d'une façon ou d'une autre, ce qui fait alors les gros titres de la presse. Charles Fort a passé de nombreuses années à collecter des articles rapportant ce genre d'incidents dans des journaux ou magazines du monde entier.
Lorsqu'un événement de ce genre a lieu, le « système de croyances en vigueur » se hâte de le « minimiser », si bien que chacun peut continuer à vivre dans ses illusions respectives ou collectives. En outre, puisque ces types d'événements sont locaux, il est aisé de les étouffer. Il était d'ailleurs bien plus aisé de les étouffer dans le passé.
Quand on lit les informations rassemblées par Charles Fort, on constate que la « réalité alien » dont on parle tant de nos jours était tout autant d'actualité à son époque. En fait, on constate qu'elle est en quelque sorte « cyclique ». Tout comme nous avons des cycles de production alimentaire (plantation, croissance, et récolte), les êtres hyperdimensionnels semblent nous moissonner selon quelque loi « saisonnière ».
Par le passé, il était infiniment plus facile d'étouffer la question. Mais avec le temps, les gens se sont cultivés. Des livres, articles et magazines ont été publiés et diffusés. Voyager est devenu plus facile, et les informations en provenance du monde entier faisant état « d'étranges intrusions » dans notre réalité sont devenues accessibles, donnant l'impression générale que quelque chose « n'est pas clair ».
Avant Charles Fort, certains sentaient déjà le « cadavre dans le placard ». Mais monsieur Fort agita carrément ce cadavre sous notre nez, et les réactions furent des plus intéressantes. La machine à censure se mit à tourner à plein régime, utilisant les vecteurs extrêmement efficaces que sont la science et la religion conventionnelles.
Or le cadavre avait répandu son odeur, et certains ne pouvaient plus se contenter de le remettre dans le placard. La puanteur montait par la porte désormais entr'ouverte.
Certains cherchèrent à savoir d'où venait cette pestilence. Ils commencèrent à rassembler connaissances et informations.
On peut même remarquer de quelle manière la machine à censure lança son entreprise de « damage control ». Lorsqu'on étudie l'histoire des mouvements et changements sociaux et religieux, on se rend compte que le « mécanisme de contrôle » se métamorphose à chaque nouvelle découverte ou prise de conscience de l'humanité ; à mesure que les hommes abandonnaient les anciennes religions et les explications simplistes, de nouvelles « religions » se mirent en place. Exactement au bon moment - c'est-à-dire en plein essor de la science et des connaissances sur la nature de la réalité, lesquelles remettaient sérieusement en cause les anciennes vues religieuses - le mouvement spiritualiste fit son apparition, aboutissant aux informations reçues par channeling, lesquelles avaient pour but de colmater les brèches faites dans le réseau de contrôle. Des explications nouvelles, plus élaborées, sur les « mondes supérieurs » furent communiquées dans notre réalité. Et à chaque nouvelle question, le système de contrôle apportait une nouvelle réponse qui aiderait chacun à se calmer, à se détendre et surtout à arrêter de poser des questions !
De nos jours, ce processus est devenu d'autant plus évident. Il y a quelques années, lorsque nous avons commencé à partager les informations cassiopéennes, la plupart des sujets dont nous traitions n'étaient pas même évoquées par les autres « sources ». Aujourd'hui, dès que nous publions quelque chose, « l'autre bord » présente un nouveau candidat qui donne de nouvelles explications destinées à « colmater les brèches » que nous ouvrons dans le mur de la réalité. »
~ L'Onde Tome III, pp. 388-390
Commentaire: Une chose en ce qui concerne le « sujet de tous les sujets », comme le nommait Carlos Castaneda, c'est que l'on peut être bien attrapé en cherchant « là-bas » les raisons pour lesquelles les émotions négatives se manifestent ici dans notre vie. Et l'une des façons les plus sûres de se protéger est d'acquérir des connaissances et une prise de conscience, ce qui signifie aussi assumer la responsabilité de nos états émotionnels malgré toute interférence extérieure. Pour en savoir plus sur ce sujet, vous pouvez aussi lire Ces mondes qui nous gouvernent, paru aux Éditions Pilule Rouge.
Ci-dessous, un extrait de L'Onde Tome III :