Covid
Petit retour en arrière, je ne connaissais pas le Pr Henrion Caude en début 2020, mais l'ait découverte avec bonheur en cherchant comment dénoncer certains éléments de la loi dite de bioéthique 3, qui devait se discuter à l'Assemblée nationale fin juillet 2020 (et votée définitivement en août 2021, évidemment en période de congés et dans un étrange silence médiatique et médical...) Car évidemment quoi de moins important que de décider d'autoriser l'avortement ou appelé tel jusqu'à neuf mois intitulé infanticide jusqu'au nouveau Code pénal qui a supprimé cette incrimination spécifique, remplacée par le meurtre sur un mineur de moins de 15 ans 4 ou la fabrication de chimères homme — chèvre ou homme-lapin, etc.
Dense et sans fioritures, le livre comporte trois aspects principaux : la passion d'une scientifique pour son objet de recherche : l'ARN ; des décennies d'échec concernant les thérapies vaccinales avec ARNm ; les conséquences actuelles et à venir des vaccins ARNm anti-Covid.
► Pas d'hécatombe en 2020 nulle part
► Pas de saturation hospitalière généralisée
► Pas plus de malades que d'habitude
► Un enrichissement démesuré de ceux qui ont allègrement mis de l'huile sur le feu pendant 3 ans.
"Considérant l'évolution favorable de l'épidémie de Covid-19 enregistrée depuis plusieurs mois, le Gouvernement princier a décidé d'alléger le dispositif sanitaire en vigueur", expliquent, dans un communiqué de ce jeudi 9 mars, les autorités monégasques.
« L'OMS dispose d'une équipe spécialement dédiée à l'influence comportementale », explique Trevor Loudon dans une interview accordée à Epoch Times. Selon lui, cette équipe a pour objectif « d'exploiter la psychologie pour manipuler les populations afin qu'elles appliquent tous les décrets, acceptent les vaccins, etc. ».
Il propose aussi à ses lecteurs des pistes pour faire « sécession » afin de préserver leurs « droits naturels » et d'échapper à la « démagogie, c'est-à-dire la corruption de la démocratie, ces moments où la majorité se transforme en force d'oppression contre les libertés et l'État de droit ».
Les médias ont semblé se désintéresser de l'affaire après une mise à jour le 9 janvier dans laquelle il était indiqué que la princesse restait dans le coma et que, selon le palais, elle souffrait désormais d'une « arythmie cardiaque sévère résultant d'une inflammation consécutive à une infection à mycoplasme ».
Le journal affirme détenir les documents qui démontrent comment les autorités, tout comme ce fut dévoilé aux États-Unis par les Twitter Files, ont fait pression sur les réseaux sociaux pour censurer des contenus hostiles à la politique officielle de gestion de la crise du Covid-19.
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