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Imaginez Louis Bodin ou Evelyne Dhéliat quitter l'antenne en plein direct. Impossible. Et pourtant c'est ce qui s'est passé lundi sur la chaîne locale du Mississippi WTVA. Matt Laubhan, le journaliste était en train de présenter son bulletin d'alerte météorologique évoquant la tornade qui touchait l'Etat lorsque celle-ci est arrivée sur les locaux de la chaîne.
N'écoutant que son courage, le journaliste refuse d'évacuer les lieux et reste le plus longtemps possible. Puis il finit par quitter le plateau en compagnie des techniciens. Une scène assez étonnante.
De violents orages ont touché le Nord du Bangladesh faisant 16 morts, 20 blessés et détruisant environ un millier d'habitations. Neuf personnes ont été tuées dans le district de Netrokona, 6 dans le district voisin de Sunamganj et une personne a été tuée par la foudre près de Naogaon.
Dans les secteurs touchés, les orages accompagnés de violentes rafales de vent ont déracinés des arbres, arraché des lignes électriques et détruit des maisons traditionnelles en terre. Un train a également déraillé dans le district de Tangail à cause des vents violents alors qu'il se trouvait sur un pont enjambant une rivière.
Dans les secteurs touchés, les orages accompagnés de violentes rafales de vent ont déracinés des arbres, arraché des lignes électriques et détruit des maisons traditionnelles en terre. Un train a également déraillé dans le district de Tangail à cause des vents violents alors qu'il se trouvait sur un pont enjambant une rivière.
États-Unis - Scènes de chaos après le passage de plusieurs tornades qui font au moins dix-sept morts
Une série de violente tornades ont frappé, dimanche 27 avril, le centre des États-Unis, et particulièrement autour du comté de Little Rock, dans l'État de l'Arkansas. Au moins 17 personnes ont été tuées, selon le bilan officiel des autorités : 15 dans l'Arkansas et deux non loin de là, dans le sud de l'Oklahoma.
Une douzaine d'autres tornades ont parcouru le centre et le sud du pays et provoqué d'importants dégâts - arbres et pylônes abattus, structures endommagées - mais aucune autre victime n'a été signalée. Des alertes ont été diffusées du Nouveau-Mexique, à l'ouest, jusqu'au Tennessee à l'est.
Les États-Unis sont touchés chaque année par environ un millier de tornades. Elles se forment en raison de la rencontre, au printemps, des courants froids et secs descendant du pôle Nord et des courants d'air chaud et humide remontant du golfe du Mexique, à une altitude beaucoup plus basse. La présence des Rocheuses, à l'ouest, provoque une ondulation du jetstream - un courant d'air très rapide évoluant à 10 kilomètres d'altitude - favorable aux perturbations orageuses sur les grandes plaines.
© NewsBreakerMayflower, Arkansas, après le passage de la tornade
Les États-Unis sont touchés chaque année par environ un millier de tornades. Elles se forment en raison de la rencontre, au printemps, des courants froids et secs descendant du pôle Nord et des courants d'air chaud et humide remontant du golfe du Mexique, à une altitude beaucoup plus basse. La présence des Rocheuses, à l'ouest, provoque une ondulation du jetstream - un courant d'air très rapide évoluant à 10 kilomètres d'altitude - favorable aux perturbations orageuses sur les grandes plaines.
Une tempête qui frappe depuis samedi la région autonome Zhuang du Guangxi (sud-ouest) a provoqué des inondations et des glissements de terrain, faisant trois morts et affectant la vie de plus de 77.000 personnes.
Selon une estimation du bureau régional des affaires civiles, cet épisode météorologique a provoqué des pertes économiques estimées à plus de 4,8 millions de yuans (767.000 dollars).
Le centre régional de contrôle des inondations a indiqué dimanche que 21 districts avaient été frappés depuis samedi par des tempêtes soudaines, des orages et des averses de grêle.
Selon les prévisions du département météorologique local, la pluie devrait se déplacer vers l'est et durer jusqu'à lundi prochain dans les régions est du Guangxi.
© AFP
Le centre régional de contrôle des inondations a indiqué dimanche que 21 districts avaient été frappés depuis samedi par des tempêtes soudaines, des orages et des averses de grêle.
Selon les prévisions du département météorologique local, la pluie devrait se déplacer vers l'est et durer jusqu'à lundi prochain dans les régions est du Guangxi.
Une forte tempête de sable a balayé la province du Gansu, dans le nord-ouest de la Chine avant hier mercredi, réduisant la visibilité à moins de 65 mètres, selon le Centre météorologique du pays.
La tempête de sable, est la plus forte enregistrée depuis 1996, elle aurait commencé dans l'après-midi, dans le comté de Dunhuang.
Tout au long de la journée, les habitants de Dunhuang ont eu des problèmes de respiration, de vision et de douleurs nasales.
Le centre météorologique de Jiuquan et de Dunhuang, a émis une alerte rouge pour la tempête de sable.
Il s'agit de l'alerte maximale.
« La voiture, le congélateur, la tondeuse... Tout est dedans » Pascal Laleman, le maire de la petite commune d'Auvillars, manque de mots pour décrire ce qu'il voit. Son garage en sous-sol est bloqué sous une couche de grêle de 2 mètres.
Sa maison est plongée dans le noir. Tout le jardin est recouvert d'une nappe de grêle de 10 centimètres. Coup dur.
Durant cet événement, la visibilité a été réduite à quelques mètres causant de nombreux problème de circulation, notamment dans l'agglomération de Tur. Les autorités ont fermé toutes écoles et ont invité la population a ne pas sortir.
Des vents violents soufflant à une vitesse de 120 km/h ont aussi forcé la suspension de la circulation d'au moins 12 trains dans la Région autonome ouïgoure du Xinjiang (nord-ouest).
Les départements des chemins de fer travaillent actuellement pour assurer l'approvisionnement en aliments et en eau potable à destination des passagers à bord des trains bloqués.
Les autorités ont précisé que ces trains avaient été forcés à s'arrêter mercredi matin, quand des rafales, d'une vitesse maximale de 120 km, ont balayé le sud du Xinjiang.
Les services météorologiques avaient d'ailleurs émis des alertes de niveau 3/4 concernant de fortes pluies accompagnées de vents sur les provinces de Séville , Huelva , Jaen et Grenada.
Samedi après-midi, de violents orages ont éclaté localement vers Gêne, avec 76 mm de pluies recueillis en quelques heures seulement, entraînant quelques inondations localisées. Dans la région de Rome, des trombes marines ont été vues à proximité du littoral. Intempéries également sur les Balkans, où après la neige jeudi, les précipitations restent d'actualité avec 95 mm de pluies mesurés dans la région de Kopaonik en Serbie. Pluies orageuses qui ont débordé temporairement dans des Alpes-Maritimes, du côté d'Antibes où il est tombé 23 mm de pluies hier, alors qu'à quelques kilomètres de là, en direction de Toulon, le ciel est resté le plus souvent bien dégagé tout au long de la journée.
Traduction : SOTT
Troisième épisode de notre nouvelle série mensuelle, la vidéo suivante compile des images de « signes des temps » provenant du monde entier pour mars 2014, reliant les points entre les bouleversements planétaires, les bouleversements sociaux et le « temps cosmique », sous la forme d'une activité croissante de boules de feu, bolides et météores.
Le mois s'ouvre sur des vagues géantes qui frappent la côte Ouest, à la fois des États-Unis, et de l'Europe, tandis qu'un enchaînement de forts tremblements de terre a « déchiré » la ceinture de feu sur toute la longueur des Amériques. Le soi-disant « vortex polaire » est revenu visiter l'Amérique du Nord et l'a de nouveau plongée dans un congélateur au cours de ce qui semblait être un hiver sans fin. Malgré les souffrances à la fois dues à la sécheresse et aux incendies de forêt de février dernier, l'État de Washington a été frappé en mars, par un déluge qui a provoqué un glissement de terrain dévastateur et enlevé vingt vies.
Plusieurs explosions graves dans des immeubles d'habitation se sont produites aux États-Unis et en Europe. Des ruptures de gazoduc sont censées en être les causes, mais officiellement, elles restent inexpliquées. Fait intéressant, l'une des nombreuses grandes dolines de l'environnement urbain du mois s'est ouverte juste devant le lieu de l'explosion de Harlem, à New York, tuant huit personnes, tandis que les enquêteurs ont trouvé des niveaux anormalement élevés de méthane naturel dans des échantillons de sol provenant de la scène, ce qui suggère qu'un dégazage localisé de méthane pourrait avoir joué un rôle dans la destruction intégrale des bâtiments.
Troisième épisode de notre nouvelle série mensuelle, la vidéo suivante compile des images de « signes des temps » provenant du monde entier pour mars 2014, reliant les points entre les bouleversements planétaires, les bouleversements sociaux et le « temps cosmique », sous la forme d'une activité croissante de boules de feu, bolides et météores.
© SOTT.net
Les signes des temps de mars 2014
Le mois s'ouvre sur des vagues géantes qui frappent la côte Ouest, à la fois des États-Unis, et de l'Europe, tandis qu'un enchaînement de forts tremblements de terre a « déchiré » la ceinture de feu sur toute la longueur des Amériques. Le soi-disant « vortex polaire » est revenu visiter l'Amérique du Nord et l'a de nouveau plongée dans un congélateur au cours de ce qui semblait être un hiver sans fin. Malgré les souffrances à la fois dues à la sécheresse et aux incendies de forêt de février dernier, l'État de Washington a été frappé en mars, par un déluge qui a provoqué un glissement de terrain dévastateur et enlevé vingt vies.
Plusieurs explosions graves dans des immeubles d'habitation se sont produites aux États-Unis et en Europe. Des ruptures de gazoduc sont censées en être les causes, mais officiellement, elles restent inexpliquées. Fait intéressant, l'une des nombreuses grandes dolines de l'environnement urbain du mois s'est ouverte juste devant le lieu de l'explosion de Harlem, à New York, tuant huit personnes, tandis que les enquêteurs ont trouvé des niveaux anormalement élevés de méthane naturel dans des échantillons de sol provenant de la scène, ce qui suggère qu'un dégazage localisé de méthane pourrait avoir joué un rôle dans la destruction intégrale des bâtiments.
