OF THE
TIMES
Le temps passe, mais ils se trouvent toujours à cinq ou sept années d'avoir la bombe. » -- Shlomo Brom, conseiller adjoint à la sécurité nationale sous l'ex-Premier ministre Elud Barak.Tandis que les politiciens israéliens continuent de battre le tambour de guerre contre ce qu'ils (eux-seuls à présent) prétendent être une menace imminente d'un Iran à la capacité nucléaire, une rhétorique hystérique très semblable est utilisée pour essayer de nous convaincre d'une menace très différente mais également catastrophique contre la vie sur Terre - « le changement de climat ». Les catastrophistes nous disent qu'il nous reste dix ans, au mieux, pour inverser la destruction inévitable ou faire face aux conséquences sinistres de villes sous les eaux, tremblements de terre, tsunamis et maladies tropicales redoutées, sinon racistes, se déplaçant vers le nord. En recherchant cet article, je suis tombé sur un blogue qui présente un argument très frappant :
Tout à fait en dehors de la science, une chose que je trouve suspecte sur le catastrophisme du climat est comment ce changement délétère massif et terrible est supposé être devant nous, et pourtant (par ce qui me frappe comme une coïncidence étonnante) on nous dit toujours que nous sommes capables de l'arrêter, mais seulement - et là le speaker prend invariablement l'air pressant d'un commentaire de pub TV - si nous agissons à cette minute même. C'est étrange, étant donné que nous sommes soumis à ce qui semble être (du point de vue catastrophique) un scénario de la fin des temps inévitable qui se développe depuis la Révolution industrielle. Étant donné l'échelle de temps et les incertitudes énormes impliquées, vous penseriez que des prédictions du moment exact du « point de non-retour » doivent impliquer une marge d'erreur assez significative. Prenant cela en considération, il est étrange qu'il ne semble pas y avoir un seul partisan du changement de climat qui dise « Foutaises ! Ça ne me fait pas plaisir de vous dire ceci, mais il est trop tard depuis un ou deux (ou dix ou cinquante) ans et il n'y a fondamentalement rien que nous puissions faire maintenant. » En ajoutant peut-être : « Nous pourrions aussi bien sortir avec style - que tout le monde aille chez le concessionnaire de 4x4 ! » ou « Rassemblons 10 000 de nos meilleurs amis et prenons l'avion pour Bali pour y faire une grande fiesta ! »
Ce dont l'Amérique a réellement besoin est une insurrection globale du peuple, de préférence fondée sur la force et la peur de la force, la seule chose que comprennent les oligarques. Et même dans ce cas, les chances ne sont pas bonnes. Les oligarques détiennent tout le pouvoir légal, la police, les prisons, la surveillance et la puissance de feu. Sans parler d'une population docile.En bref, la situation est assez semblable à celle décrite dans le film « V pour Vendetta » dans cet échange révélateur :
Dominic : Que pensez-vous qu'il va arriver ?Baegent mentionne ensuite une autre approche :
Finch : Ce qui se passe habituellement lorsque des personnes sans armes se lèvent contre des personnes avec des armes.
Hésitant pour une insurrection ouverte, un refus national de payer les impôts sur le revenu ferait certainement bouger les choses.De manière intéressante, cette approche de la révolution a été décrite dans une satire de SOTT au mois d'avril dernier. Cet article a été visionné probablement plus que tout autre article que nous avons publié ! Peut-être est-ce une preuve du fait que le lectorat reconnaît cette idée comme valable et viable. Le seul problème encore est que ce devrait être un mouvement unifié - la majorité des hommes sur la planète devraient se serrer les coudes. Mais cela n'arrivera pas aux États-Unis et la raison est aussi expliquée par Baegent :
Pour David Morrison, un scientifique senior de la NASA, la Terre orbite autour du Soleil dans une sorte de stand de tir cosmique. Plus d'un million d'astéroïdes tournent autour du Soleil, et c'est le travail de Morrison de comprendre lequel de ces morceaux de roche, poussière et métal pourrait venir s'écraser sur la Terre.
« Dépenser tout cet argent pour combattre une menace qui est aussi rare qu'une comète catastrophique frappant les États-Unis est peu sensé. Si la NASA était capable d'utiliser la même tactique d'alarme que DHS, peut-être que l'agence spatiale pourrait persuader le Congrès réticent de lui donner 1 milliard de dollars dérisoire (en comparaison) pour son programme Spaceguard Survey également absurde, qui suit à la trace les astéroïdes et les comètes qui ont une probabilité de tuer des Américains égale à celle les terroristes. »Comme vous pouvez le voir dans l'article ci-dessus, M. Eland ne sait pas de quoi il parle. Mais combien de gens sur la planète le savent ? Combien de vos concitoyens savent que l'espèce humaine a dépassé sa date d'expiration ? Pensez-y la prochaine fois que vous verrez une étoile filante ou que vous lirez un article relatof à une boule de feu météorique...
Commentaire: articles de fond :
Le réchauffement climatique s'est arrêté
Un rapport du Pentagone sur le climat annonce un refroidissement global (première partie)
Un rapport du Pentagone sur le climat annonce un refroidissement global (deuxième partie)
Des experts disent que des pénuries de nourriture et de carburant sont imminentes à l'aube du nouvel Âge glaciaire
Vers un refroidissement climatique
Vers un nouvel âge de glace ?